Ces fines particules d'eau gèlent dès qu'elles entrent en contact avec quoi que ce soit de froid. Cela forme une couche de glace à la surface des objets. C'est ce qui est appelé la pluie verglaçante, cette pluie qui se congèle uniquement au contact du sol gelé.
La recette classique d'une pluie verglaçante est une couche d'air chaud au-dessus d'une couche peu profonde d'air froid. Les gouttes de pluie tombent des nuages dans la couche d'air chaud, puis traversent la couche d'air froid où la température se maintient tout près du point de congélation.
Elle est due au gel d'une mince couche d'eau laissée sur la chaussée antérieurement par une fine pluie ou par la fonte de neige quand la température était au-dessus du point de congélation.
La pluie, la neige ou la pluie verglaçante sont des précipitations provenant des nuages. C'est le grossissement des minuscules gouttelettes ou cristaux de glace contenus dans les nuages qui entraîne le phénomène de précipitations.
Lorsque cette pluie arrive à proximité du sol, où les températures sont négatives, l'eau gèle instantanément et se transforme en glace sur tous les objets qu'elle rencontre : c'est ce qui donne le verglas au niveau du sol, sous l'effet des pluies ou bruines verglaçantes.
Le verglas se forme sur les routes et trottoirs quand les températures sont négatives ou proches de 0, souvent le soir ou tôt le matin. Il apparaît notamment à l'ombre, dans les sous-bois ou sur les ponts.
Lorsque la neige au sol est en cours de disparition, la neige résistante agit telle une éponge et maintien l'eau liquide sur les lieux de la fonte. Lorsque le gel arrive, cela produit la formation de glace et de verglas. Les précipitations verglaçantes.
La formation de la grêle n'a donc rien à voir avec celle de la neige. Cette dernière se forme dans des nuages stratiformes à faible mouvement vertical, à des températures sous zéro degré Celsius et dans une masse d'air contenant relativement peu d'humidité où il y a peu de gouttelettes surfondues.
Sous l'effet du froid, la vapeur d'eau se condense directement en minuscules cristaux de glace, sans passer par l'état liquide. Ils s'accrochent ensuite à des petites particules présentes dans le nuage.
Un glacier à une épaisseur de plusieurs dizaines voire centaines de mètres, il mettra donc beaucoup de temps à fondre car la surface exposée au soleil et à la terre (il fond aussi par dessous) est relativement faible comparée à sa masse contrairement à une banale plaque de neige de quelques mètres d'épaisseur.
Le verglas se forme en hiver lorsque des précipitations tombent d'un nuage évoluant dans une couche d'air dont la température est inférieure à 0°c. Ces précipitations traversent alors une couche d'air plus doux, dont la température est supérieure à 0°, puis terminent leur course sur le sol.
Au lieu de devenir solide à 0 degré, l'eau mélangée au sel reste liquide jusqu'à – 12 degrés ! Quand on applique du chlorure de sodium sur une route enneigée ou verglacée, l'eau redevient liquide et les risques de glissades deviennent limités. Au-delà de cette température, le sel n'est plus efficace.
Parce qu'il abaisse la température à laquelle elle gèle. Dans des conditions normales, des flocons de neige composée d'eau pure se solidifient à 0°C. Mais dès qu'ils comportent des impuretés, il faut qu'il fasse plus froid pour que la neige gèle.
Les précipitations peuvent tomber sous trois formes en fonction de la température de l'air : - Liquide : pluie, bruine ; - Pluie verglaçante, bruine verglaçante ; - Solide : neige, grésil et grêle.
Pluie congelée, formée de petits globules de glace spongieuse, friable et blanche, d'un diamètre de 1 à 3 mm.
La pluie provient de l'évaporation de l'eau qui existe dans la nature (lacs, océans, fleuves…). Cette vapeur d'eau se mélange à l'air, puis s'élève dans l'atmosphère et se refroidit par détente.
La neige appétissante, vraiment ? Malgré son apparence parfaitement propre, la neige blanche peut être contaminée de particules de pollution et de substances dangereuses pour la santé. De plus, la concentration de particules nocives s'intensifie, et ce, dès que la neige touche le sol.
Nous en avons déduit que la neige, c'est de l'eau gelée. Les gouttes de pluie, quand il fait froid, forment des flocons (solides). La neige fond sous l'effet de la chaleur et se transforme en eau (liquide).
Lorsqu'il y a suffisamment de froid et d'humidité dans l'atmosphère, la neige se forme naturellement par condensation solide de la vapeur d'eau à saturation autour des noyaux de congélation. Selon sa structure et le vent, la neige tombe plus ou moins vite vers le sol.
L'actuel détenteur du record du plus gros grêlon en Amérique du Nord est un grêlon tombé près de Vivian, dans le Dakota du Sud, le 23 juillet 2010. Celui-ci pesait 879 grammes et avait un diamètre de 203 millimètres!
Les averses de grêle nocturnes sont moins nombreuses mais des chutes dévastatrices peuvent encore se produire notamment en début de nuit.
LES ALEAS CLIMATIQUES ASSURES : LA GRELE
Les nuages d'orages (cumulo-nimbus) donnent parfois de la grêle et non de la pluie. Les grêlons sont des grains de glace plus ou moins ronds. Ils se forment à partir de cristaux de glace brassés verticalement par de violents courants d'air au sein du nuage.
Le pôle nord, en tant que point le plus au nord du globe, affiche une température annuelle moyenne de -34 °C. Moins froid, donc, que le pôle sud.
Cette différence s'explique par la façon dont sont constitués les deux pôles. Au Sud, la calotte glaciaire a une épaisseur de plusieurs kilomètres. Les rayons du Soleil ne peuvent donc la pénétrer et le sol rocheux sous le «Continent blanc» conserve son extrême froideur quasiment toute l'année.
Lorsque le point de saturation est supérieur au point de congélation de l'eau (0 °C), la rosée se forme. S'il se situe au-dessous du point de congélation, c'est du givre ou de la gelée blanche qui apparaît.