- Chez la personne âgée, le nombre de glandes sudoripares est diminué, du fait de l'âge. En cas de vague de chaleur (diurne et nocturne), ces glandes sont stimulées en permanence. Au bout de quelques jours, elles « s'épuisent » et la production de sueur chute.
Les raisons de cette vulnérabilité sont : des troubles de la sudation : Dans un contexte de fortes chaleurs, les personnes âgées produisent moins de sueur que les personnes plus jeunes. Elles ont donc plus de mal à adapter leur corps aux élévations soudaines de températures.
Certaines personnes sont tout simplement plus ou moins sensibles aux stimuli que d'autres: leur hypothalamus réagit plus ou moins vite aux signaux que lui envoie la peau, et ils ressentent donc plus ou moins vite la chaleur.
- Chez la personne âgée, le nombre de glandes sudoripares est diminué, du fait de l'âge. En cas de vague de chaleur (diurne et nocturne), ces glandes sont stimulées en permanence. Au bout de quelques jours, elles « s'épuisent » et la production de sueur chute.
Plusieurs signes peuvent indiquer que la mort approche. Les fonctions du corps diminuent et se préparent à arrêter : le patient n'a plus faim ni soif, se fatigue rapidement, dort de plus en plus et s'isole. Il est difficile de prévoir le moment exact du décès, car chacun est différent.
La chaleur affecte la capacité du corps de régler sa température et les expositions prolongées à la chaleur peuvent surmener l'organisme. Elles peuvent mener à la déshydratation, aux coups de chaleur (insolation), à d'autres malaises graves ou même au décès.
Sous l'effet de la chaleur, les vaisseaux cutanés se dilatent et le sang se répartit vers les extrémités. Le cœur est alors obligé de pomper davantage, augmentant ainsi le rythme cardiaque de 10 à 15 pulsations/minute de plus, même au repos.
L'épuisement par la chaleur est une perte excessive de sels (électrolytes) et de liquide provoquée par la chaleur, qui entraîne une diminution du volume sanguin, provoquant divers symptômes, y compris parfois l'évanouissement ou l'effondrement.
Une personne frileuse craint d'avoir froid, elle aime donc le chaud, la chaleur. À l'inverse, on qualifie une personne qui n'aime pas la chaleur de thermophobe , mais ce mot est rare.
L'hyperthermie se traduit par une élevation de la température du corps provoquée par une accumulation de chaleur.
Certaines régions du cerveau commencent à manquer d'oxygène quand il fait chaud car le corps envoie plus de sang que d'ordinaire dans le reste de notre corps pour le refroidir. Dans ce cas-là, nous finissons par agir de manière plus impulsive, sous le coup de l'émotion.
Résultant d'une exposition prolongée à la chaleur, il provoque une surchauffe du corps, qui se traduit par une fièvre élevée, une rougeur du visage, des maux de tête, une forte sensation de soif voire des vomissements et des troubles de la conscience.
L'adaptabilité à une chaleur forte dépend également de la santé de chacun. "Lorsque l'on souffre de problèmes cardio-vasculaires, d'asthme ou d'allergies, on sera davantage et plus vite incommodés par la chaleur", note Caroline Fordpied.
Les personnes âgées de 75 ans et plus sont les plus touchées avec 2 272 décès en excès, soit 1 décès en excès sur 6 chez les 75 ans et plus. L'excès de mortalité relatif observé dans les départements placés en vigilance rouge (+ 19,9 %) est plus important que celui des autres départements.
Lorsque la température est très haute ou très basse pendant plusieurs jours, le nombre de décès par défaillance cardiaque ou AVC peut augmenter de près de 10%. On sait que les vagues de chaleur ou de froid peuvent entraîner des augmentations du nombre de décès.
L'hypothalamus est le centre de contrôle de la thermorégulation. C'est là que se trouvent des récepteurs sensibles à la température (thermorécepteurs) qui enregistrent la température du noyau central. L'hypothalamus reçoit des informations complémentaires des thermorécepteurs de la peau et de la moelle épinière.
A l'inverse, en été, en réponse à la chaleur, la vasodilatation des vaisseaux va abaisser la pression artérielle. Mais des nuits chaudes associées à un sommeil perturbé en raison de la chaleur ont tendance à élever la pression artérielle durant la journée suivante.
La personne pleure. Elle veut parfois exprimer cette tristesse seule et parfois être accompagnée dans l'expression de cette grande peine. Les personnes en fin de vie expriment souvent qu'elles auraient voulu que cette vie se poursuive encore longtemps et comment il est difficile de laisser ceux qu'on aime.
C'est souvent, après de longs détours, qu'une allusion à la fin de vie va être évoquée par le patient, de manière non explicite ou sous forme d'une interrogation, en montrant le corps touché par la maladie, soit en demandant jusqu'où cela peut aller, soit en reparlant de l'inefficacité du dernier traitement, soit, tout ...
Quelle est la définition de "fin de vie" ? Comme le rappelle le ministère de la Santé, en France, une personne est en dite en "fin de vie" lorsqu'elle souffre d'une affection ou maladie grave et incurable, en phase avancée ou terminale, et donc lorsque son pronostic vital est engagé.
La température du logement doit se situer idéalement entre 19 et 22°C. En raison d'une perception erronée de la température chez les personnes âgées, il convient de vérifier régulièrement que l'espace de vie est suffisamment chauffé.
Les personnes les plus susceptibles d'être atteintes d'un épuisement dû à la chaleur sont les personnes âgées, les nourrissons et les jeunes enfants, les personnes atteintes de maladies chroniques et les gens qui travaillent ou font de l'exercice dans un environnement chaud.