En effet, si on écrit je peux à la première personne du singulier, la conjugaison est modifiée à la forme interrogative et on inverse l'ordre du sujet et du verbe, en les liant avec un trait d'union : puis-je.
Forme interrogative de "je peux" qui induit que le sujet questionne sur sa possibilité de faire quelque chose. Exemple : Puis-je vous parler en privé madame, ce que j'ai à vous dire ne peut être entendu par vos hôtes.
Règle du verbe pouvoir
"Je puis" est plus distingué que "je peux". Cependant, on ne dit pas "peux-je" mais "puis-je", cette forme est obligatoire. On notera également le -x des deux premières personnes du singulier du présent de l'indicatif : je peux, tu peux.
La plus vieille occurrence de la forme « Peux-je ? » apparaît au XVIe siècle dans Les grandes annales et histoire générale de France, par François de Belleforest (Source : Gallica). Et on trouve cette forme ancienne jusqu'au XIXe siècle, mais de manière très marginale.
La règle :
Il n'y a qu'un « l » quand on entend le son « e » : « tu appelais », « nous appelions », etc. Donc, facile, jamais le « e » de « appeler » ne prend l'accent grave. Ne jamais écrire « Je vous appèle pour confirmer votre rendez-vous », mais « Je vous appelle pour confirmer votre rendez-vous ».
"Je puis" est plus distingué que "je peux". Cependant, on ne dit pas "peux-je" mais "puis-je", cette forme est obligatoire. On notera également le -x des deux premières personnes du singulier du présent de l'indicatif : je peux, tu peux.
Conclusion : On peut donc écrire actuellement : puissè-je, pussè-je et puissé-je. Aucune de ces graphies n'est fautive (ni la traditionnelle, ni les nouvelles) : elle l'a écrit et répéter. Joëlle « est toujours une bonne ressource » 🙂 .
La formulation correcte est « Puis-je ? ». « Peux-je ? » n'existe plus en français. On trouve la vieille forme « Peux-je ? » dans certains écrits en ancien français. Cette forme a peu à peu disparu pour laisser place à « Puis-je ? », probablement pour une raison d'euphonie.
Parmi les trois personnes du singulier, la terminaison -t est la marque de la 3e personne (il…, elle…, on…), jamais celle de la 1re ou de la 2e personne (je… et tu…). Par conséquent, on écrit « il peut », mais « je peux » et « tu peux ».
Règle du verbe pouvoir
Le verbe pouvoir prend 2 r au futur et au présent du conditionnel mais à la différence de courir et de mourir, on n'en prononce qu'un seul. "Je puis" est plus distingué que "je peux". Cependant, on ne dit pas "peux-je" mais "puis-je", cette forme est obligatoire.
Il faut écrire : Durant la conférence, j'ai pris toutes les notes que j'ai pu. « Pu » reste invariable, car « toutes les notes » n'est pas son COD. Celui-ci est en réalité l'infinitif sous-entendu « prendre » (« toutes les notes que j'ai pu prendre »).
On emploie le futur Pourrai-je quand on parle d'une action à venir. On emploie le conditionnel Pourrais-je quand on fait une hypothèse ou dans une formule de politesse.
Peux est le verbe pouvoir conjugué au présent de l'indicatif à la 2e personne du singulier. Peut est également le verbe pouvoir conjugué au présent de l'indicatif, mais à la 3e personne du singulier.
Pourrais-je avoir l'addition s'il vous plait? Dans la seconde phrase, il s'agit encore du conditionnel présent alors que dans la première, il s'agit de l'indicatif présent. En effet, quand on inverse le sujet et le verbe, “je peux” devient “puis-je”.
Puis est un adverbe que l'on emploie pour introduire un nouvel élément (l'action suivante) et marquer une succession dans un récit. Il est suivi d'une phrase (sujet - verbe - compléments) ou d'un nom. Exemples : Monsieur Granget a mis de l'ordre dans ses dossiers, puis il a quitté le bureau.
Quand on demande poliment quelque chose, il vaut mieux utiliser “je voudrais”. À première vue, la phrase suivante est parfaitement correcte: Je veux un café. En effet, grammaticalement, il n'y a rien à redire: le verbe “ vouloir” est parfaitement conjugué à la 1re personne du présent de l'indicatif.
Au présent et au singulier, le verbe « pouvoir » se prononce [peu] mais une lettre finale s'ajoute en fonction de la personne de conjugaison. On a donc : 1e et 2e personnes du singulier : je peux / tu peux ; 3e personne du singulier : il, elle, on peut.
La manière la plus simple et la plus courante d'exprimer la négation d'une situation ou d'une action est de dire « ne…pas ». Comme tu peux le remarquer, la forme négative en français se compose de deux parties : NE + PAS. « Ne » se place devant le verbe et « pas » se place après le verbe : Je ne mange pas de tomates.
-Peux : verbe 'pouvoir' à l'indicatif présent conjugué à la 1re ou 2e personne du singulier. - Peut : verbe 'pouvoir' à l'indicatif présent conjugué à la 3e personne du singulier. - Peu : adverbe de quantité , antonyme de 'beaucoup'.
Impératif. Le verbe pouvoir n'existe pas à l'impératif. Pour le remplacer, on utilise le subjonctif : Puisses-tu trouver la solution, puissions-nous, puissiez-vous.
[ex.] je n'en peux plus! (aussi : je suis vannée!) je n'en peux plus!
L'adolescent dira alors «jpp» (comprenez «j'en peux plus») pour signifier son rire.
1. Avoir la faculté de faire quelque chose ou de produire un effet.
Conjonction de coordination
Et puis, et puis après.