Cette formule de politesse doit être utilisée par les militaires subalternes lorsqu'ils s'adressent à un supérieur. Ils doivent donc dire : « mon général », « mon colonel », « mon commandant », « mon capitaine », « mon lieutenant », « mon adjudant ».
dans les armées. « Mon Général » – Dans la gendarmerie, l'armée de terre et l'armée de l'air, le mot « Mon » devant certains grades signifie Monsieur. Il n'est donc pas utilisé pour le personnel féminin.
L'expression vient de l'armée où, désireux de ne pas être de corvée, les soldats avaient pris pour habitude de ne jamais contrarier leur général ou leur supérieur, quitte à accepter deux alternatives improbables, d'où l'expression.
Mon général (peut-être abréviation ancienne de Monsieur le général), formule par laquelle tout militaire s'adresse à un officier de ce grade ; une femme dira simplement Général, et un civil pourra faire de même ; Monsieur le général peut être employé dans la correspondance, en formule d'appel ou de courtoisie.
Un autre, plus téméraire, se fait lui aussi arrêter après avoir commencé sa phrase par « Mon Général, mes devoirs » : autrefois employée par les putschistes saluant le Général de Gaulle en Algérie, cette expression est aujourd'hui signe de rébellion contre l'autorité.
Une légende prétend qu'après la défaite de Trafalgar, Napoléon, qui tenait pour responsables les officiers de la « Royale », décida qu'on ne leur dirait plus « mon » devant leur appellation de grade, « mon » étant le diminutif de « monsieur » ; il les aurait ainsi punis en leur retirant cet honneur.
Les autres options de s'adresser à un officier féminin
Vous pouvez l'appeler par son nom (par exemple, "Salut Nathalie"). Vous pouvez utiliser "madame" lorsque vous vous adressez à une femme officiée (par exemple, "Bonjour, madame").
Les formules utilisées pour s'adresser de vive voix au/à la gouverneur(e) général(e) en fonction et à sa/son conjoint(e) sont, la première fois, « Excellence », et par la suite « Monsieur » ou « Madame ».
Il convient, pour les femmes de militaire, d'appeler « général », « colonel » et « commandant » sans faire précéder du « mon ». En dessous de ces grades elles appelleront les militaires « Monsieur ». La formule « mes hommages, Madame » est à adopter systématiquement quand on s'adresse à la femme d'un supérieur.
Les formules telles que «lieutenante» ou «colonelle» sont rarement utilisées au sein de l'armée française, qui est pourtant l'une des plus féminisées d'Europe.
Lorsqu'on s'adresse à lui, on lui dit « Major » si on est d'un grade égal ou supérieur au sien, sinon on lui dit « Mon major ». Le capitaine de corvette se fait appeler « Commandant ».
Les hommes, qui sont passés ou sont destinés à passer par l'armée, observent le plus souvent l'usage militaire et disent " Mon commandant ", " Mon colonel ", etc. Cependant, les civils qui occupent une haute situation sociale ou ne sont plus d'âge militaire peuvent supprimer le " Mon ".
au lieutenant-colonel, Mes respects mon colonel ; au colonel, Mes respects mon colonel. Cependant lors d'une présentation nous dirons Je vous présente le lieutenant-colonel Alpha. Pour ce qui concerne la formule d'appel utilisée dans un courrier, on utilisera Mon Colonel pour le grade de lieutenant-colonel.
Le général d'armée et l'amiral sont les plus hauts grades de l'armée française.
La syntaxe du langage militaire est aussi sommaire que rigoureuse : il faut s'exprimer par des phrases les plus courtes possibles, avec le minimum de fioritures : sujet + verbe + COD au maximum ; il est même conseillé d'omettre le verbe.
Soit on dit leur grade en les regardant « Mon commandant », « Major » (Madame/Monsieur si civil).
Général, Colonel, Commandant, Capitaine, Lieutenant. Je vous prie d'agréer, (Mon) Général, l'expression de ma haute considération. Veuillez agréer, (Mon) Colonel, l'expression de ma considération distinguée. Je vous prie d'agréer, (Mon) Commandant, l'expression de considération distinguée.
L'officier de carrière est un décideur et un meneur d'hommes. Vous alternez, sur 15 à 30 années de service, des périodes d'encadrement, de commandement et de formation. D'abord chef de section (10 à 30 personnes), vous pouvez devenir colonel, voire général.
Une colonelle est une femme ayant le grade d'officier supérieur dans l'armée de terre, la gendarmerie ou l'armée de l'air.
L'histoire du salut militaire remonte à l'Antiquité, lorsque deux guerriers se rencontraient, ils s'échangeaient un signe de la main droite (paume ouverte) pour indiquer qu'ils n'étaient pas armés. Ce signe de paix témoignait de leurs bonnes intentions l'un envers l'autre.
L'insigne du grade de brigadier des armées était une étoile unique. Lorsque le grade est supprimé en 1788, le nombre d'étoiles de ses supérieurs immédiats n'est pas modifié, ce qui explique pourquoi les généraux français ont une étoile de plus à leur insigne que leurs homologues étrangers (notamment américains).
Les élèves détenteurs d'un titre de Master 2 ou d'un diplôme équivalent de niveau bac +5, ayant moins de 25 ans peuvent intégrer l'ESM directement en 3e et dernière année (officiers sur titre). La formation se déroule en deux temps.
Général en chef : Sous la Révolution, il s'agit du grade le plus élevé d'officier général. Depuis, c'est une charge en temps de guerre (on dit plutôt : commandant en chef).
Pourquoi ? La légende prétend qu'après la défaite de Trafalgar le 21 octobre 1805, Napoléon, qui tenait pour responsables les officiers de la « Royale » (alors appellation de la Marine), décida qu'on ne leur dirait plus « Mon » devant leur appellation de grade, « Mon » étant le diminutif de « Monsieur ».
Lorsqu'un officier est un homme, on s'adresse à lui en faisant précéder son grade de « mon », « mon colonel » par exemple ; en revanche on appelle un officier féminin directement par son grade.