L'adénomyose utérine correspond à la présence de glandes de l'endomètre et du stroma de la musculature utérine; elle tend à provoquer une augmentation diffuse du volume de l'utérus. Dans l'adénomyose, le tissu endométrial ectopique tend à induire une augmentation diffuse de volume de l'utérus (utérus globulaire).
Il est situé au-dessus du vagin, entre la vessie et le rectum. Il mesure environ 7 cm de longueur et 5 cm de largeur (dans sa dimension la plus large). L'utérus est maintenu en place dans le bassin par plusieurs ligaments.
La chirurgie la plus efficace en cas d'adénomyose reste l'hystérectomie, avec une disparition des hémorragies et une bonne amélioration des douleurs. Elle est bien sûr réservée aux patientes ne souhaitant plus de grossesse, et après échec des traitements médicamenteux.
Ses dimensions sont de 6 à 8 cm de long par 4 cm environ de large au niveau du corps et son épaisseur varie de 2 à 3 cm. Il est aplati d'avant en arrière. Le corps est grossièrement triangulaire. La partie la plus postérieure du corps reçoit l'implantation des trompes utérines.
La cervicite est une inflammation du col de l'utérus (la partie basse et étroite de l'utérus qui mène au vagin). Elle peut être provoquée par une infection ou une autre maladie. La cervicite est souvent causée par une infection sexuellement transmissible, mais peut être due à d'autres pathologies.
Des douleurs pelviennes et/ou lombaires sont aussi typiques du cancer de l'utérus à un stade avancé. Elles peuvent être plus ou moins intenses, permanentes ou intermittentes, et survenir ou non au cours des rapports sexuels et/ou durant la miction.
L'adénomyose n'est pas un cancer, mais elle peut entrainer l'infertilité.
L'adénomyose peut-il entraîner une fatigue ? L'adénomyose peut provoquer de la fatigue indirectement, via des douleurs et pertes de sang importantes.
L'adénomyose utérine superficielle due à la pénétration de l'endomètre dans les 12 mm de la paroi utérine. Cette forme provoque des saignements importants pendant et en dehors des règles ; L'adénomyose utérine profonde, qui, en plus des saignements, engendre des douleurs importantes.
Votre ventre a bien grossi : la hauteur utérine est à 32 cm. Il va atteindre son volume maximal avant l'accouchement car le bébé est encore haut ; sa tête ou son siège ne sont pas encore descendus dans le bassin.
Les symptômes des infections utérines comprennent fréquemment une douleur dans le bas de l'abdomen ou du pelvis, de la fièvre (habituellement dans les 1 à 3 jours suivant l'accouchement), une pâleur, des frissons, une sensation générale de malaise ou d'inconfort, et souvent des céphalées et une perte de l'appétit.
Prendre soin de sa flore vaginale
Si vous voulez prendre soin de votre utérus, il est important de protéger votre flore vaginale. Elle contient en effet un grand nombre de bonnes bactéries que l'on appelle lactobacilles.
À certaines périodes du cycle – ou à cause de certains aliments – les lésions dues à l'endométriose peuvent provoquer un gonflement du ventre, et le rendre parfois même très dur.
Résumé Le traitement de l'adénomyose est fonction de la symptomatologie et du désir de grossesse. En l'absence de désir de grossesse, les hémorragies se traitent médicalement en première intention : progestatifs per os ou in utero, agonistes du gonadotrophin-releasing hormone (Gn-RH).
Pour faire simple, l'adénomyose, c'est une infiltration de cellules similaires à celles de l'endomètre dans le muscle utérin, nommé myomètre. Contrairement à l'endométriose qui va envahir certains autres organes selon l'humeur du jour (comme la vessie ou l'intestin), l'adénomyose s'attaque à l'utérus.
Selon la Haute Autorité de Santé, lorsque la pilule ne fonctionne pas ou n'est pas supportée, le dienogest (11) peut être prescrit afin d'apaiser les symptômes de l'endométriose. Il s'agit également d'une pilule, d'un traitement hormonal donc, mais avec un fort effet progestatif.
L'intervention est pratiquée par vidéo-chirurgie. On introduit dans l'abdomen distendu par du gaz, une caméra ainsi que 2 ou 3 instruments par des orifices cutanés de 5 à 10 mm et l'utérus est extrait soit par morcellation à l'intérieur d'un des orifices soit par les voies naturelles.
Seule l'analyse au microscope du tissu de l'endomètre, prélevé par biopsie ou curetage, permet d'établir un diagnostic définitif de cancer de l'endomètre.
Les facteurs de risque
Les causes des cancers de l'endomètre sont multiples : hormonales, génétiques, métaboliques (obésité, hypertension)… Parmi les facteurs de risque les plus importants, on peut citer l'âge et l'obésité éventuellement associée à un diabète, une hypertension ou un syndrome des ovaires polykystiques.
Le dépistage du cancer du col de l'utérus par l'analyse des cellules du col et/ ou la réalisation du test HPV-HR, au cours d'un frottis, est, avec la vaccination contre le papillomavirus, le meilleur moyen de lutter contre ce cancer.
Le pic d'incidence du cancer du col de l'utérus se situe vers 40 ans et l'âge médian au diagnostic est de 51 ans. Il est rare chez les femmes âgées de moins de 30 ans et celles âgées de plus de 65 ans. Les taux d'incidence et de mortalité par cancer au col de l'utérus sont en constante diminution.
Le cancer du col de l'utérus est principalement dû à une infection persistante, d'une durée de 10 à 15 ans, par des virus appelés papillomavirus humains (virus du papillome humain ou HPV, abréviation de humanpapillomavirus) à haut risque et transmis par voie sexuelle.