Madame, soyez et votre fils patients n'oubliez pas que la petite fille n'a que 2 ans et comme nous savons tous à cet age l'enfant se comporte spontanément, si elle vous fait des bisous et des câlins chez vous c'est parcequ'elle veut être en sécurité c'est la façon des enfants pour rejeter le sentiment de peur quand ils ...
Que signifient ces rejets infantiles ? Ils peuvent avoir plusieurs causes, et perdurer ou s'aggraver du fait d'une réaction parentale mal calibrée. Le plus souvent, il s'agit de simples « jeux relationnels », d'expériences de vie que fait l'enfant. Il découvre les relations, les teste, vérifie leurs limites...
Elle veut qu'elle soit irréprochable, performante, aimée. Ses critiques peuvent aussi résulter de sa propre anxiété: elle a tellement peur que sa fille soit jugée par d'autres et elle veut tellement la préserver des coups qu'elle les porte elle-même en se disant que, venant d'elle, ça fera moins mal.
Il peut être issu de nombreux facteurs. Si c'est en général un des deux parents qui est à l'origine des jeux et des activités, qui a une approche douce et pleine d'affection, tandis que l'autre parent est moins présent et plus autoritaire, voilà une première source d'explication.
Faites-lui des compliments à propos de son apparence, de sa personnalité, de son sens de l'humour et de tout le reste. N'en faites pas trop, mais assurez-vous de l'exprimer à voix haute lorsque vous ressentez ce genre de choses. Elle va se sentir spéciale et elle va vous aimer encore plus.
Si elle vous évite de manière évidente, vous pouvez toujours lui demander jusqu'à quel point elle vous aime ou vous apprécie. Voyez s'il y a d'autres garçons avec qui elle flirte. Si elle courtise d'autres personnes, il est donc probable qu'elle ne soit pas intéressée par vous.
Lorsque la carence affective se prolonge ou se répète, des signes plus spécifiques apparaissent. Balancements, stéréotypies, automutilations, tous ces comportements ont pour objectif une autostimulation de l'enfant qui cherche ainsi à se sentir vivant.
Il suffira de lui donner du temps et les choses se rétabliront d'elles-mêmes. Cependant, il est important que le parent «rejeté» soit compréhensif et qu'il ne prenne pas le rejet de l'enfant de manière personnelle. Il est essentiel de ne pas réagir en se fâchant ou en retirant son affection à l'enfant.
Si les propos de votre enfant vous blessent parce que vous avez peur qu'il préfère réellement son père ou qu'il ne vous aime plus pour vrai, il est important de garder votre sang-froid et de toujours vous rappeler que les enfants aiment leurs parents de manière inconditionnelle.
Non, il n'est pas obligé d'aimer sa mère du point de vue du devoir, si celle-ci lui nuit et ne lui porte elle-même aucun amour. Mais de là à dire qu'on peut réellement ne ressentir strictement aucun amour pour sa mère, quel que soit son comportement, il est plus compliqué d'y répondre.
Pour cela, une seule solution : faire une pause et pratiquer l'écoute active. Cessez de parler. Posez-lui des questions et reformulez clairement ce qu'elle vous dit. Vous comprendrez mieux son point de vue et elle se sentira, de son côté, davantage écoutée.
A chaque blessure correspond un masque : Ainsi, le rejet adopte le masque du fuyant : il peut fuir les relations, il peut fuir dans l'imaginaire, les conduites à risques. Il peut même se fuir lui-même.
Le rejet lui, est beaucoup plus grave car il fait naître une blessure narcissique qui touche à notre existence même, à notre place. L'autre nous repousse et cela nous fait penser que nous n'avons pas de valeur. Le rejet est toujours une négation de l'être, il remet en cause qui nous sommes »,explique-t-elle.
La réponse est que notre cerveau est structuré pour répondre de cette façon. Lorsque nous sommes rejetés, abandonnés ou subissons une perte, les mêmes zones du cerveau impliquées dans la douleur physique sont activées, à savoir l'insula antérieure et le cortex cingulaire antérieur.
Vous pouvez écrire un message comme : « Je comprends que tu souffres beaucoup en ce moment et crois-moi, je suis désolé de t'avoir fait du mal. Lorsque tu seras prêt, j'espère que tu seras disposé à me rencontrer pour en parler. Fais-moi savoir quand tu seras disponible. Je t'aime et tu me manques. »
Le manque affectif se ressent par une douloureuse sensation de vide intérieur et une tendance aux conduites addictives. Identifiable comme symptôme de la dépendance affectif, le manque d'affection s'exprime dans le cadre des relations affectives.
Pour pourvoir guérir de la carence affective, il est important de prendre conscience de cet état. Il est donc nécessaire d'encourager les personnes victimes de ce trouble à consulter un psychologue, pour qu'elles puissent accepter la réalité.
Les signes de la dépendance affective sont nombreux : difficulté à prendre des décisions seul, peur de décevoir, peur d'être rejeté ou d'être abandonné, affects dépressifs, difficulté pour dire non, anxiété, conduites à risque, peur de dire ou de faire quelque chose qui pourrait contrarier votre entourage, amour-propre ...
"Être une bonne mère, c'est être une mère suffisamment bonne”, disait Donald Winnicott, éminent pédiatre et psychanalyste anglais (1896-1971). Une mère sachant répondre aux besoins et désirs de son enfant, sans les ignorer... ni les devancer. Il faut le clamer haut et fort, la mère parfaite n'existe pas.
Si les conflits entre mère et fille sont inévitables, c'est parce qu'il s'agit de deux femmes, qui cherchent d'abord à élaborer, ensuite à séparer leurs destins féminins. Il n'y a pas de lien mère-fille simple: la normalité est que celui-ci soit fait d'accords et désaccords, d'éloignements et réconciliations.