Vous ne devez pas être à jeun, il est préférable de prendre un petit déjeuner. Cependant il faut proscrire la prise de café, Ricoré, thé, chocolat, banane et coca-cola, qui sont contre-indiqués pour cet examen, du fait des interférences avec la Persantine.
Il n'est pas nécessaire d'être à jeun mais vous devez prendre un petit déjeuner léger sans gras et sans laitage, par exemple tisane, pain et confiture. Enfin, il est conseillé de prévoir une tenue confortable, adaptée à l'effort.
Il ne faut pas consommer, durant les 48 heures précédant l'examen, des médicaments contenant du potassium et des aliments riches en potassium (comme les fruits secs, les bananes et les légumes secs). Durant les 24 heures qui précèdent l'examen, il ne faut pas prendre de café, de chocolat, de thé (ni théophylline).
Il n'est pas nécessaire d'être à jeun pour passer une scintigraphie osseuse. Le patient peut, par ailleurs, garder ses vêtements lors de l'examen, mais il doit en revanche retirer tout bijou ou objet métallique. Aucune préparation particulière n'est requise, si ce n'est d'avoir la vessie vide.
Le plus souvent, vous pouvez manger et boire comme d'habitude avant de venir, entre l'injection et la prise des images, et après l'examen. Boire de l'eau augmente même la qualité des images.
20 à 60 minutes pour le cœur, les os, les reins, etc.
Il n'y a pas d'effets secondaires ou de complications associés à cet examen. Y a-t-il des précautions particulières à prendre APRÈS l'examen ? Le produit qui vous a été injecté est très peu radioactif. Vous pouvez donc poursuivre vos activités normalement, sans danger pour vous ou pour vos proches.
Cela dépend de l'organe que l'on examine. L'attente peut durer de quelques minutes à plusieurs heures. Et comme des examens différents n'ont pas la même durée d'attente, il est possible que des patients arrivés après vous pour d'autres examens soient pris avant vous.
La scintigraphie osseuse
Cet examen permet de mettre en évidence les zones du squelette où l'os se renouvelle de manière excessive et trop rapide comme dans l'inflammation, les infections, les tumeurs, les fractures, l'arthrose…
Pour information, le prix d'un examen scintigraphique (qui est donc pris en charge directement par votre centre) varie entre 176 et 495 € en fonction de l'examen demandé. Pensez à amener votre carte vitale et attestation pour justifier de vos droits. Une borne vous permettra de mettre à jour votre carte.
Consignes après une scintigraphie
Boire abondamment (sauf en cas de contre-indication médicale) et uriner fréquemment pour faciliter l'élimination urinaire du traceur.
Cette partie dure 20 à 30 minutes. Puis quelques minutes plus tard, la 1ère série d'images scintigraphiques est réalisée, d'une durée de 15 minutes. Après 3 à 4 heures de repos, pendant lesquelles vous pouvez sortir (avec accord du cardiologue) et déjeuner, vous avez une nouvelle injection de produit radioactif.
UNE SCINTIGRAPHIE OSSEUSE, COMMENT ÇA MARCHE ? appelé radiopharmaceutique ou radiotraceur est injecté dans la circulation sanguine. Ce produit est composé d'une molécule vectrice et d'un mar- queur radioactif appelé radiotraceur. Le radiotraceur le plus souvent utilisé est le technétium-99m (Tc-99m).
Le PET-scan permet une cartographie plus exhaustive des métastases osseuses que la scintigraphie osseuse lors du bilan d'extension des cancers du poumon d'emblée métastatique osseux.
À retenir. Un intervalle de 3 jours minimum doit, si possible, être respecté entre deux examens avec un produit de contraste à base d'iode. Boire beaucoup d'eau avant et après l'examen (durant 2 jours) permettra à vos reins d'éliminer plus rapidement les produits injectés.
L'examen se déroule en général en trois parties : Il vous sera injecté un produit faiblement radioactif dans une veine du bras. Après une attente de 10 à 20 minutes, nous réaliserons des images de votre cœur à l'aide d'une gamma-caméra.
Cela peut venir de la position que vous adoptez en dormant, la posture causant le plus souvent des douleurs à ce niveau étant la position latérale. Si vous faites partie des personnes qui ont l'habitude de dormir sur le côté, essayez de passer sur le dos.
Le paracétamol
Les médicaments contenant du paracétamol (voir liste ici) sont recommandés en premier lieu. Dans le traitement de l'arthrose, le paracétamol peut être pris à la dose de 1 gramme, quatre fois par jour, mais uniquement sur prescription médicale. Le paracétamol est habituellement bien toléré.
Les examens radiologiques sont variés : échographie, radio, scanner, TEP Scan, scintigraphie osseuse… Cela peut être également des bilans biologiques, des marqueurs sanguins, et pour certains cancers, des marqueurs sanguins sont extrêmement efficaces pour nous dire si oui ou non il y a une rechute.
Une scintigraphie, à quoi cela sert ? Contrairement aux techniques d'imagerie structurelle (scanner, IRM, radiographies), la scintigraphie relève de l'imagerie fonctionnelle, qui permet de visualiser le fonctionnement des organes.
Le principe de cet examen repose sur l'administration par voie intraveineuse d'un produit faiblement radioactif, dit ostéophile, car se fixant fortement sur l'os. Dans un second temps, une caméra enregistre le rayonnement qui permet de visualiser les zones de forte fixation de ce produit.
Déroulement de l'examen
La veille de l'opération, le médecin effectue 4 injections d'un produit faiblement radioactif, autour du mamelon du sein qui va être opéré. Le matin de l'opération, deux images scintigraphiques sont réalisées pour visualiser le ou les ganglion(s) sentinelle(s).
Quels sont les risques de la médecine nucléaire ? L'imagerie nucléaire ne présente pas de risque particulier, les doses et le temps d'exposition aux radionucléides étant faible. Un risque d'allergie aux éléments marqués, notamment à l'iode, existe mais il est évalué avant l'intervention.
Le PET-scan sert à détecter une tumeur cancéreuse et/ou des métastases et à surveiller leur évolution. Il permet de faire une cartographie de leur localisation dans tout le corps, grâce à leur activité métabolique (c'est-à-dire en étudiant leur consommation de glucose après injection du produit radioactif).