Pourquoi l'enfant se frappe-t-il? Le plus souvent, un enfant se frappe parce qu'il est dépassé par ses émotions. Il n'arrive pas encore à exprimer un besoin ou une frustration qu'il ressent.
Par des gestes violents, un enfant teste parfois les limites. Il s'imagine que ses parents céderont à ses désirs s'il réplique de cette façon. Il faut donc réagir rapidement après son geste pour lui dire que ce comportement est inacceptable et ensuite l'encourager à exprimer ses frustrations avec des mots.
Pour cela, il convient d'aider l'enfant à se calmer en associant la parole au geste : "On lui dit 'non, on ne tape pas' et on reste une minute avec lui, on prend ses mains et on se met à sa hauteur ou on le prend sur nos genoux.
Leurs émotions sont très vives et il arrive donc que des enfants se frappent lorsqu'ils sont en colère : c'est, pour eux, un moyen d'évacuer la frustration. Se cogner la tête (certains se mordent, d'autres s'arrachent les cheveux) permet à ces enfants de soulager l'excès émotif.
En résumé, mon enfant mord ou tape pour me faire comprendre quelque chose. La plupart du temps, son comportement n'a rien à voir avec la violence, c'est simplement un moyen d'expression. Vous êtes là pour l'accompagner vers l'acquisition du langage et lui apprendre à gérer ses émotions !
Ce qu'il faut faire
Si votre enfant frappe les autres lorsqu'il est au parc, expliquez-lui que c'est interdit de taper, isolez-le quelques minutes pour qu'il comprenne son geste.
Il s'agit de lui signifier en prenant une grosse voix et en faisant les gros yeux que ce qu'il a fait n'était pas bien et qu'il ne doit pas recommencer. Cette admonestation ferme et sévère du parent, mais sans excès et sans que cela dure trop longtemps, constitue à elle seule une punition pour le petit enfant !
Un moyen d'exprimer ses émotions
Lorsqu'un enfant ne parle pas encore, les moyens dont il dispose pour s'exprimer sont limités. Se taper la tête contre les murs est ainsi un geste qui lui permet d'exprimer une frustration ou un besoin qu'il ressent.
Appelez rapidement votre médecin
La surveillance de 48 heures s'impose car des complications peuvent apparaître durant cette période. L'accident est souvent évitable par des mesures simples : Ne laissez jamais votre enfant sans surveillance, en particulier dans les situations suivantes : Table à langer.
Il a du mal à bouger un bras ou une jambe. Il a de la difficulté à marcher ou manque de coordination dans ses mouvements. Il a une bosse ou une déformation dans la région du cuir chevelu (sur le dessus, l'arrière ou les côtés de la tête). Il est tombé d'une hauteur de plus de 0,9 mètre (3 pieds) ou de 5 marches.
La fessée et les autres punitions corporelles, comme secouer, gifler, taper ou pincer, ont des effets négatifs sur le développement psychologique et social d'un enfant.
On propose généralement, dans les livres et les formations sur l'opposition, des systèmes de récompense ou l'utilisation des mesures punitives afin de « casser » leur comportement.
Cette « crise des deux ans », qui se caractérise par de (grosses) colères à répétition et des sauts d'humeur, est souvent difficile à gérer par les jeunes parents, notamment pendant les repas du soir de votre enfant. Vous êtes concerné par cette situation ?
Les règles doivent être claires et connues. Employez des mots que votre enfant comprend, selon son âge. Formulez la règle de manière positive. Par exemple, dites : « Je veux que tu parles sur un ton calme », plutôt que « Si tu n'arrêtes pas de crier, tu te retires dans ta chambre sans télévision ».
Comment faire ? Faites un jeu avec lui. Expliquez-lui, que chaque fois que (nom de l'enfant) veut lui prendre son jouet (ou tout autre comportement qui le dérange), il doit s'affirmer en disant, haut et fort : «NON». Ensuite, dites-lui que vous allez lui montrer comment faire.
Si votre enfant subit de façon répétée des violences verbales et/ou morales (surnoms méchants, insultes, moqueries, brimades, rejets du groupe, etc.), des violences physiques (bousculades, coups), des vols, il est victime de harcèlement.
L'irritabilité : votre enfant peut devenir plus impulsif, répondre de façon agressive ou tendue. Dans certaines situations vous avez pu observer des crises de colère ou des changements rapides de comportement. Il peut passer du calme à l'agitation, du rire au calme, des pleurs à l'agressivité.
Pourquoi certains enfants se frappent-ils? Un enfant qui se frappe exprime une émotion et il a besoin d'aide pour apprendre à la gérer.
Il faut punir un enfant lorsque celui présente un comportement que vous, adulte, parent, éducateur, estimez indésirable, problématique ou perturbateur. Un enfant qui, par exemple, perturberait une discussion en l'interrompant et en faisant trop de bruit.
Un enfant peut frapper pour exprimer sa colère, sa frustration, de la jalousie ou simplement pour jouer. Comprendre son geste et l'origine de son agressivité permet de la réduire les « coups » et d'apaiser le quotidien.
Il s'agira simplement d'un enfant vif. Un enfant qui bouge beaucoup est un bon signe. Cela montre qu'il s'ouvre au monde et est curieux de le découvrir.
Un bébé hypertonique est un bébé aux besoins intenses (BABI) d'attentions de la part des parents.
Dès l'âge de 3 ans, l'enfant commence à mieux comprendre les règles, et peut donc être sanctionné s'il ne les respecte pas. La méthode du retrait donne souvent de bons résultats à cet âge-là : elle consiste à demander à votre enfant de s'isoler dans une pièce pour réfléchir calmement à ses actes…
Punir, pourquoi pas, mais pas sans prévenir. Définissez les limites à ne pas dépasser ! L'enfant doit être averti qu'il sera sanctionné si, par exemple, il embête encore une fois sa sœur ou s'il répète des gros mots.
La punition doit avoir un sens, le but n'étant pas de rendre l'enfant triste sans lui faire comprendre la raison de sa punition. Au contraire, la punition doit donner un sens à sa faute afin qu'il ne recommence plus.