L'emploi du pluriel les toilettes, pour désigner par euphémisme un cabinet d'aisances, date du XXe siècle. Je crois que c'est parce qu'à l'origine, ces "commodités", "les lieux" étaient multiples: on proposait plusieurs "postes de travail" comme dit Sylvain Peyronnet.
Dans ce cas l'erreur est double, car le mot « toilette » est toujours au féminin et quand il s »agit du lieu d'aisance il est toujours au pluriel. Ne dit-on pas « je fais ma toilette » et « je vais aux toilettes ».
L'emploi du pluriel les toilettes , pour désigner par euphémisme un cabinet d'aisances, date du XXe siècle. Chiotte : nom féminin dérivé (1885) de chier, s'emploie au pluriel pour "cabinets (d'aisance)" ; l'emploi au singulier (XXe siècle) entraîne parfois le passage au masculin.
Masculin ou féminin ? Dit-on le ou la toilette ? Souvent, on emploie ce mot au pluriel, les toilettes , et son genre n'est pas apparent. Mais le mot toilette est dans tous les cas un nom féminin : une toilette , la toilette .
L'antiquité romaine connaît les toilettes, ou latrines, directement raccordées au système d'égouts, du moins dans les villes qui en sont équipées. Au Moyen Âge, à la campagne, les toilettes privées ne sont pas jugées indispensables : les résidents vont se soulager dehors ou à l'étable.
Sans cloison entre vous et les autres personnes. Donc, on s'assoyait sur un trou, et on s'essuyait les fesses en passant le tersorium par un autre trou, entre les jambes, jusqu'à ce qu'elles semblent « propres ». Les peuples pauvres partageaient un même tersorium – un bâton éponge pour une latrine commune.
La toilette est l'un des appareils les plus utilisés dans une maison. Sa durée de vie moyenne est de 10 à 15 ans.
➙ cabinet, lavabo, WC.
Pour dire « toilettes », on peut aussi dire les WC ou les chiottes . Ce dernier mot est familier voire vulgaire mais il est très employé par les Français.
La règle est simple : vous ne devez rien jeter dans les toilettes, mis à part les excréments, l'urine et le papier hygiénique qui vont se désagréger durant le processus de traitement des eaux usées.
Une envie d'uriner trop fréquente est parfois le signe d'une hyperactivité de la vessie. L'hyperactivité vésicale résulte d'une contraction anormale du muscle de la vessie, dont la cause n'est pas identifiée.
Les latrines sont les toilettes. Dans les châteaux, on trouve des latrines en encorbellement. C'est un petit édicule construit sur le mur de l'enceinte qui laisse s'évacuer les déjections par un orifice dans le sol. Celles-ci tombent alors dans le fossé engendrant des saletés et des odeurs pestilentielles.
Urinoir : un WC pour les hommes
L'urinoir est simple et rapide d'utilisation. L'urinoir est une installation sanitaire dont l'usage est réservé aux hommes : il ne possède aucune cuvette. Très fréquents dans les lieux publics et sur la voie publique, ils sont très peu présents dans les habitations.
Une vespasienne est un urinoir public pour hommes, placé sur les trottoirs ou dans des aires publiques telles que les parcs.
En Angleterre à partir de 1836, deux systèmes de toilettes coexistent : la toilette à eau inventée par Thomas Crapper, et celle à terre, inventée par Thomas Sziburne. Des toilettes à terre sont commercialisées dès 1860 par la « Moule Patent Earth-Closet Company ltd », fondée par Henry Moule.
Versez dans les toilettes 2 cuillères à soupe de cristaux de soude puis rajoutez l'eau chaude, laissez agir le plus longtemps possible, au moins 1 heure, puis frottez à l'aide de la brosse.
La chasse d'eau est à la charge du locataire
Concernant les réparations locatives le principe est simple : le locataire doit payer les réparations listées dans le décret; si la réparation envisagée n'est pas dans la liste c'est qu'elle est à la charge du bailleur.
Ces latrines publiques étaient situées dans plusieurs ailes du château et permettaient aux nombreux visiteurs de se soulager en toute quiétude.
Le quotidien d'un Parisien est donc rythmé par ses besoins en eau : on utilise des bains publics, on va chercher l'eau à la fontaine et, surtout, on se rend régulièrement au lavoir pour laver son linge. À Paris, ce sont d'abord les bateaux-lavoirs, installés sur les bords de Seine, qui accueillent les habitants.
Au XVIIIe siècle, sous Louis XV, on commence à aménager des salles de bains. Le monarque dispose d'une baignoire pour se laver et d'une autre pour se rincer, ainsi que d'une arrivée d'eau froide et d'une arrivée d'eau chaude, grâce aux cuves et des foyers installés au-dessus de la pièce.