L'acteur majeur de ce phénomène est l'agriculture, responsable à 80% des déboisements dans les zones tropicales. L'activité agricole peut prendre différentes formes: l'élevage, la culture du soja et de l'huile de palme, le caoutchouc, mais aussi la pâte à papier.
La pollution, y compris l'utilisation de produits chimiques, de combustibles fossiles et de plastiques, perturbe les écosystèmes de la Terre et, ce faisant, nuit aux espèces et les force à modifier leurs habitudes.
Les impacts de l'homme sur les forêts naturelles du monde ne se limitent pas à la déforestation. Le feu, la coupe de bois et l'invasion par des animaux et des plantes exotiques sont quelques exemples d'impacts directs sur la biodiversité et les stocks de carbone des parties non déboisées, ou vestiges forestiers.
Les menaces naturelles, comme le feu, les insectes et les maladies, font partie intégrante de la dynamique forestière. Cependant, elles peuvent perturber le flux des biens et services procurés par les forêts, en nuisant à la croissance et à la survie des arbres, à la qualité et au débit de l'eau et à la biodiversité.
38% des espèces forestières sont menacées par l'invasion d'espèces problématiques incluant : les espèces exotiques / hybrides qui font pression sur les espèces d'arbres indigènes, mais aussi la propagation de parasites et de maladies ou encore les animaux d'élevage ou sauvages qui mangent les jeunes plants.
Le rythme de déforestation montre des signes de ralentissement au niveau mondial et des progrès considérables ont été accomplis dans certains pays pour réduire le taux de perte de forêt au cours des 5 à 10 dernières années.
Pour des raisons sanitaires : Certaines maladies, ou insectes ravageurs, obligent le propriétaire à couper l'arbre atteint et à le brûler sur place. C'est le cas pour : les chancres, les fomes ….
la préservation des sols forestiers et des cours d'eau grâce à un cahier des charges mis en œuvre par les intervenants en forêt ; Abandon de l'utilisation de produit phytopharmaceutique en forêt ; la restauration de l'équilibre forêt-gibier.
L'homme habite à proximité ou dans la forêt, il exploite le bois pour faire du feu. Cela lui permet de se chauffer, de faire cuire sa nourriture ou encore de fabriquer des outils en fer. C'est également dans la forêt qu'il puise sa nourriture, tant végétale qu'animale.
La forêt est une ressource d'une importance vitale pour l'humanité. L'exploitation industrielle des forêts, l'exploitation de bois de chauffage et charbon de bois, ainsi que l'agriculture constituent les facteurs majeurs de la déforestation.
Les hommes détruisent la forêt pour chercher de l'or, du pétrole, construire des maisons, des autoroutes et pour mettre en place de nouvelles cultures (huile de palme, soja, etc.). Ils ne laissent pas le temps à la forêt de repousser. C'est ce que l'on appelle la déforestation.
Les principales causes de dégradation des sols sont anthropiques : agriculture intensive, déforestation, surpâturage, pollution industrielle, irrigation… Et cette dégradation risque de s'aggraver si rien n'évolue dans les pratiques agricoles et environnementales.
En général, les activités humaines ont des répercussions sur l'environnement lorsque : elles produisent des rejets (émission de polluants, eaux usées, production de déchets, etc.); elles modifient (dégradent) le sol et l'habitat; elles utilisent et font disparaître les ressources.
Biodiversité La déforestation entraîne une destruction des habitats naturels menaçant 80 % de la biodiversité terrestre, pour les espèces de la faune et la flore abritées par les forêts.
Aggravation du réchauffement climatique
En 25 ans, la quantité de CO2 absorbée par les forêts mondiales a chuté de plus de 17 gigatonnes et l'on estime que la déforestation serait responsable d'environ 20 % de l'effet de serre dû aux activités humaines.
Elles jouent un rôle de barrières contre les glissements de terrain et les avalanches. Elles peuvent donner de la nourriture pour le bétail et sont l'habitat du gibier. Elles sont des lieux de récréation pour le public, et un milieu de détente et de convalescence - et contribuent également à la beauté du paysage.
Les forêts hébergent 80 % de toute la biodiversité terrestre. Les animaux, plantes, champignons et bactéries fournissent des services indispensables à la nature et à la survie de l'homme. Ils ont également une valeur économique inestimable.
Les forêts et les arbres des terres arides facilitent l'infiltration de l'eau dans le sol, redistribuent l'eau vers le haut – améliorant ainsi le cycle des nutriments et l'équilibre hydrique – et aident à maintenir l'humidité de l'air, à réduire l'érosion du sol due au vent et à l'eau, et à tempérer les climats locaux ...
Les défrichements, les incendies, la surexploitation des terres, le surpâturage, le déboisement, les méfaits de la lutte biologique, les pluies acides sont à l'origine de destruction du couvert végétal.
Les inconvénients d'un Groupement Forestier
Aux risques de perte (le capital n'est pas garanti) et de faible liquidité s'ajoute un risque inhérent aux forêts : le risque naturel. Les forêts sont effectivement soumises aux risques de tempêtes, d'incendie, etc.
Des solutions concrètes pour lutter contre la déforestation
Pour contrebalancer les gaz à effet de serre émis, il est possible de recourir au reboisement, de réduire la consommation d'énergie ou encore de privilégier l'énergie renouvelable, et ce, quel que soit l'endroit où l'on se trouve.
Mettre un terme à la déforestation. La déforestation contribue fortement à l'érosion de la biodiversité, au réchauffement climatique et à la fragilisation des populations locales qui dépendent des écosystèmes forestiers pour subvenir à leurs besoins.