Je ne jette jamais de chewing-gum par terre - MtaTerre. Un chewing-gum est fabriqué à partir de polymères issus du pétrole et ne se dégrade pas rapidement quand il est jeté au sol. Si les eaux de pluie l'entraîne dans les égouts puis les rivières, il ne se dégradera pas non plus.
Il faut en moyenne cinq ans pour qu'un chewing-gum se dégrade. Collés sur les trottoirs ou abandonnés dans la nature, les chewing-gums polluent notre environnement et enlaidissent notre ville. Mais derrière ces effets visibles, le chewing-gum produirait d'autres pollutions plus dangeureuses …
Utiliser les poubelles est le geste le plus simple pour jeter tous ses petits déchets tel que le chewing-gum. 150 euros est le montant maximum de l'amende encourue en cas de non respect de cet geste.
Il faut savoir que le chewing-gum n'est pas un matériau biodégradable, il ne peut pas se biodégrader. La gomme est souvent issue du pétrole, mais elle peut aussi être naturelle. Mais d'où qu'elle vienne, de toute façon, elle va se dégrader de la même manière. La dégradation du chewing-gum peut aller jusqu'à 50 ans.
- des douleurs abdominales, - des crampes, - des flatulences, - des ballonnements, - le hoquet. Il favorise également les ulcères en déclenchant dans l'estomac une production d'acide gastrique qui attaque les parois de l'estomac et provoque à la longue des ulcères.
Surnommé la «maladie du chewing-gum», ce syndrome, qui affecte la production de collagène, touche environ une personne sur 5.000 et provoque notamment une hyperlaxité articulaire, une hyperélasticité de la peau, un vieillissement prématuré suite à l'exposition au soleil, ou encore de l'ostéoporose.
Mâcher un chewing-gum augmente également la concentration de calcium dans la salive, ce qui permet de renforcer l'émail des dents. Les chewing-gums sans sucres - donc non cariogènes - et labellisés UFSBD peuvent donc être consommé une vingtaine de minutes, deux à trois fois par jour.
En réalité, il sera fragmenté, dissous et évacué dans les selles, comme nous l'apprend le site Santé Magazine. Le seul danger en avalant son chewing-gum est que ce dernier fasse fausse route et passe par la tranchée au lieu de l'œsophage.
1866 : aux Etats-Unis, un général mexicain vend à Thomas Adams un stock de chicle. Celui-ci veut le transformer en pneus de bicyclette, mis ça ne marche pas. Alors il y ajoute du sucre pour l'adoucir : le chewing-gum est né ! 1871 : Thomas Adams invente une machine pour fabriquer le chewing-gum en grande quantité.
Savourez un chewing gum vegan True Gum pour un moment de plaisir gourmand. Ces chewing gum aux parfums originaux ont une belle composition 100% naturelle et vegan. Formulé à partir de dérivés de plantes, ce chewing gum est sans colorants artificiels, sans aspartame, ni ingrédients chimiques.
Les chewing-gums et autres produits à mâcher, par exemple, ne portent généralement pas de DDM ni de DLC, car leur durée de vie est très longue. Et bien entendu, ces produits ne présentent pas de risques pour la santé s'ils sont consommés après une certaine période.
Cinq ans en moyenne pour se décomposer, contre deux ans pour le mégot. Dans les deux cas, c'est très long, parce qu'ils contiennent tous les deux des dérivés du pétrole. Et ce n'est pas le seul point commun de ces déchets : ce sont aussi les plus jetés dans la nature, souvent de manière anodine.
Ceux qui sont les plus nombreux à en consommer ont entre 35 et 44 ans (74%), suivis de près par les 45 et 54 ans (70%) et les 25 et 35 ans (65%). Le chewing-gum sans sucres séduit également les 18-24 ans qui sont 60% à en mastiquer. Les plus de 55 ans sont les moins nombreux à en consommer, selon le sondage.
La tension de la mâchoire est aussi associée à la qualité du sommeil. Mâcher des chewing gums de manière excessive mène plus facilement au bruxisme qui est un serrement dentaire nocturne intempestif.
Les chewing-gum sont fabriqués à partir de boyaux de chat !
Chewing gum made in USA
Dès le milieu du XIXe siècle, un homme d'affaires originaire du Maine, John B. Curtis, met au point dans la cuisine de son épouse et commercialise pour la première fois une gomme d'épicéa au goût acidulé, la Spruce Gum.
✻CHEWING-GUM
xixe siècle. Emprunté de l'anglo-américain chewing, de to chew, « mâcher », et gum, « gomme ».
Le chewing-gum a un effet laxatif
L'organisme se prépare donc à recevoir la nourriture, et produit plus de salive. Cela entraîne donc plus de déglutitions, et l'absorption d'air, ce qui a tendance à engendrer : des ballonnements ; des flatulences.
Des ballonnements
Les chewing-gums sont plutôt à éviter, voire, à proscrire. Gastro-entérologue, Julien Scanzi l'explique. «Lorsqu'on mastique, on ingère les composants du chewing-gum, or, il ne comporte absolument rien de bon pour la santé.
Lorsque vous mâchez du chewing-gum, vous stimulez la production de salive dans votre bouche. Par conséquent, vous avalez plus souvent et luttez ainsi de manière naturelle contre les remontées de l'estomac.
Les inconvénients !
Les chewing-gum peuvent avoir des effets laxatifs et provoquer de fortes flatulences ou mêmes des diarrhées. Le sorbitol est l'une des substances utilisée dans le chewing-gum pour remplacer le sucre mais il provoque une augmentation de la salive et donc des ballonnements au niveau du ventre.
Petit à petit, la plaque dentaire peut être à l'origne de maladies des gencives ou d'une mauvaise haleine. Les chewing-gum sans sucres Buccotherm peuvent donc être une alternative idéale pour une haleine fraîche en toutes circonstances !
Selon une étude de 2008, le chewing-gum ne se contente pas de rafraîchir votre haleine – il peut soulager l'angoisse, améliorer la vigilance et réduire le stress lorsque vous êtes très sollicité.