Le système limbique est impliqué dans les émotions et la mémoire. Le système limbique est impliqué dans la sensation de peur qui peut être reproduite en stimulant par l'hypothalamus et l'amygdale. A contrario, en détruisant les amygdales, la peur et la réaction sur le corps disparaît.
Ensemble de structures cérébrales situées dans la région médiane et profonde du cerveau, jouant un rôle majeur dans la mémoire et les émotions, de même que dans l'élaboration des comportements.
Dans le crâne des humains coexisteraient trois cerveaux: le cerveau reptilien, un cerveau de mammifère et un néocortex proprement humain.
Le système limbique fait figure du centre des émotions et de la mémoire. Le néocortex représente le centre des fonctions cognitives supérieures et concerne ainsi par exemple la stratégie, les raisonnements spatiaux et long terme, la perception, la pensée consciente ou encore le langage.
Le « cerveau reptilien » est un concept censé expliquer nos comportements primitifs – des besoins les plus élémentaires comme s'alimenter ou se reproduire jusqu'à nos pulsions les plus violentes.
Le néocortex constitue chez tous les mammifères une large partie du cerveau qui est essentielle à la perception de l'environnement, à l'élaboration de réponses motrices aux stimulus externes, ainsi qu'aux fonctions cognitives.
Si vous la voyez tourner dans le sens contraire des aiguilles d'une montre, vous utilisez plutôt l'hémisphère gauche. Si vous la voyez tourner dans le sens des aiguilles d'une montre, vous utilisez plutôt l'hémisphère droit.
Système limbique : qu'est-ce que c'est ? Ensemble de zones du cerveau connues pour jouer un rôle dans l'olfaction, la mémoire et la régulation des émotions. On sait que le système limbique exerce une influence sur le système endocrinien (organes sécréteurs d'hormones).
Les émotions primaires (ou dites « de ba- se») peuvent être observées chez la plu- part des vertébrés. Leur nombre varie se- lon les études, cependant on en retient généralement six : la joie, la surprise, la peur, la colère, le dégoût et la tristesse (une septième émotion, le mépris, est parfois ajoutée).
Les émotions de base (colère, peur, tristesse, dégoût, joie, surprise) sont pour la plupart associées à une activité accrue dans la poitrine. Cela correspond à des modifications dans le rythme respiratoire ou cardiaque. Ce sont aussi celles qui provoquent les sensations physiques les plus fortes.
Le cerveau reptilien s'est ensuite développé chez les amphibiens et a atteint son stade le plus avancé chez les reptiles, il y a environ 250 millions d'années. Il comprend le tronc cérébral et le cervelet, essentiellement ce qui forme le cerveau d'un reptile.
L'amygdale reçoit constamment des informations sensorielles qu'elle évalue. Fonctionnant comme un système d'alerte, le complexe amygdalien du cerveau décode les stimuli afin de pouvoir orienter et dicter des réactions comportementales.
On présente souvent le cerveau gauche comme associé au raisonnement logique et rationnel, le cerveau droit étant plutôt intuitif et émotionnel. Il y aurait ainsi des personnalités plutôt « cerveau gauche » ou « cerveau droit », qui utiliseraient plus un côté du cerveau que l'autre.
Le système limbique est lié anatomiquement et fonctionnellement par l'intermédiaire de l'hypothalamus à hypophyse (lobe postérieur) et à l'épiphyse.
Le système limbique est donc constitué de plusieurs noyaux situés sous le cortex (on dit que ce sont des structures subcorticales) et à proximité du thalamus : L'hippocampe (du grec ancien hippocampos, signifiant » cheval courbé « ) : rôle dans l'apprentissage et le stockage d'une information en mémoire à long terme.
Situées au centre du cerveau, les petites structures impliquées sont principalement l'hypothalamus, le noyau accumbens (centre du plaisir, appartenant aux ganglions de la base), et l'amygdale (centre des émotions comme la peur ou le stress). Le cerveau rationnel adapte en permanence nos comportements.
Grâce à toutes ces données le cerveau se préoccupe de nous tenir ou plutôt de maintenir notre équilibre vital et crée de la fatigue qui selon Timothy Noakes devient une émotion plutôt qu'un événement physique.
Le stress, anglicisme signifiant "tension" issu du latin stringere ("mise en tension") n'est pas une émotion ni un sentiment mais une réaction biologique et psychique, spontanée, naturelle, en cascade, de l'organisme face à son environnement.
Les troubles de l'humeur sont des troubles mentaux impliquant des troubles émotionnels consistant en de longues périodes d'excessive tristesse (dépression) ou d'excessive gaieté ou exaltation (manie), ou les deux.
Corps et esprit sont intimement liés, grâce au cerveau. Dès qu'une situation menaçante survient, c'est le cerveau des émotions, qu'on appelle aussi système limbique, qui réagit. À chaque stress qui nous assaille, l'amygdale, véritable système d'alarme, envoie ses messagers chimiques vers l'hypothalamus.
Le cortisol favorise la mobilisation du glucose et inhibe certaines fonctions (dont le système immunitaire). Le cortisol exerce en retour un rétrocontrôle négatif sur la libération de CRH par l'hypothalamus et favorise le rétablissement de conditions de fonctionnement durable (résilience).
En examinant son cerveau, Broca découvre une lésion localisée au niveau de la troisième circonvolution cérébrale gauche. Il en déduit que cette zone joue un rôle précis dans la formation du langage parlé, allant jusqu'à affirmer que « nous parlons avec l'hémisphère gauche ».
Selon la théorie qui sous-tend ces tests, cela signifie que vous utilisez majoritairement l'hémisphère droit de votre cerveau. Le « cerveau droit » serait le siège de la créativité, de l'imagination ainsi que des pensées et des émotions.