Le Dr Brent Coker, qui a codirigé l'étude parue dans le Journal of Experimental Social Psychology, affirme que l'excitation - la mesure selon laquelle une personne est éveillée et alerte - force les gens à dire des choses de manière automatique au lieu de réfléchir avant de parler.
L'antiphrase est une figure de style par laquelle on dit quelque chose dans le but d'exprimer le contraire de ce que l'on pense réellement, afin de créer un effet d'ironie ou de dénoncer quelque chose.
Plusieurs raisons peuvent être à l'origine d'une perte de contrôle en situation de colère. L'origine de l'émotion, c'est-à-dire la situation qui l'a provoquée, a son rôle à jouer. Un embouteillage ou une injustice profonde ne recevront sans doute pas la même réponse.
De manière générale, notre cerveau élabore des pensées, des souvenirs ou des actions en permanence. Il tourne quasiment à plein régime tout le temps, même au repos ou en sommeil. Et même dans les cas les plus extrêmes, comme lors d'un coma. En fait, le seul moment où le cerveau ne pense pas, c'est quand il est mort.
Moment présent. Une bonne solution pour faire le vide dans sa tête est de ralentir et de vivre le « moment présent », de vous permettre de vous détendre en focalisant votre esprit sur une chose en particulier, ce qui affûtera aussi votre conscience. Par exemple, prenez le temps d'apprécier votre repas.
Penser à l'excès peut être une habitude agaçante et carrément problématique qui peut conduire à un stress important, à l'anxiété et même à des problèmes de maladie mentale en fin de compte.
Pour le psychologue Boris Charpentier, le fait de cogiter en permanence permet également d'éviter les dangers. «Dans la nature, on cherche le prédateur. En l'absence de prédateur ou de problèmes extérieurs, le cerveau continue de chercher d'autres menaces», explique-t-il.
Pour penser à ses propres pensées, le cerveau doit effectivement s'observer. En théorie, chaque fois que certaines des centaines de milliards de cellules du cerveau s'assemblent pour donner naissance à une pensée, un sentiment ou une action, elles signalent également dans quelle mesure elles y sont parvenues.
6 – Penser à soi : faire plutôt que de regarder les autres
Il est temps que tu acceptes cette vérité : tu es capable de faire ce qui te fait vibrer, à ta manière et à ton rythme. En fait, penser à soi, c'est oser, c'est passer à l'action ! On arrête de regarder, de vivre par procuration. On vit tout simplement !
Penser, c'est aussi tenir compte des sentiments, de la sensibilité, de tout ce qui relève des affects. Une pensée s'incarne toujours dans un individu, c'est-à-dire également dans un corps ; mais si le corps ne pense pas, il n'en traduit pas moins ce que nous sommes.
La méditation de pleine conscience est un bon moyen de reconnecter avec vos pensées et vos émotions. En plus de vous aider à vous concentrer sur l'instant présent, la méditation en pleine conscience est également un moyen efficace d'apaiser le flux de pensées, d'inquiétudes et de jugements.
La pensée positive
Il suffit de se focaliser sur une chose pour la créer, car on y apporte notre énergie. On doit apporter notre énergie aux solutions et aux résultats, et pas aux problèmes. On doit dégager notre attention de ce qu'on ne veut pas parce que l'énergie va là où on porte notre attention.
Définitions : impassible - Dictionnaire de français Larousse.
Définition de incrédule adjectif et nom
➙ agnostique, sceptique. nom Les incrédules.
Accueil > langue française > dictionnaire > sournois adj. et n. - sournois adj.
L'idée n'est pas d'arrêter d'aider les autres, mais de le faire sans tomber dans des situations malsaines, pour soi comme pour les personnes aidées. Le sauveur, soulagé du regard des autres, peut alors devenir une personne plus entière, honnête envers lui-même et les autres, pouvant lâcher prise dans ses relations.
Investis par la vie professionnelle, la vie de couple, la famille, la vie sociale, les obligations, etc. il arrive que nous soyons détachés de la conscience de qui nous sommes et pour quoi nous sommes faits. Penser à soi n'a rien d'égoïste.
Être égoïste, permet de maintenir l'équilibre et de ne pas s'oublier. Je vous le dis souvent : tout est une question d'équilibre. L'égoïsme au sens strict du terme, n'est pas positif. En revanche, l'égoïsme mesuré qui permet de donner aux autres et de se donner à soi-même est indispensable.
Le terme tachypsychie provient des mots grecs « tachy », qui signifie rapide et « psyche » qui signifie âme. Il s'agit non pas d'une maladie, mais d'un symptôme psychopathologique caractérisé par une accélération anormale du rythme de la pensée et des associations d'idées créant un état de surexcitation.
Toutes nos pensées/émotions sont régies par cette formidable centrale électrique qu'est notre cerveau.
C'est la structure particulière de ces cellules appelées neurones qui permet la propagation du message. De nature électrique le long des neurones, ce message est transmis de manière chimique d'un neurone à l'autre au niveau des synapses, par l'intermédiaire des neurotransmetteurs.
"Beaucoup d'entre nous sont parfois submergées d'angoisses, de pensées ou de sentiments qui, échappant à notre contrôle, pompent nos émotions et notre énergie." C'est, ainsi, en ces termes que la psychologue Susan Nolen-Hoeksema décrit un accès d'overthinking : "des torrents de préoccupations et d'émotions négatives ...
Les ruminations mentales sont souvent causées par des éléments extérieurs. Résultat, beaucoup de patients peinent à comprendre qu'il ne s'agit pas d'une réaction normale. Ils ont l'impression que ces pensées obsédantes sont causées uniquement par l'extérieur et n'envisagent pas de réagir autrement à ces stimulations.