En d'autres termes, on peut dire que le désir est sans limite parce que nous sommes définis par cette volonté consciente ou inconsciente de nous développer, et pas seulement de nous conserver, du point de vue de notre corps et de notre esprit.
Les limites imposées au désir sont vécues comme des limites à la liberté. Il semble être la condition du plaisir qui naît avec l'assouvissement d'un manque. Il est donc un élan de bonheur qui semble être la satisfaction de mes désirs, durablement. Le désir se renouvelle toujours, il semble insatiable.
Le désir ne peut pas se satisfaire de la réalité parce qu'en devenant rationnel, il devient moral et la morale dénonce clairement la réalité telle qu'elle est aujourd'hui. Mais la morale ne peut pas dépasser un conflit interne entre désirs rationnels et désirs égocentriques.
Le désir est un processus conscient (masquant tout de même des manifestations inconscientes sous-jacentes) qui incite les personnes à partir à la quête d'un fait, d'une situation ou d'un objet, source de plaisir et de contentement.
Ce qui a commencé par être désir peut se transformer en besoin. Il s'ensuit qu'il faut renverser la proposition de départ et comprendre que le besoin humain s'étaie sur le désir. Réciproquement nous rejetons du côté du superflu des désirs, au motif qu'ils sont spirituels et que leur privation n'empêche pas de survivre.
Sous l'effet du désir, la raison peut être destituée par une imagination débordante qui peut conduire le sujet vers l'irrationnel, le déraisonnable.
Quelle différence entre l'envie et le désir ? Dans le dictionnaire aucune, ils sont synonyme l'un de l'autre et les définitions sont similaires. Ils ont d'ailleurs d'autres termes analogues qui ne sont pas plus différenciés en termes de définition : souhait, aspiration…
S'il ose vous toucher, mettre une main sur votre genou ou toucher votre taille par exemple, il sent le sexe ! À moins qu'il ne soit quelqu'un de très accessible avec tout le monde, ses petites touches signifient qu'il a envie de vous.
Le désir d'amour
Le deuxième élément que l'ensemble de l'humanité désire et qui est nécessaire à son expression la plus élevée et à son développement le plus complet est l'amour sous toutes ses formes.
Ce qui suscite le plaisir, le désir ou le rejet est surtout lié à l'image de l'autre et de sa peau, en fonction d'un contexte complexe : apparence, histoire et goûts personnels, circonstances de la rencontre, disponibilité affective… » Dans ce domaine incertain, jamais une donnée scientifique n'abolira le hasard.
Le désir ne nous tombe pas dessus par hasard. Il est plutôt le fruit de tous les messages perçus par nos sens et des réactions chimiques que ceux-ci déclenchent dans notre cerveau. Quand le désir naît dans nos hémisphères, il se produit une communication entre les neurones.
Le désir peut naître uniquement parce que quelqu'un pense pouvoir combler, par un objet spécifique, la « faille » qui l'habite. C'est d'ailleurs cette faille ontologique qui nous caractérise tous en tant que « sujets » et qui nous pousse à désirer.
Tandis que les désirs sont multiples et divers dans une vie, la passion implique une unification des désirs. Définition : Une passion est un désir dominant, exclusif, suffisamment puissant pour envahir toute la vie de l'esprit et polariser une existence sur un seul objet.
"Quand vous ressentez du désir, vous avez une envie irrépressible de faire l'amour avec l'autre. Quand vous êtes amoureux, vous voulez faire l'amour avec cette personne mais aussi vous sentir proche d'elle d'un point de vue émotionnel.
Le désir est l' essence même de l' homme. Le désir, qui est notre être, se manifeste comme plénitude et affirmation de soi. Pour Spinoza, il y a autant de désir qu' il y a d' objets possibles du désir. Il semble que l' être humain ne puisse véritablement être lui même qu' en se reconnaissant comme sujet désirant.
Le désir est la quête d'un objet que l'on se représente comme étant la source d'un plaisir. À une conception négative du désir, qui voit en celui-ci le mouvement qui va d'un manque vers une satisfaction – le désir est alors conditionné par le manque, la privation –, on peut opposer la représentation purement.
Les hommes ont plus souvent envie de faire l'amour que les femmes… Leur libido est toujours plus forte que celle des femmes…
En général, un homme troublé par une femme cherchera toujours à se rendre utile et serviable. Mais le signe le plus révélateur ce sera surtout l'écoute ! En effet, si cet homme éprouve bel et bien de l'attirance à votre égard, il essayera de capter votre attention par tous les moyens.
Dérogeant à sa promesse de fidélité, l'homme infidèle peut embrasser sa conjointe et faire l'amour avec elle tout en étant conscient de ses torts. Dans certains cas, l'homme a plusieurs maîtresses et s'arrange pour mentir et trouver un alibi pour les rejoindre.
1. Quand il cherche vraiment à vous connaître et s'intéresse à VOUS ! Savoir quelle est votre histoire et tous les détails qui vous définissent, comme votre film préféré, voire même vos friandises favorites, est pour lui de la plus haute importance ! Il vous écoute avec intérêt et passion.
Le désir est un souhait irrationnel, obsédant et impossible à satisfaire, qui porte sur la possession de quelque chose. On dit en souvent que le désir est un manque que rien ne peut combler. Celui qui éprouve du désir est un sujet humain, et il voit l'objet de son désir comme un bien, un élément positif.
Le sujet manque – donc désire – donc parle – donc manque : le désir présente une permanence, une “durabilité”, une sorte d'immortalité. Il est, comme dit Freud, “indestructible”. Le sujet cherche à réaliser son désir, sans pouvoir ni y réussir, ni y renoncer. Il est infini, car le manque ne sera jamais comblé.
"L'envie concerne ce qu'on ne possède pas et la jalousie concerne ce que l'on croit posséder, mais qu'on ne possède pas non plus.
On dit souvent que le désir est un manque que rien ne peut combler. Celui qui éprouve du désir est un sujet humain, et il voit l'objet de son désir comme un bien, un élément positif. Le besoin est l'expression d'un manque réel, il naît d'un manque et exprime une nécessité organique.