Beau et belle étaient des préfixes affectueux utilisés au Moyen Age au sein d'une famille, entre père et fils par exemple. A l'époque, on disait fillastre pour beau-fils, marastre pour belle-mère, parastre pour beau-père.
Un gendre est donc le mari de son propre enfant et un beau-fils est le fils d'un nouveau conjoint (ou conjointe) issu d'une union précédente.
Les beaux-parents, eux, sont le père et la mère de l'autre conjoint, tandis que la belle-famille est celle du conjoint. Un beau-petit-fils et une belle-petite-fille sont les enfants d'un gendre (beau-fils) ou d'une bru (belle-fille).
Définition de beau-fils
Gendre.
Étymologie de « beau-frère »
Composé de beau et de frère . Beau, frère (voy. BEAU-FILS). L'ancienne langue disait sororge ou serorge, de sororius.
Définition de belle-fille nom féminin
➙ bru. Des belles-filles. Fille de l'autre conjoint, pour un conjoint. déf.
Beau-frère : Mari de la sœur ou de la belle-sœur. Frère du mari ou de la femme. Beau-père : Père de la femme par rapport au mari. Second mari de la mère par rapport aux enfants de celle-ci.
Étymologie de « gendre »
gendre ; portug. genro ; ital. genero ; du latin generum, gendre, le même que le grec γαμϐρὸς, et le sanscrit jâmâtar, gendre ; la racine est jan, engendrer. ( XII e siècle) Du latin generum , accusatif du latin gener (« mari de la fille »), de la famille de gignere (« engendrer »).
Parmi les liens de parenté, la bru est l'épouse du fils. Le langage populaire préfère utiliser improprement le mot belle-fille qui désigne normalement la fille du conjoint.
Beau-fils : Fils de la personne qu'on a épousée ou le fils né d'un mariage antérieur de l'un ou de l'autre des deux époux. Beau-frère : Mari de la sœur ou de la belle-sœur. Frère du mari ou de la femme.
1. Gendre. 1. Mari de la soeur ou de la belle-sœur.
Gendre Epoux de la fille, par rapport au père et à la mère de celle-ci. Grand-mère Mère du père ou de la mère. Grand-oncle Frère du grand-père ou de la grand-mère.
bru. Par rapport à un père, ou à une mère, la femme de leur fils.
Définition ancienne de BRU s. f.
Belle fille. C'est un terme d'alliance relatif au pere & à la mere d'un fils, à l'égard desquels la femme qu'il a épousée s'appelle leur bru, ou leur belle-fille. Menage derive ce mot de nurus Latin, ou de l'Allemand bruyt, ou plustost braut, qui signifie épousée.
L'ancien entraîneur de l'équipe de France et de l'Aviron Bayonnais va tenter l'expérience à l'étranger. Zapping Quinze Mondial Bouclier de Brennus, XV de la Rose, Coupe du monde 2023... Le désormais ex-entraîneur de l'Aviron Bayonnais va s'envoler dans quelques semaines pour un nouveau cap, celui de l'Afrique du Sud.
Le 'beau' était l'équivalent de 'cher', comme lorsque l'on dit aujourd'hui 'cher monsieur' ou 'cher ami'. Au 13ème siècle déjà, quand Saint-Louis s'adressait à son fils, il disait mon "biau fils". Au 14ème siècle, on emploie facilement le terme de 'bon père' et 'bonne mère' pour désigner ses parents.
Beau-fils, celuy qui a espousé la fille d'un autre, qui à son égard s'appelle beau-pere, ou belle-mere.
moins usuel beau-fils.
Il est interdit de se marier avec un membre de sa famille proche, qu'il s'agisse d'un lien de parenté (biologique ou adoptive) ou d'un lien d'alliance (créé par un mariage).
PETIT-COUSIN, subst. masc.,PETITE-COUSINE, subst. fém. Fils, fille du cousin, de la cousine par rapport au fils, à la fille d'un cousin ou d'une cousine.
NIÈCE, subst. fém. 1. Par rapport à une personne (qui est l'oncle ou la tante), fille du frère ou de la soeur et p.