« Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? » (v. 2, cf. Mt 27, 46).
pourquoi m'as-tu abandonné, et t'éloignes-tu sans me secourir, sans écouter mes plaintes ? Mon Dieu ! je crie le jour, et tu ne réponds pas ; la nuit, et je n'ai point de repos. Pourtant tu es le Saint, tu sièges au milieu des louanges d'Israël.
Âme du Christ, sanctifie-moi, Corps du Christ, sauve-moi, Sang du Christ, enivre-moi, Eau du côté du Christ, lave-moi, Passion du Christ, fortifie-moi. Ô bon Jésus, exauce-moi. Dans tes blessures, cache-moi. Ne permets pas que je sois séparé de toi.
On le fait au moyen d'une formule appropriée : dans MD, le possessif mon ajoute une proximité affective. le cri suppliant d'un homme qui, n'ayant pas reçu le secours vital qu'il attendait, lance par deux fois son appel (Mon Dieu, Mon Dieu), comme quand on cherche quelqu'un qu'on ne trouve pas, qui ne répond pas.
Considéré comme un nom propre, le nom « Dieu » prend alors une majuscule ainsi que les métonymies ou les pronoms qui s'y substituent.
Locution interjective
Expression qui exprime la surprise ou l'émotion.
Les psaumes sont des poèmes, des prières traditionnelles du peuple d'Israël. Ils sont la parole du peuple qui s'adresse au Dieu de l'Alliance. Utilisés par Jésus lui-même, ils formaient le recueil des chants pour le culte : louanges, supplications, demande de pardon, action de grâce.
Prière de délivrance : Psaume 143
Béni soit le Seigneur, mon rocher ! + Il exerce mes mains pour le combat, * il m'entraîne à la bataille. Il est mon allié, ma forteresse, ma citadelle, celui qui me libère ; il est le bouclier qui m'abrite, il me donne pouvoir sur mon peuple.
Le psaume 20 (19 selon la numérotation grecque) est attribué à David. C'est une prière communautaire pour une personne mystérieuse dont l'identité apparaît progressivement.
INRI serait l'acronyme, dit Titulus Crucis, de l'expression latine Iesvs Nazarenvs, Rex Ivdæorvm généralement traduit par : « Jésus le Nazaréen, roi des Judéens », une autre proposition, pourtant dénuée de sens dans son contexte historique initial, serait « Igne Natura Renovatur Integra » "le feu renouvelle tout dans ...
Elle repose sur l'affirmation du salut par un rédempteur divin, le Messie envoyé par Dieu pour racheter les péchés des hommes. Paul a tiré parti de ce que le Dieu créateur est unique mais se présente dans le Pentateuque sous deux noms : " Ecoute Israël, le Seigneur notre Dieu est le seul " (Deutéronome 6, 2).
Ce premier recensement eut lieu pendant que Quirinius était gouverneur de Syrie. » C'est ce qui explique selon cet évangile le déplacement de Joseph et Marie de Nazareth à Bethléem, où naît Jésus.
Le psaume 23 (22 dans la numérotation grecque) est un psaume de la Bible hébraïque, donc de l'Ancien Testament, attribué au Roi David, qui décrit Dieu comme le Berger.
Le psaume 21 (20 selon la numérotation grecque) est attribué à David. Prière louant la faveur accordée par l'Éternel à un roi non nommé. Pour les chrétiens, ce roi est le Christ.
La position du priant dans la tradition biblique est essentiellement la tenue debout avec les mains levée vers le ciel, à hauteur du visage. Comme pour demander au Dieu de la relation d'alliance qu'il accorde au croyant l'harmonisation entre la pensée et l'action.
Sainte Rita, patronne des causes désespérées.
Je te présente mon péché Seigneur, que ton sang précieux coule sur moi pour m'en libérer, me guérir de mes fautes. Je te présente Seigneur toutes mes peurs, toutes mes angoisses. Débloque Seigneur tout ce qui manque de simplicité et d'amour dans ma relation à l'Église, ma mère et à tous ses ministres.
Matin après matin, le psaume 95 (94) invite à prendre pied sur la communion, l'émerveillement, la confiance et la responsabilisation, et à entrer ainsi dans sa journée par la porte étroite qui conduit à la vie.
« Car Dieu est ton ami toi Seigneur ! « Seigneur, je remets entre tes mains le nom de mon enfant. Grave-le profondément en toi afin que rien ni personne ne puisse l'enlever. Protège-le chaque fois que je suis contraint(e) de lâcher sa main.
C'est un juron. Origine : Cette expression tire son origine d'une autre, "par le sang de Dieu", issue du XIVe siècle. Celle-ci étant jugée blasphématoire, elle est remplacée par différentes variantes, dont "Bon sang de bonsoir".
Que les Dieux vous protègent. May the lords protect you.
1. (Au singulier ou au pluriel, avec une minuscule, et un féminin déesse) Dans les religions polythéistes, être supérieur doué d'un pouvoir surnaturel sur les hommes ; divinité : Les dieux des Romains.
Dieu le Père
Le Nouveau Testament, en grec, emploie le mot Θεος (Théos) pour désigner Dieu, parallèlement au mot Κυριος (Kurios), traduit en français par « Seigneur ». Les deux vocables s'appliquent à Dieu le Père ainsi qu'à Jésus de Nazareth, dans les deux cas avec ou sans article (Ac 14.