Les thrillers terrifiants ou les films d'horreur permettent bien sûr de jouer avec nos peurs ancestrales, mais nous verrons que se faire peur permet aussi de mieux comprendre nos pulsions les plus inavouables… et que les fictions effrayantes permettent d'exalter notre foi en la vie…
En effet, la peur crée du lien social, les personnes se rapprochent et créent une cohésion de groupe d'avoir vécu la même expérience au même moment. La peur ça rapproche ! La peur ça donne également confiance en soi.
Le film d'horreur, ou film d'épouvante, est un genre cinématographique dont l'objectif est de créer un sentiment de peur, de répulsion ou d'angoisse chez le spectateur.
L'adolescent y découvre une forme de jouissance. Le film d'horreur agit assurément comme un exutoire pulsionnel à un âge où, précisément, il bouillonne de pulsions. »
Ce n'est pas nous qui le disons mais plusieurs études très sérieuses menées par des universitaires spécialisés en psychologie. Et selon les résultats de leur recherche, on apprend que les films d'horreur améliorent votre santé mentale, font maigrir voire vous aident à combattre les maladies infectieuses.
Les films d'horreur peuvent être néfastes pour la santé
Pire, ceux-ci peuvent même être néfastes pour leur santé car ils ont réellement peur. Les psychiatres estiment notamment que cela peut augmenter l'agressivité de certaines personnes. Ainsi, il ne faut jamais forcer quelqu'un à regarder un film d'horreur.
Les limites de l'horreur
Il faut donc vraiment faire attention à la quantité d'exposition à ce type de stimulus." Par ailleurs, les films d'horreur peuvent avoir un impact néfaste sur les personnes souffrant de syndrome de stress post-traumatique, de troubles anxieux ou encore de problèmes cardiaques.
En tant que spectateur/spectatrice, quand on aime les scènes gores, c'est peut-être parce-que ce côté « sans tabou » nous permet de ressentir des sensations fortes sans qu'il y ait pour autant de mise en danger : regarder des scènes violentes peut nous permettre de vivre notre peur, notre colère, notre agressivité, ...
A quel âge montrer un film d'horreur à mon enfant ? Mais alors vous vous dites certainement : "Jamais mon enfant ne verra de tels films, je risque de le traumatiser !" Certes, les films d'épouvante sont au minimum interdits aux moins de 12 ans et peuvent aller jusqu'à une interdiction aux moins de 16 ans.
La raison ? Pour beaucoup, ces films sont loin de faire peur. Au contraire, ils auraient même tendance à en faire rire plus d'un. Et si certains films du même registre se veulent drôles, comme les parodies comiques des Scary Movie, d'autres cherchent bel et bien à faire peur, mais sans grand succès.
Les Démons du maïs (1984)
Sinister est le film d'horreur le plus effrayant
Il s'agit de Sinister de Scott Derrickson qui raconte l'histoire d'un écrivain qui, en panne d'inspiration, décide de s'installer dans une maison avec sa famille.
Définition de effroi nom masculin
littéraire Grande frayeur, souvent mêlée d'horreur. ➙ épouvante, terreur. Un cri d'effroi.
Le cinéma nous fait des cultes, nous enseigne l'histoire, nous laisse de grandes leçons d'intelligence émotionnelle, nous éduque aussi de l'amour, et même des techniques d'autodéfense contre les malfaiteurs ou les zombies.
Le premier à y avoir pensé c'est Georges Méliès, l'inventeur des effets spéciaux. Il sort en 1896 « Le Manoir du diable », qui est considéré comme le tout premier film d'horreur.
Dans nos cinémas depuis ce mercredi 8 novembre, le long métrage est interdit en salles aux moins de 12 ans (et PG 13 aux Etats-Unis). Une interdiction qui a surpris les fans des jeux vidéo, qui s'attendaient à un film violent.
Interdit au moins de 12 ans même accompagnés de leurs parents. Justificatif d'âge obligatoire lors de l'accès aux salles.
Déconseillé / interdit aux moins de 12 ans (anciennement « Accord parental indispensable ») : le programme s'adresse à un public mature et montre des scènes sexuellement explicites et de violence physique ou psychologique crues. Exemples : les films de guerre ou les thrillers.
Selon l'auteur, notre « compulsion » envers les évènements sinistres pourrait nous aider à contrôler nos peurs et à comprendre ce qui est essentiel à nos vies et ce qui ne l'est pas – selon lui, la curiosité morbide refléterait notre désir de comprendre l'un des mystères les plus profonds de l'existence.
Selon Coltan Scrivner, le besoin de d'information est l'une des raisons principales qui nous poussent à rechercher la morbidité dans les médias que nous consommons.
Fermez les yeux pendant les passages qui font peur.
Lorsque vous sentez qu'une scène d'horreur se profile, isolez-vous simplement du visuel du film. Vous pourrez juste fermer les yeux ou les couvrir avec vos mains, votre bonnet, votre capuche ou votre couverture.
La Nuit des masques (1978)
L'étude révèle qu'une partie du cerveau humain traite la menace du film d'horreur comme si elle était réelle, ce qui prépare le corps à réagir de la même façon dans une situation réelle : le rythme cardiaque s'accélère, les pupilles se dilatent et la tension artérielle augmente.
Tout simplement un film qui vous fera passer par pleins d'émotions très spécifiques tels que la peur, l'angoisse, le dégoût et même la répulsion. Les films d'horreur empruntent les caractéristiques de plusieurs autres genres tels que le fantastique, la science-fiction, la fantasy, l'horreur et le merveilleux.