Ils vivent principalement sous terre pour éviter la lumière solaire car celle-ci enlève l'humidité de leur peau. Ils meurent rapidement s'ils sont exposés au soleil pendant une longue période. Les vers de terre ont besoin d'un milieu humide pour la diffusion des gaz à travers leur peau.
La nuit, les femelles sortent de leur cachette pour pondre leurs oeufs dans les petits plis de l'anus, ce qui entraîne des démangeaisons.
Il pleut, il mouille !
Le ver de terre vit dans le sol et se déplace en creusant de petites galeries. Lorsqu'il pleut, ces chemins de terre se remplissent d'eau et le petit être doit alors trouver de l'oxygène pour ne pas se noyer. C'est pour cela que le vers de terre remonte à la surface pour respirer.
Les vers ne dorment jamais. Les vers de terre n'ont pas d'yeux. Les œufs de vers de terre peuvent survivre dans des conditions climatiques très difficiles pendant de très longues périodes, hibernant quand toutes les conditions sont réunies.
Chercher les vers pendant la nuit. Posez du carton humide sur la pelouse. Faites-le le soir avant de commencer à chercher les vers. Cela va les attirer X Source de recherche .
Avec l'abaissement des températures hivernales, les vers de terre s'enfouissent dans les profondeurs du sol pour se protéger du froid. Ils hibernent quand la température approche le point de congélation. A la surface du sol, le lombric gèle et meurt.
C'est la technique la plus répandue. Au printemps, lorsque la terre est humide, placez-vous dans un pré où les tortillons sont nombreux et piétinez un emplacement. En quelques instants, les vers vont sortir de terre sur un périmètre pouvant aller jusqu'à cinq mètres de votre place.
Les vers de terre perdent leur azote régulièrement sous forme d'ammoniac (urine) et cet azote perdu par les vers de terre passent très vite dans les plantes à faible dose du fait de la proximité des racines et des galeries.
Anatomie du ver de terre : généralités
Le ver de terre n'a ni yeux ni dents, mais possède en revanche quatre cœurs et trois paires de reins ! Il respire à travers la peau. Son corps est constitué d'anneaux successifs nommés segments, tous entourés d'une musculature longitudinale et d'une musculature circulaire.
Il faut quelques semaines à plusieurs mois, selon l'espèce, pour que les jeunes vers de terre éclosent. Le ver de terre Lumbricus terrestris (le fameux lombric commun) s'accouple une fois par année en formant 5 à 10 cocons contenant chacun 1 œuf. Ils peuvent vivre entre 4 et 8 ans !
Un lombricide est un pesticide, de la famille des biocides, permettant de détruire les vers de terre (lombrics). Lombricide est aussi le nom donné à une famille taxonomique (celle des vers de terre).
2 - Ennemis et prédateurs : les serpents, les oiseaux, les taupes, les crapauds et même les renards mangent des vers de terre. Les coléoptères, les sangsues, les limaces, entre autres, sont aussi des prédateurs.
L'information sensorielle perçut par une partie du corps se répercute sur le métamère et dans la chaine nerveuse centrale traversant le métamère. Comme de nombreux invertébrés, le ver de terre a des réactions qui s'apparentent à la nociception. Mais réagir mécaniquement à la douleur n'est pas souffrir.
En général, ils ne sont pas dangereux, mais plutôt gênants. Il peuvent causer toutes sortes de symptômes désagréables, comme des maux de ventre ou des démangeaisons. Dans certains cas, les vers peuvent ralentir la croissance des enfants, les affaiblir et mener à des anémies dangereuses.
Symptômes indiquant la présence d'oxyures
a tendance à se gratter l'anus ou à se plaindre de démangeaisons; a des lésions de grattage autour de l'anus; est irritable; a de petits vers blancs autour de l'anus ou sur les selles, souvent plus visibles la nuit.
Les petits vers blancs, ronds et mobiles sont parfois visibles à la surface des selles ou dans les sous-vêtements. Le principal signe est la démangeaison anale (ou « prurit anal ») qui survient le soir au coucher et au cours de la nuit, perturbant le sommeil et pouvant provoquer des lésions de grattage.
Le ver possède 4 cœurs et 3 paires de reins ! Le ver de terre ne possédant pas d'yeux, il se repère au moyen d'organes sensibles à la lumière. Son corps est formé de segments. C'est-à-dire de petits anneaux qui entourent toute la longueur du corps.
La bouche est surmontée d'un lobe saillant en forme de langue, le prostomium (figure 1). Les vers de terre utilisent leur prostomium pour « percevoir » l'environnement qui les entoure.
Oui, le ver de terre possède à l'avant de son corps un collier de nerfs qui lui sert de cerveau ! Il est relié à une chaîne nerveuse qui se trouve dans sa face ventrale du ver. Et au niveau de chacun de ses anneaux, cette chaîne forme un renflement.
Parfois appelés vers de compost, on les reconnaît facilement à leurs anneaux très distincts et leur couleur rougeâtre. Ils sont fins et petits, vivent en surfaces dans les premiers centimètres du sol mais surtout en forêt, dans la litière, dans les excréments d'herbivores ou bien dans les tas de déchets organiques.
Les vers de terre dans le jardin
En creusant leurs galeries ils permettent une bonne aération du sol, une circulation de l'eau optimale et un meilleur développement des racines dans cette terre ameublie : leur rôle est essentiel.
Les lombrics se nourrissent de nombreuses formes de matières organiques, par exemple tontes de jardin, épluchures de légumes, des feuilles en décomposition, marc de café, coquilles d'oeuf et des organismes vivants tels que les nématodes, les protozoaires, les rotifères, les bactéries et les champignons.
Ajoutez un verre de moutarde dans 2 gallons d'eau (un arrosoir rempli d'eau). Mélangez bien et versez la solution sur une surface d'environ 2 pieds carrés. Après quelques minutes les vers de terre vont sortir du sol et se laisser attraper.
Les vers de terre se conservent assez longtemps pourvu que la terre soit suffisamment humide mais pas mouillée, et nourricière. Pour cela mettez dans un gros seau de type seau à choucroute une moitié de terre puis des feuilles mortes ou des morceaux de carton de livraison que vous aurez humidifié.
– Mettre à profit leurs galeries pour remplacer le travail du sol, optimiser l'irrigation et favoriser la prospection des racines ; – Les nourrir en amenant de la cellulose ; – Ramener au sol les matières vertes produites au jardin ; – Mettre à profit leurs déjections pour optimiser la fertilisation des cultures.