S'endormir peu de temps après avoir vécu un traumatisme renforcerait les émotions négatives liées à cet événement. C'est du moins la conclusion d'une étude américaine qui contredit de précédents travaux sur le sujet.
La majorité des traumatismes crâniens n'auront pas besoin d'examen complémentaire, il suffira d'une surveillance au domicile ou à l'hôpital en fonction de la gravité pendant 48h. En cas de traumatisme important ou de facteur de risque, un scanner cérébral est indiqué.
Il n'est pas nécessaire que quelqu'un vous réveille pendant la nuit après une commotion. Pendant les premières 24-72 heures, reposez-vous au besoin. Après la phase initiale, il est important de maintenir une routine de sommeil saine.
Quels sont les signes et les symptômes d'une commotion cérébrale? Consultez immédiatement un médecin si un étudiant présente des « signes d'alarme » comme une douleur au cou, des vomissements répétés, une confusion grandissante, des convulsions, ou une faiblesse ou un fourmillement dans ses bras ou ses jambes.
Les chocs ou les chutes sur la tête sont des accidents relativement fréquents, heureusement le plus souvent sans conséquence.
Le traumatisme crânien grave constitue de ce fait un handicap invisible, dont la prise de conscience peut être difficile pour l'entourage, mais aussi pour l'enfant lui-même.
Les symptômes sont notamment un mal de tête persistant, de la somnolence, de la confusion, des troubles de la mémoire, une paralysie du côté opposé du corps, des troubles de la parole ou du langage et d'autres symptômes qui dépendent de la région cérébrale lésée.
Les symptômes d'un traumatisme crânien sont multiples : maux de tête, nausées et vomissements, et diverses atteintes neurologiques comme des pertes de sensibilité, de la motricité ou une aphasie, une somnolence ou des troubles visuels.
Après un choc à la tête (ou après un processus d'accélération-décélération brutale type « coup du lapin ») on parle de traumatisme crânien léger (TCL) quand certains signes sont en faveur d' un ébranlement discret mais réel du cerveau.
De plus, toujours à supposer que ces résultats soient confirmés, la prescription de sédatifs aux personnes touchées par un traumatisme pourrait alors faire plus de mal que de bien. Des conséquences sévères : Dormir après un gros stress peut avoir des conséquences sévères.
Au cas où un antidépresseur n'est pas nécessaire, on peut traiter les difficultés de sommeil à l'aide d'un somnifère, mais il est conseillé d'en limiter l'usage à quelques semaines. Si les cauchemars posent un grand problème, on peut prescrire un médicament appelé Prazosine pour en réduire la fréquence.
Le traumatisme crânien désigne une blessure ou la lésion du cerveau suite à un coup ou un choc violent à la tête. Une commotion cérébrale est une forme atténuée de traumatisme crânien. Le cerveau est généralement bien protégé à l'intérieur de la boîte crânienne.
Les vomissements : attention, ils peuvent être fréquents après un traumatisme crânien. Dans le cerveau, il existe une zone appelée « Trigger zone » ou « zone du vomissement ». Stimulée au moment du choc, cette zone peut faire vomir l'enfant. Un vomissement simple n'est donc pas exceptionnel.
Selon l'échelle de Glasgow, nous pouvons classer le traumatisme crânien en trois niveaux : – mineur si GCS ≥ 13 ; – modéré si GCS entre 9 et 12 ; – sévère si GCS ≤ ou égale à 8.
"On se questionne autour du syndrome des traumatisés crâniens dans lequel il y a des causes et des facteurs psychologiques. Ce qui déclenche la fatigue, ce sont surtout les infections ou les traumatismes émotionnels, les états de stress très importants.
Un repos et un traitement des symptômes peuvent aider à cette normalisation. Dans 20% des cas, les troubles persistent au-delà d'un mois. Une consultation spécialisée avec un neurologue ou un médecin de rééducation devient nécessaire.
La fatigue mentale est une plainte majeure retrouvée chez 30 à 70 % des patients traumatisés crâniens [45].
Après avoir fait une commotion cérébrale, il est recommandé d'effectuer une période de repos afin de diminuer les symptômes. Le repos est essentiel afin de permettre au cerveau de se reposer et de se remettre de la crise énergétique engendrée par la commotion cérébrale.
Le choc neurogénique est une complication classique d'un traumatisme médullaire impliquant généralement le rachis cervical. Il est caractérisé par une vasoplégie et une bradycardie, secondaires à l'atteinte du système nerveux sympathique.