Des résineux qui brûlent mal (à des températures pas assez élevées) encrassent les conduits et les vitres de vos poêles et cheminées. En effet, les résineux contiennent de la résine qui aura tendance à encrasser davantage que les feuillus qui n'en contiennent pas.
Conseils pour choisir le bon bois de chauffage
Par contre il est conseillé d'éviter le Saule, le Tilleul et le Peuplier ainsi que tous les résineux tels que le Pin, le Sapin, le Mélèze. Moins denses, ces derniers brûleront plus vite et risquent de provoquer un goudronnage.
Les résineux (pin, épicéa…) et certains feuillus (le peuplier, le bouleau et le platane) sont en revanche à éviter : seulement 600 kWh par mètre cube apparent. Riches en sèves, ils brûlent vite et encrassent les installations si la température au sein du foyer n'est pas suffisamment élevée.
Le sapin de Noël
Grosse erreur ! En effet, le bois, bien qu'il soit non traité, contient une grande quantité de résine peinant à brûler. Votre foyer risque alors de s'encrasser fortement, d'être enfumé et dans le pire des cas, de provoquer un incendie.
Pour un poêle à bois, il est conseillé d'utiliser des essences adaptées. Ainsi, il est préférable de choisir un bois dur à écorce fine tel que le hêtre ou le frêne. A côté, pensez également à un bois tendre tel que le bouleau pour amorcer vos feux. Le prix du stère varie approximativement entre 55 et 100 €.
Le chêne est largement reconnu comme l'un des meilleurs types de bois de chauffage pour les appareils de chauffage au bois. L'un des principaux avantages du chêne est sa densité et son pouvoir calorifique élevés. Le chêne est un bois dense qui brûle lentement et génère une chaleur intense et durable.
Pommier : Il s'agit d'un bon combustible, dont la combustion est lente et régulière lorsqu'il est sec. Il génère également peu d'étincelles et de crépitements et son parfum est agréable. Il est idéal pour cuisiner.
Le taux d'humidité du bois ne doit pas dépasser 20%.
Enfin, des bûches ou granulés de bois avec un fort taux d'humidité brûlées peuvent dégager une importante quantité de vapeur d'eau. Les pellets de mauvaise qualité ou trop humides peuvent également encrasser et abîmer votre système de chauffage.
Ramasser des pommes de pin (autant que vous voudrez), et les faire sécher quelques jours dans un endroit sec (ou au four, si vous voulez aller plus vite). Il suffit ensuite de les ouvrir ou de les écraser, afin d'éviter qu'elles n'explosent. Puis, comme pour les bouchons de liège, de les poser dans le barbecue.
En règle générale, le temps de séchage du bois de chauffage va de 1,5 an à 3 ans.
Le charme, le chêne et le hêtre : ce sont trois essences à haut pouvoir calorifique et qui assurent un rendement optimal. Le frêne, l'érable et le bouleau sont moins calorifique mais restent parfaits pour votre feu. Le saule, le peuplier, le tilleul et le marronnier chauffent peu.
Ainsi, les bois résineux, issus de conifères, produisent plus de gaz que la quantité nécessaire pour alimenter le feu. Résultat : l'excédent est éliminé « en force » des fibres du bois. C'est ce phénomène qui est à l'origine de ces crépitements.
Le pin offre des vertus antitussives, expectorantes, fluidifiantes, antiseptiques, antiallergiques respiratoires et pectorales. Il est souvent utilisé pour soigner la bronchite, la laryngite, la sinusite, la grippe, le rhume, la toux, l'asthme, le rhume des foins et les affections pulmonaires chroniques.
Le Pin fait partie de ces espèces de bois résineux qui sont naturellement imputrescibles. C'est-à-dire qu'il résiste naturellement aux attaques d'insectes et de champignons contrairement à d'autres espèces comme le bouleau ou le hêtre par exemple. Nul besoin de les asperger de produits chimiques en tout genre !
Pour faire disparaître l'humidité, rien de mieux que l'air. Le lieu de stockage de votre bois doit donc être ventilé. En évitant qu'il ne soit dans un axe de courant d'air pour que le vent pose de fines particules d'eau. L'exposition peut aussi permettre un séchage plus rapide.
Évitez les bois résineux
Les bois résineux, tels que le pin, produisent davantage de résidus qui peuvent contribuer à la formation de bistre. Privilégiez les bois durs, tels que le chêne, le hêtre ou le noyer, qui produisent moins de résidus et brûlent plus proprement.
Les essences toxiques Laurier-rose, teck figuré et caroubier vert sont connus pour faire partie des bois toxiques. À proscrire dans la cheminée. 6. Les bois flottés Le bois flotté est décoratif mais il n'a pas sa place dans une cheminée.
Les fumées et les odeurs se dégageant du sapin en feu peuvent incommoder votre entourage. Ils peuvent aussi alerter les services d'hygiène de votre mairie. Enfin, brûler vos arbres de Noël présente surtout un risque d'incendie qui peut être dramatique.
Le cerisier est un arbre fruitier appartenant au genre Prunus, comme l'abricotier, l'amandier, le pêcher ou le prunier. Comme tous les arbres fruitiers, il fait donc partie du groupe G2, celui des feuillus mi-durs. Cela signifie que son bois, utilisé comme combustible, produira une belle chaleur.
Les résineux
Le sapin, le pin, le douglas et l'épicéa sont les essences résineuses les plus répandues et utilisées en bois de chauffage. Le bois d'un arbre résineux est moins dense que celui des feuillus, mais a un très bon pouvoir calorifique.
L'ADEME (l'Agence de la transition écologique) explique que le taux de rendement d'une cheminée classique se situe en moyenne aux alentours de 15 %. L'insert peut faire monter ce taux de rendement jusqu'à 85 %. Les poêles à bois se distinguent aussi par un très bon rendement pouvant aller jusqu'à 90 %.
La réponse est OUI car c'est une énergie locale et bon marché, dont le coût n'est pas soumis aux crises géopolitiques ni aux conflits internationaux comme le sont les énergies fossiles importés.
La durée de vie moyenne d'un insert de cheminée est d'environ 10 ans. Il est possible qu'une durée de vie différente soit indiquée par le fabricant. En général, on change ce dernier lorsque le bois brûle trop rapidement, que le rendement baisse ou encore que l'on observe des problèmes d'étanchéité.