Attention ! Evitez de piquer le pouce et l'index : c'est ce que l'on appelle « la pince ». En effet, la réalisation des glycémies capillaires à répétition peuvent entraîner une perte de sensibilité au bout des doigts et rendre plus difficile le fait d'attraper des objets.
Contrairement à l'idée reçue (ne pas utiliser le pouce et l'index) tous les doigts peuvent être utilisés pour effectuer un prélèvement capillaire. Selon les Référentiels de bonnes pratiques actualisés publiés par la SFD Paramédical sur la surveillance de la glycémie, il convient d'utiliser tous les doigts.
Pour mesurer la glycémie, on se pique sur le côté du doigt, ou à la base du pouce avec certains lecteurs, avec une lancette montée sur un auto-piqueur. On met en contact avec la goutte de sang la bandelette du lecteur de glycémie, qui affiche le résultat en quelques secondes.
Evitez de piquer le pouce et l'index dont on se sert le plus au quotidien. Il vous reste les 3 derniers doigts de chaque main soit 12 localisations !
Résultats? Lorsque les mains étaient lavées à l'eau, les glycémies étaient les mêmes qu'avant la manipulation des fruits. Toutefois, les glycémies obtenus sans qu'un lavage des mains ne soit effectué révélaient des résultats souvent deux fois plus élevés, dûs au sucre résiduel sur la peau.
Attention ! Evitez de piquer le pouce et l'index : c'est ce que l'on appelle « la pince ». En effet, la réalisation des glycémies capillaires à répétition peuvent entraîner une perte de sensibilité au bout des doigts et rendre plus difficile le fait d'attraper des objets.
Même une toute petite quantité de sucre sur les doigts peut fausser votre résultat (par exemple, si vous avez mangé un aliment sucré, comme des cerises, et que vous ne vous êtes pas lavé les mains). Conseil : N'oubliez pas de vous laver les mains avec de l'eau et du savon, même si vos mains semblent propres.
L'hyperglycémie se définit par une glycémie (taux de sucre dans le sang) au-delà des valeurs cibles pour la majorité des personnes diabétiques, soit : au-dessus de 7 mmol/L, à jeun ou avant un repas. au-dessus de 10 mmol/L, deux heures après le début d'un repas.
Voici quelques causes de l'hypoglycémie nocturne: Une dose d'insuline trop élevée au coucher. Un problème relié à votre technique d'injection de l'insuline. Une consommation de glucides plus faible qu'à l'habitude au souper ou durant la soirée.
Mesurer la glycémie au bon moment
Habituellement les [GA1] mesures de glycémie peuvent se faire avant les repas, deux heures après les repas, au coucher ou la nuit. Au besoin, vous pouvez aussi mesurer la glycémie hors de ces moments, par exemple si vous pensez faire de l'hypoglycémie (glycémie trop basse).
Mieux vaut privilégier des fruits peu sucrés et riches en fibres (les fibres ralentissant l'absorption des sucres) : poires, pommes, pêches, oranges, agrumes, fruits rouges (fraises, framboises, cassis...).
Le diabète de type 1, généralement appelé simplement diabète, était déjà identifié comme une affection associée à une « urine sucrée »: une glycémie élevée (hyperglycémie) conduit à la libération de sucre en excès dans l'urine, d'où provient l'expression « urine sucrée ».
Les cuisses, le haut des bras, le ventre jusqu'aux côtes et le haut des fesses, voici les sites conseillés pour s'injecter de l'insuline.
L'organisme produit une poussée d'hormones qui commence environ 2 h à 3 h avant l'heure habituelle du réveil, ce qui fait augmenter la glycémie à jeun (avant les repas). Sans l'action de l'insuline nécessaire pour réguler cette augmentation, la glycémie à jeun est élevée tôt le matin (ou à l'aube).
A jeun, une glycémie dite "normale" doit être comprise entre 0.70 et 1 gramme de glucose par litre de sang. Jusqu'à deux heures après le repas, la glycémie peut s'élever jusqu'à 1.4 g/L.
Les objectifs glycémiques sont fixés entre 70 et 120 mg/dl avant le repas et < 160 mg/dl en post-prandial. Pour le diabète de type 2 : dans tous les cas, les objectifs glycémiques sont fixés entre 70 et 120 mg/dl avant les repas et 180mg/dl en post-prandial.
L'eau, cette alliée de toujours
L'eau est essentielle pour les diabétiques comme pour tous. Il est donc recommandé de boire entre 1,5 et 2 litres par jour pour assurer le bon fonctionnement de l'organisme et l'élimination des déchets. Cependant, elle a aussi son rôle à jouer quant au contrôle de la glycémie.
Les mûres : elles plafonnent à 5 g de sucre pour 100 g de fruits et elles ont des vertus anti-oxydantes ; Le melon miel (melon à chair vert clair) : il contient 11 g de sucre pour 100 g de fruit ; Les oranges et pamplemousses : ils sont respectivement à 14 et 11 g/100 g de fruit.
A quelle distance du repas ? Il n'y a pas de consensus précisant l'objectif de la glycémie postprandiale, ni même à quel délai du début du repas elle doit être réalisée. Les recommandations américaines donnent une valeur maximale de 1,80 g/L au pic glycémique, soit entre 1 et 2 heures2.
L'âge moyen au décès est de 79 ans, et est plus élevé chez les femmes que chez les hommes (81 vs 76 ans), comme en mortalité générale.
En effet, le stress provoque la libération de certaines hormones, dont le cortisol, qui occasionnent une hausse de la glycémie. Ce phénomène est généralement bien contrôlé.
Les personnes diabétiques ont un risque plus élevé d'artériopathie des membres inférieurs. Cette complication est due à la présence de plaques d'athérome, dépôt principalement formé de cholestérol, dans les artères, gênant la circulation du sang.
Parmi ces médicaments, on trouve les corticoïdes, certains traitements du système nerveux (surtout les neuroleptiques dits atypiques), des anti-viraux, certains anti-cancéreux, des médicaments diurétiques, des contraceptifs hormonaux (surtout à forte dose d'estrogène ou de progestatif).