"Les cinq principaux facteurs de la perte de biodiversité sont les changements d'utilisation des terre (dont l'agriculture), la surexploitation (chasse pour la nourriture), les espèces invasives, la pollution et le changement climatique.
Actuellement, l'homme a un effet plutôt destructeur sur la nature : il rase des forêts, construit des routes, utilise des produits chimiques qui tuent massivement certains insectes, pêche plus que nos océans ne le permettent… La biodiversité souffre de ces activités et décline fortement.
L'homme modifie l'environnement pour ses besoins en ressources ou pour aménager le territoire, il peut ainsi avoir une action directe et indirecte sur les peuplements des milieux.
La destruction des écosystèmes
Les activités de l'Homme peuvent être responsables de la dégradation ou de la destruction des écosystèmes (par exemple, par la déforestation). Un écosystème dégradé ou détruit affecte l'ensemble des espèces qui en font partie.
L'effet de serre est déséquilibré par les activités humaines, en particulier l'utilisation des énergies fossiles (pétrole, gaz, charbon). Celles-ci provoquent artificiellement l'augmentation des concentrations de gaz à effet de serre dans l'atmosphère et, par conséquent, accentuent le réchauffement de notre planète.
La pollution, y compris l'utilisation de produits chimiques, de combustibles fossiles et de plastiques, perturbe les écosystèmes de la Terre et, ce faisant, nuit aux espèces et les force à modifier leurs habitudes.
L'augmentation des déchets domestiques ou industriels rejetés par l'homme modifie les milieux et les rend parfois impropres à la vie. La diversité des espèces animales et végétales s'en trouve diminuée. La France produit chaque année 580 millions de tonnes de déchets.
Un des changements observables est la dégradation de l'environnement, c'est-à-dire la pollution de l'eau, de l'air, des milieux naturels, etc. Elle est due à de multiples causes, les plus importantes étant l'augmentation de la population, l'augmentation des activités industrielles et la surconsommation.
exploitation minière; utilisation de pesticides en agriculture; incinération des déchets; utilisation de divers produits chimiques volatils.
Les principales causes de dégradation des sols sont anthropiques : agriculture intensive, déforestation, surpâturage, pollution industrielle, irrigation… Et cette dégradation risque de s'aggraver si rien n'évolue dans les pratiques agricoles et environnementales.
L'agriculture peut aussi agresser le sol en provoquant son tassement par le passage d'engins de plus en plus lourds. Le sol compacté ne laisse passer ni l'eau, ni l'air et la faune des recycleurs du sol (par exemple, les vers de terre) diminue.
Les impacts de l'homme sur les forêts naturelles du monde ne se limitent pas à la déforestation. Le feu, la coupe de bois et l'invasion par des animaux et des plantes exotiques sont quelques exemples d'impacts directs sur la biodiversité et les stocks de carbone des parties non déboisées, ou vestiges forestiers.
On peut citer : La modification des habitats naturels par la déforestation des forêts tropicale et amazonienne, très riches en espèces végétales et animales. Les polluants chimiques émis, souvent toxiques pour les êtres vivants. Le changement climatique, qui modifie trop rapidement les conditions de vie des espèces.
La dégradation de l'environnement se produit en grande partie à cause des activités réalisées par les êtres humains, telles que la construction de barrages ou le tourisme sur la côte, qui aggravent les conditions de l'environnement, affectant les espèces animales et végétales qui y vivent.
Protéger l'environnement, c'est préserver la qualité de l'air que nous respirons. L'air est absolument indispensable à notre survie. Nous ne pouvons pas survivre plus de quelques minutes sans respirer. L'air nous apporte l'oxygène, carburant de nos cellules.
Il n'est ni bon ni mauvais, mais exprime ses tendances compassionnelles ou cruelles selon l'identité de la victime. La zone de la cruauté (le noyau accumbens) est un générateur de plaisir, activé aussi bien par la nourriture que par l'alcool, les drogues ou le sexe.
Parmi ces chiffres, l'activité la plus polluante est la production et distribution d'électricité, de gaz, de vapeur et d'air conditionné, précise Eurostat.
Le réchauffement climatique
Les gaz à effet de serre, dus à la combustion du pétrole, du gaz et du charbon qui servent entre autre à produire de l'électricité et de la chaleur participent à la pollution de la planète et sont la principale cause du réchauffement climatique actuel.
Selon l'Organisation mondiale de la santé, « la pollution atmosphérique représente désormais le plus grand risque sanitaire environnemental au monde. » En effet, elle est responsable d'environ 3,7 millions de morts chaque année (selon une étude de 2012).
L'élevage plus polluant que l'aviation
On y découvre qu'en 2019, l'agriculture était le deuxième poste d'émissions de GES du pays, représentant à elle seule "19% du total national", soit 83,1 mégatonnes d'équivalent CO2. Et la quasi-majorité d'entre elles proviennent de l'élevage (48%).
Les activités humaines comme la déforestation, l'agriculture intensive, l'industrialisation ont pendant longtemps modifié la faune et la flore conduisant à une forte baisse de la biodiversité.
Tous les secteurs d'activité humaine sont susceptibles d'émettre des polluants atmosphériques : les activités industrielles, les transports (routiers et non routiers), les activités domestiques (chauffage en particulier), l'agriculture, la sylviculture…..
En effet, les conséquences de la dégradation de l'environnement sur notre santé ne sont pas anodines : perturbation de la croissance, maladies respiratoires et cardio-vasculaires, baisse de la qualité de vie, stress, allergies…