Lire de la Fantasy à 30 ans ne signifie pas qu'on est immature ou qu'on ne veut pas se confronter à la réalité. Parfois, cela permet de mieux comprendre notre monde ou les relations humaines, justement.
Ce sont des romans très secouants, en général avec un très bon potentiel d'écriture. Tandis que le roman fantastique n'a pas cette structure proche du classique littéraire, il est là juste pour distraire et donner envie d'avancer dans la lecture. Ce sont les livres les plus lus, bien sûr !
Le dépaysement, l'évasion, l'aventure et le rêve principalement. Le fait que ce soit différent de la réalité. Mais aussi le possible, lire ce qui pourrait arriver, ce qui est déjà là mais qu'on ne voit pas. La liberté de ton et d'images.
L'héroïc fantasy, est un genre littéraire qui présente un récit héroïque dans le cadre d'un monde merveilleux. Un terme qui peut sembler familier tant il est utilisé dans de nombreux domaines tels que la littérature, le cinéma, la bande dessinée ou encore les jeux vidéo.
L'Observatoire de l'Imaginaire détaille ses données : « La fantasy est lue en priorité par un public féminin, entre 20 et 39 ans, là où la science-fiction l'est majoritairement par des hommes après 40 ans. » Globalement, 50 % déclarent lire du fantastique et 20 % du steampunk.
Re: quand on n'aime pas le fantastique
Parce que le fantastique est justement dans la frontière entre le réel et l'irréel. Cela peut être un récit réaliste, mais d'une chose irréaliste. Il y a des fils de bêta qui ont besoin de bêta en ce moment.
La principale différence entre la fantasy et le fantastique réside dans le fait qu'un événement surnaturel ou magique soit vécu comme une normalité dans un récit de fantasy alors qu'il fait peur dans un récit fantastique, car justement, il ne peut pas être expliqué.
Genre littéraire qui mêle, dans une atmosphère d'épopée, les mythes, les légendes et les thèmes du fantastique et du merveilleux. (Recommandation officielle : fantasie.) [On dit aussi heroic fantasy.]
La plupart des Final Fantasy ont un scénario s'appuyant sur des cristaux correspondant à chaque force naturelle (le feu, l'eau, la terre, l'air). Le but des ennemis est en général de s'approprier ces cristaux et utiliser leur pouvoir pour dominer le monde.
La fantasy moderne commence véritablement à prendre forme à la fin du XIX e siècle. Elle débute avec l'Écossais George MacDonald, auteur des romans The Princess and the Goblin et Phantast. Ce dernier est généralement considéré comme le premier roman de fantasy écrit à destination des adultes.
Le fantastique pourrait ainsi se résumer en quelques questions: qu'est-ce que la réalité? Où passe la frontière entre le possible et l'impossible? De quoi sommes-nous certains? La fonction première du fantastique est de mettre en cause les présupposés sur lesquels repose notre vision cloisonnée du monde.
L'ambiance du récit fantastique est glauque, exploite à fond la tension dramatique et les thématiques sinistres. Apparitions fantomatiques, phénomènes étranges, délires schizophréniques, pactes avec le diable, vengeances, etc. tout est mis en place pour alimenter un sentiment de trouble, d'inquiétude et d'angoisse.
Dans un récit fantastique, l'écrivain provoque le trouble, l'inquiétude, la peur et l'angoisse chez son personnage. Par extension, c'est aussi le lecteur qui a peur et qui doute. Ce trouble est avant tout provoqué par un événement étrange.
Le fantastique peut être utilisé au sein des divers genres : policier, science-fiction, horreur, contes, romances, aventures et merveilleux lui-même.
Pourquoi ? Car au moment de choisir un livre, le lecteur noue un accord tacite avec l'auteur, il lui accorde sa confiance. Pour le lecteur, le livre matérialise l'espoir de lire ce qu'il recherche. Et ce que le lecteur recherche, c'est une promesse grande et belle : il veut lire un livre qui satisfera ses désirs.
Si le cinéma fantastique attire un large public adolescent, c'est parce qu'il sait plus que tout autre genre illustrer leurs sentiments, évoquer leurs doutes et malaises.
Lightning Returns, le Final Fantasy XIII de trop
Grâce aux notes Metacritic, LA référence en matière d'évaluations de jeux vidéo, il est possible de déterminer quel est le pire Final Fantasy selon les fans.
Sephiroth dans « Final Fantasy VII »
C'est le méchant de la franchise Final Fantasy le plus iconique, et aussi le plus malfaisant. Résultat d'une expérience scientifique effroyable, il possède une force surhumaine et une maîtrise parfaite de l'épée.
N'importe quoi, le meilleur Final Fantasy, c'est Final Fantasy VIII [c'est de moi, ça] ». Mais le 7 est probablement l'épisode qui revient le plus souvent.
Partez d'une idée générale et affinez petit à petit les limites et détails de votre univers afin de lui donner de la profondeur et du sens. Suite à cela, il sera temps de planter le décor : montagnes, volcans, jungles tropicales… Laissez libre cours à votre imagination.
Première nation à avoir connu une industrialisation massive, l'Angleterre a aussi dû essuyer les bouleversements économiques et sociaux qui ont suivi. C'est en réponse à ces changements radicaux qu'est née la première fantasy.
Revenons à nos moutons : la série Harry Potter est-elle du fantastique ? Non. Les trois caractéristiques principales du genre sont : l'action a pour cadre le monde réel, le doute quant à l'existence et la réalité de l'événement surnaturel et des thèmes tels que le rêve, le cauchemar ou la folie.
La série des Harry Potter peut être rattachée à la littérature jeunesse, aux littératures de l'imagination et à la fantasy. Moldue : les objets bougent, parlent et les sorciers se transforment en animaux. À ce titre, « Harry Potter » est bien un représen- tant du genre fantasy.