Dès que les collaborateurs évoluent dans une ambiance négative, avec des relations tendues avec la hiérarchie ou les collègues, ils vont éprouver des difficultés qui affectent la qualité de vie au travail et leur engagement. Cette démotivation générale peut mettre l'entreprise en péril !
une démotivation, une baisse de créativité, une dégradation de la productivité, une augmentation des rebuts ou des malfaçons, une dégradation du climat social, une mauvaise ambiance de travail, des atteintes à l'image de l'entreprise…
L'amélioration du climat social passe donc par l'instauration d'indicateurs RH, la mise en place d'un baromètre social, une attention particulière au dialogue social et à la communication interne ainsi qu'à la qualité de vie au travail.
Le manque d'autonomie et de marges de manœuvre, Les mauvais rapports sociaux et relations de travail, Les conflits de valeur et la qualité empêchée, L'insécurité de la situation de travail.
Les risques psychosociaux peuvent engendrer des pathologies voire des accidents du travail et avoir des conséquences irréversibles : troubles émotionnels. troubles du sommeil : peuvent altérer la vigilance. troubles digestifs : coliques, gastralgies, gastrites, colopathies…
De mauvaises conditions de travail peuvent engendrer des troubles variés : sentiment de dévalorisation voire dépression, fatigue, usure, troubles musculo-squelettiques ou cardio-vasculaires, cancers, accidents, etc.
Parmi les exemples de facteurs psychosociaux en milieu de travail figurent ce qui suit : Exigences de l'emploi – Parmi les exemples, on compte les contraintes de temps, le rythme de travail, les pauses, la charge de travail ou les périodes de travail intensif.
L'exposition à ces situations de travail peut avoir des conséquences sur la santé des salariés, notamment en termes de maladies cardio-vasculaires, de troubles musculosquelettiques, de troubles anxio-dépressifs, d'épuisement professionnel, voire de suicide. Les risques psychosociaux sont souvent imbriqués.
Ces risques peuvent recouvrir différentes formes : le stress, parmi les plus connus, mais aussi le harcèlement, l'épuisement professionnel et même la violence au travail.
Climat social : quels sont les acteurs ? Ce sont essentiellement les ressources humaines et les managers qui jouent un rôle, surtout dans les petites et les moyennes entreprises. Ils alertent la direction en cas de dégradations des conditions de travail.
La définition du climat social dans une entreprise est un indicateur qui permet d'évaluer la santé humaine et sociale de vos salariés. Autrement dit, il s'agit du ressenti qu'ont les salariés et les équipes dirigeantes par rapport aux conditions de travail et aux relations entre les salariés.
Ces actions permettent notamment de prévenir la formation de stress et de diminuer la fatigue associée à une charge de travail importante.
La souffrance au travail peut avoir de lourdes conséquences sur le fonctionnement des entreprises (absentéisme, turn-over, présentéisme, manque d'engagement, motivation…) et, surtout, sur la santé des salariés : maladies cardio-vasculaires, troubles musculo-squelettiques, troubles anxio-dépressifs, troubles ...
En raison d'une interaction entre l'âge et le taux d'incapacité permanente et entre l'âge et le genre, l'analyse est menée séparément pour chaque classe d'âges. Dans les classes d'âges 15-59 ans, plus l'accident est grave, plus faible est la probabilité d'être actif occupé (p < . 001).
QU'ENTEND-ON PAR « IMPACT PSYCHOSOCIAL » ? L'impact psychosocial des crises humanitaires inclut les problématiques psychologiques et sociales, au niveau individuel et collectif, apparues suite à l'urgence et leurs impacts sur les ressources psy- chosociales préexistantes.
Les conséquences sont également lourdes pour les entreprises : détérioration de l'ambiance de travail, hausse des accidents du travail et des maladies professionnelles, turn-over, absentéisme, baisse de la productivité…
Les ressources ne manquent pas (heureusement) pour aider les entreprises à lutter contre les RPS chez leurs collaborateurs. De nombreux organismes sont à disposition comme AMELI, CARSAT, MSA, ARACT, ANACT, OPPPBTP, les services de santé au travail, les médecins du travail ou les IPRP spécialisés.
L'âge, la culture, le sexe, la situation familiale et matrimoniale, la gestion des soins, la situation socio-économique et de nombreux autres facteurs affectent l'équilibre travail-vie personnelle.
Aujourd'hui, de nombreuses recherches s'intéressent aux facteurs de risque de développer une maladie mentale, parmi lesquels l'environnement joue un rôle important : stress, événements de vie, alimentation, inactivité physique, exposition à des substances psychoactives…
Les facteurs biomécaniques
la force, l'intensité de la force, le type de contraction musculaire, la position articulaire et la distance de prise, la préhension, les caractéristiques de l'objet soulevé, la répétition, la durée de l'activité.
Il permet en effet de partager des expériences avec d'autres et de s'impliquer dans des activités dont les finalités dépassent l'intérêt individuel. Au-delà de sa dimension économique liée à l'emploi, le travail permet d'acquérir un statut social qui détermine la place occupée dans la société, son identité sociale.
Hommes et femmes y sont confrontés sans distinction, et font face à d'autres conséquences que l'augmentation du risque d'AVC : dépression, hypertension et difficultés relationnelles sont régulièrement observées auprès des salariés qui travaillent le plus.