Et avec l'aide des sous-titres, on apprend que ono dit à panhard, un terme qui vient du swahili, un groupe de langue bantoue de l'afrique de l'est. Mais ce que l'on sait, c'est que l'expression. apagnan a été popularisée. par les jeunes issues de quartier populaire, comme grand nombre de modes d'argot.
on apprend que on dit à Pana un terme qui vient du swahili un groupe de langue Bantous de l'Afrique de l'Est mais ce que l'on sait c'est que l'expression à Pagnant a été popularisé par les jeunes Sud quartier populaire comme grand nombre de modergo iconiques dont on parle plus passer allez à la prochaine pour du grand ...
Cette expression émane tout droit de TikTok, un réseau social chinois très prisé des adolescents. Mais à son origine, il y a un utilisateur de la plateforme, qui se fait appeler "La Vache" (@camskolavache). C'est lui qui a lancé la tendance du "Quoicoubeh" : le mot apparaît d'ailleurs dans la description de son compte.
En 2023, le Petit Robert a ajouté les termes "gênance", "chiller" ou encore "go" (pour désigner une jeune femme ou une petite amie), tellement utilisés par les jeunes qu'ils sont entrés dans le langage courant. De là à dire que "quoicoubeh" ou "apanyae" entreront un jour dans le dictionnaire, rien n'est moins sûr.
Le mot wesh est un mot d'argot utilisé par les jeunes, il a beaucoup d'emplois différents. Il est dérivé de l'arabe algérien "Wech rak" qui se traduit par "Comment ça va ?". Wesh s'emploie également comme terme de salutation en France.
Ce mot n'a aucun sens, si ce n'est qu'il permet de tendre un piège à son interlocuteur. Il serait issu d'un jeu de mots, le «Quoi?» équivaudrait à «Cou A» et «Coubeh» à «Cou B».
Ces mots ont envahi les cours de récréations pourtant, ils n'ont pas de signification ! Il s'agit d'un nouveau défi, un jeu de langage, venu de TikTok, et qui fait un carton chez les jeunes. « Quoicoubeh » est une expression qu'on lance à quelqu'un qui vient de dire « quoi ? ».
Ils suivent juste la nouvelle trend Tiktok qui consiste à dire une phrase incompréhensible pour amener son interlocuteur à dire « quoi », ce à quoi on répond ensuite « quoicoubeh » en laissant bien trainer le “h” de la dernière syllabe.
Définition "koubbeh"
n.f. Chapelle surmontée d'un dôme, élevée sur une tombe, en Afrique du Nord.
Durant la conversation, il fait exprès de poser une question en baragouinant pour qu'on lui réponde “hein ?”, “comment ?”, “pardon ?”, “quoi ?”, etc. Sa réplique quoicoubeh fuse, composée de syllabes qui n'ont aucun sens et de quelques mots reconnaissables et ponctuée par un classique “allez bisou”.
Le Quoicoubeh peut être vu comme un cri de l'âge bête. C'est aussi un moyen de détourner le langage pour saper l'autorité avec une pointe d'ironie, selon la linguiste française Julie Neveux, interrogée par le magazine Le Point le 12 mars.
Le mot apayinye n'a aucune signification. C'est une réplique qu'on lance à quelqu'un qui demande de répéter en disant hein ? La réplique fonctionne comme un piège qui se referme sur l'interlocuteur.
Pourquoi les gens disent quoicoubeh ? le nouveau jeu verbal à succès sur TikTok ! Quoicoubeh est un nouveau mot qui fait fureur chez les préadolescents depuis quelques mois. Il est utilisé comme un jeu verbal, un piège pour piéger les autres.
Quoicoubeh est donc d'abord le nom d'un défi.
Le mot ne veut rien dire. Il ne signifie pas autre chose que la volonté de piéger son interlocuteur devant des témoins avertis qui se délecteront de son incompréhension. Il est le mot de ce qu'on pourrait appeler une private joke, un délire privé, exclusif et excluant.
La personne qui répond quoicoubeh n'a aucune intention de participer à la discussion, elle cherche juste à s'amuser de la situation. Quoicoubeh fonctionne donc de la même manière que feur , une autre réplique qui existe au moins depuis les années 1980.
Ces mots ont envahi les cours de récréations pourtant, ils n'ont pas de signification ! Il s'agit d'un nouveau défi, un jeu de langage, venu de TikTok, et qui fait un carton chez les jeunes. « Quoicoubeh » est une expression qu'on lance à quelqu'un qui vient de dire « quoi ? ».
Le mot « quoicoubeh » est une réplique qu'on lance à quelqu'un qui dit « quoi » ? Ou qui termine une phrase par le mot « quoi ». Elle fonctionne ainsi de la même manière que « coiffeur » (pour « quoi ? - feur »), une autre réplique de cour d'école qui existe depuis les années 1980.
Ce jeu de langage étrange aurait pour inventeur Camsko La Vache, un tiktokeur de 22 ans aux 350 000 abonnés, dont les répliques onomatopéiques circulent depuis quelques mois sur les réseaux.
Pour "apanyae", la prononciation varie un peu plus. Certains disent "apiin", d'autres disent plutôt "apinyinn" et d'autres encore prononcent "apanian". Alors maintenant, vous ferez attention avant de dire "quoi" ou "hein" !
Ils suivent juste la nouvelle trend Tiktok qui consiste à dire une phrase incompréhensible pour amener son interlocuteur à dire « quoi », ce à quoi on répond ensuite « quoicoubeh » en laissant bien trainer le “h” de la dernière syllabe.
Le principe du quoicoubeh est simple : il consiste à tendre un piège verbal à l'autre, un copain, camarade de classe, mais aussi et de préférence un prof ou un parent.
Le principe reste le même: lorsque son interlocuteur prononce le son "quoi", il faut dégainer un "quoicoubeh". Pour placer correctement un "apayinye", il faudra entendre le son "hein". Ce nouveau jeu de langage étrange est tout droit sorti de TikTok, comme l'explique Le Parisien.
Durant la conversation, il fait exprès de poser une question en baragouinant pour qu'on lui réponde “hein ?”, “comment ?”, “pardon ?”, “quoi ?”, etc. Sa réplique quoicoubeh fuse, composée de syllabes qui n'ont aucun sens et de quelques mots reconnaissables et ponctuée par un classique “allez bisou”.
LÉON BEL et la PREMIÈRE GUERRE
Le commandant du RVF B70, écrivit à Benjamin Rabier, un illustrateur renommé, qui lui renverra l'image d'un bœuf souriant, qu'un poilu irrévérencieux eut l'idée de baptiser «La Wachkyrie», en référence aux Walkyries si chères aux Allemands…