La grande différence entre « parce que » et « puisque » est le fait que l'interlocuteur ne connaît pas la cause alors qu'avec « puisque » l'interlocuteur la connaît déjà.
-parce que exprime une cause, il insiste sur une cause : J'ai pleuré parce que je m'étais fait mal. Là, on insiste sur la cause des pleurs, qui est la douleur. -puisque exprime, comment dire, c'est subtil, ça veut dire 'évidence'.
1) Parce que
“Par ce que” indique la cause, la raison, le pourquoi de quelque chose ! En fait ça exprime la cause de façon neutre, ça répond à la question “pourquoi ?”.
Si la phrase répond à la question « par quoi », on écrit « par ce que » en trois mots. Mais si la phrase répond à la question « pourquoi », on écrit « parce que » en deux mots : Il est surpris par ce que je lui propose.
qui exprime une cause ou une justification données pour déjà connues de l'interlocuteur ou considérées comme incontestables] Synon. car, comme, dès* que, dès* lors que, dès* l'instant où, étant donné* que, du moment* que, pour la (bonne) raison* que, attendu* que (jur.), vu* que (admin., fam.). Puisque...
Attendu que, car, comme, puisque, etc.
Pourtant, c'est faux : « malgré que » n'est pas correct. Ce n'est pas moi qui le dis, c'est l'académie française. Après malgré, on ne peut jamais dire « que ». On peut dire « bien que » – il y a plein de prépositions qu'on utilise avec « que » mais « malgré » n'est jamais suivi par « que ».
Attendu que, car, comme, puisque, etc. Introduit une explication à la proposition suivante.
Classique interrogation pour retenir la liste des conjonctions de coordination : Mais, ou (sans l'accent), et, donc, or, ni, car. Mais connaissez-vous Adam ? Adam part pour Anvers avec cent sous, entre derrière chez Decontre.
Définition de parce que
Exprime la cause. ➙ attendu que, car, puisque. sans complément Marque le refus d'une explication.
Conjonction qui fait la liaison d'une cause et d'une conséquence intimement liées. Marque le motif et la cause, la raison évidente et introduit une justification impatiente.
Si le mot sur lequel on s'interroge peut être remplacé par « lorsque » (ou par « à quel moment », « le moment où », etc.), il s'agit de « quand ». Sinon, il s'agit de « quant », qui signifie « en ce qui concerne ».
Parce que peut aussi être placé en début de phrase : Parce que j'ai découvert ce groupe de musique j'ai fait beaucoup de progrès en anglais. Parce que, si je ne le fais pas maintenant, personne ne le fera à ma place. et est utilisé dans un sens négatif, pour dénoncer ou bien remettre en cause, se plaindre etc.
MAIS, OU, ET, DONC, OR, NI, CAR sont des conjonctions de coordination. Elles coordonnent ou lient deux mots ou deux propositions de nature ou de fonction identiques.
Les compléments de phrase placés après le groupe du verbe ne sont normalement pas détachés par une virgule, à moins de vouloir créer un effet d'insistance. Exemple : Je dois recommencer parce que je me suis trompé. Je dois recommencer, parce que je me suis trompé.
« Mais où est donc Ornicar ? », ou « Mais où est donc Carnior ? » en Belgique, en France, au Liban et au Québec, est une phrase mnémotechnique permettant de retenir les conjonctions de coordination en français (à savoir : mais, ou, et, donc, or, ni, car).
Une conjonction de coordination est un mot (ou groupe de mots), invariable, qui relie deux mots, propositions ou phrases. Un adverbe de liaison est un mot (ou groupe de mots), invariable, qui relie deux mots, propositions ou phrases.
Conjonctions de subordination :
que, puisque, parce que, alors que, afin que, si bien que, etc. quand, comme, si.
La virgule s'emploie obligatoirement entre les mots, les syntagmes et les propositions qui sont coordonnées sans conjonction (mais, or, et, etc.). On parle alors de juxtaposition. - On monte, on descend, on crie, on s'agite en tous sens.
On écrit « parce que » lorsque l'expression répond à la question « pourquoi ? ». Une autre astuce consiste à remplacer « parce que » par « car ». Si c'est possible sans changer le sens de la phrase, alors il faudra écrire « parce que » en deux mots.
adv. Adverbe qui marque l'opposition entre deux choses liées ou entre deux aspects d'une même chose. Cependant, mais, néanmoins, toutefois.
J'ai correspond au verbe avoir conjugué au présent, et que j'aie au verbe avoir conjugué au subjonctif.
La locution conjonctive bien que introduit une concession qui vise une situation passée ou présente, tandis que même si sert à introduire une hypothèse ou une éventualité.
Après « bien que », le verbe est au subjonctif. On n'écrit donc pas « bien que je n'ai pas le permis », mais « bien que je n'aie pas le permis ». Phrase correcte.