Brunei. À Brunei, monarchie absolue, ni les hommes ni les femmes n'ont le droit de vote aux élections nationales : ce droit (commun) ne s'applique qu'aux élections locales.
Le 21 avril 1944 est de ces dates qui marquent l'histoire de notre République et celle de la lutte pour l'égalité réelle entre les femmes et les hommes.
Françoise Giroud (1916-2003) - journaliste, écrivaine et femme politique française. Olympe de Gouges (1748–1793) - femme de lettres française, devenue femme politique, auteure de la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, en 1791. Gisèle Halimi (1927-2020) - avocate, grande figure du féminisme en France.
Jusque-là, les militaires étaient exclus du suffrage universel sous prétexte qu'ils ne devaient pas prendre parti dans les luttes politiques. La « Grande Muette » est néanmoins soumise à un devoir de réserve, comme l'ensemble des fonctionnaires.
Aux États-Unis, les femmes conquièrent le droit de vote dans un mouvement qui s'étale sur plus d'un demi-siècle, d'abord dans plusieurs États des États-Unis et dans plusieurs villes, parfois sous conditions, puis à l'échelle nationale en 1920.
Les ultimes évolutions de la condition des femmes ont lieu sous le règne de Mohammad Reza Shah : Droit d'éligibilité et de vote accordé en 1963. « Loi de la Protection de la famille » votée en 1967.
Au Bas-Canada, entre 1791 et 1849, les femmes, comme les hommes, propriétaires terriens, pouvaient voter. Au Québec, le droit de vote des femmes a été accordé par le gouvernement d'Adélard Godbout le 18 avril 1940.
(Fin du XIX e siècle) Composé de grande et de muette . Périphrase utilisée en France pour désigner l'armée et ses membres qui, sous la Troisième République, n'avaient pas le droit de vote. Encore aujourd'hui, ils ont, en principe, l'interdiction d'exprimer des opinions sur des sujets sensibles, sociétaux et politiques.
Plus précisément, c'est l'ordonnance du 21 avril 1944 signée par Charles de Gaulle qui reconnaît aux femmes le droit de vote. L'article 17 de cette ordonnance dispose que : "Les femmes sont électrices et éligibles dans les mêmes conditions que les hommes".
Un électeur qui ne se rend pas aux urnes peut se voir infliger une amende de 40 à 80 € , et jusqu'à 200 € en cas de récidive. Si l'électeur ne se présente pas à 4 reprises dans un délai de 15 années, il sera rayé des listes électorales pour 10 ans.
Les Suffragettes, est centré sur le mouvement suffragiste britannique pour le droit de vote pour les femmes au début du XX e siècle.
Fédération Nationale Solidarité Femmes - FNSF
Par ailleurs, les associations Solidarité Femmes initient et animent des actions de sensibilisation, de formation et de prévention et participent à l'organisation d'événements sur la question des violences faites aux femmes, en particulier des violences conjugales.
Les élections municipales de 1930 sont les premières où les femmes peuvent voter et être élues. En 1933, Gül Esin (tr) est la première femme élue chef de village, dans la province d'Aydın.
Cent ans du permis de conduire : une Gardoise a été la première femme à l'obtenir. Le permis de conduire a cent ans. Il a été créé le 31 décembre 1922. La première femme à obtenir ce droit de circuler en véhicule à moteur est Anne de Rochechouart de Mortemart, duchesse d'Uzès (Gard).
13 juillet 1965 : la loi qui a changé la vie des Françaises
Autorisant les femmes mariées à ouvrir un compte bancaire en leur nom et à travailler sans le consentement de leur mari, les femmes deviennent une clientèle à part entière.
Il faut attendre le 21 avril 1944, et la signature par le général de Gaulle de l'ordonnance portant organisation des pouvoirs publics en France après la Libération, pour que les femmes deviennent enfin « électrices et éligibles dans les mêmes conditions que les hommes », ainsi que le stipule l'article 17.
La personne qui a été condamnée par la justice (un tribunal) à la perte de ses droits civiques perd son droit de vote pendant le délai fixé par le jugement. La perte des droits civiques débute lorsque la condamnation est définitive, c'est-à-dire lorsque les voies de recours (appel, cassation...)
L'abstention est un terme dans la procédure électorale qui consiste pour un électeur à ne pas voter lors d'une élection ou au cours de toute autre procédure électorale (référendum national ou local, votation populaire en Suisse, etc.)
Pour voter, l'électeur doit être inscrit sur la liste électorale du bureau de vote dans lequel il se présente. Il doit présenter une pièce d'identité (à l'exception des électeurs résidant dans une commune de moins de 1000 habitants).
Sa dénomination vient du château de la Muette, qui a donné son nom au quartier, nom lui-même probablement issu de la meute dont on se servait pour la chasse dans le bois de Boulogne.
En 1944, le droit de vote des femmes fait partie des évolutions nécessaires pour tourner la page du régime de Vichy et renouer avec la République. Le général de Gaulle déclare l'égalité des droits politiques entre hommes et femmes. Ce droit est désormais inscrit dans la Constitution.
En effet, c'est le 28 janvier 1916 que le Manitoba habilitait ses citoyennes à voter. Il était la première province à le faire.
Le 18 octobre 1929, les femmes deviennent des « personnes » au sens de la loi.
Et c'est seulement en juillet 1958 que le général de Gaulle imposa le suffrage universel en Algérie, en établissant le vote des femmes musulmanes, qui en usèrent, pour la première fois, lors du scrutin constitutionnel.
Dans certaines régions d'Iran, comme le Kurdistan et le Lorestan, les femmes se coupent les cheveux pour marquer le deuil.