Le terme Vietcong désigne péjorativement les forces armées communistes du Front national de libération du Sud Viêt Nam, aidés par l'URSS et la Chine de Mao, qui se battaient contre la République du Viêt Nam et les États-Unis pendant la guerre du Viêt Nam.
Vietcong ou Viet-Cong : terme provenant de la contraction du mot vietnamien "Cộng Sản" signifiant communiste. Equivalent anglais de "cocos" chez nous, ce surnom péjoratif fut donné par les Américains aux forces armées du FNL (Front National de libération du Sud-Vietnam).
En résumé, le Viet Minh est le nom du parti communiste dirigé par Ho Chi Minh à partir de 1941. Les Viet-Cong sont quant à eux les combattants pro-Viet Minh dans le Vietnam du Sud à partir de l'arrivée des troupes américaines.
Les actions du Viêt Cong se transforment progressivement en guérilla puis en guerre régulière. Ses hommes mènent une guerre d'embuscade, de sabotages et de bombardements depuis ses bases dans les campagnes et zones reculées.
Le renforcement de la présence américaine avait commencé en 1964, mais c'est en 1965 que le président Johnson décida officiellement d'un engagement direct de son pays dans la guerre, avec l'envoi massif de troupes et de matériel, et que commencèrent des opérations militaires sur le territoire du Nord-Viêt Nam.
L'économiste français Thomas Piketty explique que les Etats-Unis ont perdu le Vietnam pour deux raisons principales. D'abord, la guerre a coûté une fortune. D'autre part, le pays a perdu un des plus grands producteurs de pétrole au monde.
Lorsque commence, en 1946, la guerre d'Indochine, le déséquilibre des forces est flagrant. Le corps expéditionnaire français est important, doté de matériel moderne, face à des nationalistes sans grands moyens. Pourtant, la guerre révolutionnaire menée par le général Giap a conduit la France à la défaite.
La France a été fortement impliquée au Viêt Nam au XIX e siècle, dans le cadre de la protection des missionnaires catholiques. La France s'est progressivement créée une importante colonie devenue l'Indochine française en 1887.
Étymologie. Du vietnamien Việt Minh , lui-même ellipse de Việt Nam độc lập đồng minh (« Ligue pour l'indépendance du Viêt Nam »), composé de Việt Nam (« Viêt Nam »), độc lập (« indépendance ») et đồng minh (« ligue »).
Le Dai Viêt fut renommé Viêt Nam en 1804 jusqu'en 1838, mais fut appelé An Nam (l'Annam) par les Chinois. L'État, épuisé par des décennies de guerres, fut réunifié et restauré par Gia Long et ses successeurs: Minh Mang (1820-1840) et Thieu Tri (1840-1847).
Ainsi, l'Indochine française regroupait ces trois pays de l'Asie du Sud-Est que sont aujourd'hui le Cambodge, le Laos et le Vietnam, sans oublier une portion de territoire chinois située dans l'actuelle province du Guangdong, le Kouang-Tchéou-Wan.
L'expression « Indochine britannique » était également parfois utilisée pour désigner la Birmanie à l'époque coloniale. Le terme Indochine décrit dans un sens plus large les régions continentales de l'Asie du Sud-Est, le sud de la Chine et l'est du sous-continent indien.
Le nom de Cochinchine dérive de l'usage par les Portugais de la ville de Cochin pour désigner l'Inde (d'où, plus tard, la dénomination Indochine) : les navigateurs occidentaux désignent alors du nom de Cochinchine la région de Đà Nẵng.
C'est la chute de Saigon, capitale du Sud-Vietnam, qui met un terme définitif aux affrontements entre les troupes vietnamiennes. Le 30 avril 1975, le camp soviétique prend Saigon et gagne la guerre du Vietnam.
Le 14 mars 1967, Il préside la cérémonie de départ de ces dernières du camp de Saint-Germain-en-Laye. A 16 heures, sous l'œil des photographes et caméras visibles au premier et à l'arrière-plan de cette image, les drapeaux français et américains sont descendus devant des détachements de militaires des deux pays.
Elle oppose la France aux Vietminh, les indépendantistes vietnamiens dirigés par le parti communiste indochinois. Cette guerre de décolonisation durera de 1946 à 1954. La France finit par s'incliner et doit quitter l'Indochine, selon les accords de Genève.
En 1418 , après six ans de lutte, les troupes de Lam Son réussirent à libérer le Dai Viet. Le Loi se proclama roi en 1428 et implanta longuement la dynastie des Lê (1428-1788). Il s'installa de nouveau à Hanoï, qui prit le nom de "Đông Kinh" « la capitale Kinh de l'Est » en 1430.
Le premier danger auquel les touristes doivent se confronter lors d'un voyage au Vietnam est au niveau de l'alimentation et de l'eau. En effet, il faut savoir qu'il est possible de contracter des maladies très graves à cause d'une intoxication alimentaire ou encore en buvant une eau non potable.
Religion. Les religions les plus répandues sont le culte des ancêtres, le bouddhisme, le confucianisme, le taoïsme, le catholicisme et le caodaïsme. Le culte des ancêtres est millénaire et constitue la plus vieille pratique religieuse du Vietnam.
Le territoire vietnamien avait été divisé en deux en 1954 à la suite des accords de Genève. La fin de la présence française n'a cependant pas mis fin aux hostilités qui ont atteint de nouveaux sommets au cours des années 60 avec l'implication d'un fort contingent états-unien.
Les États-Unis inscrivirent ce conflit dans une logique de guerre froide en s'appuyant sur une stratégie anti-communiste. L'expansion du communisme devait être stoppée conformément à la doctrine américaine de l'endiguement, afin d'empêcher un « effet domino » en Asie du Sud-Est.
On pourrait penser que le Royaume-Uni la dépasse, mais ce dernier n'aura été un belligérant « que » dans 43 de ces conflits. Depuis environ 1200, la France a pris part à 185 batailles et en a gagné 132. Ce nombre lui permet alors d'être la nation européenne avec le record de victoires, et ce dans le monde entier.
Le non-respect des accords d'armistice (refus de Diem de les entériner en 1957), son pouvoir de plus en plus dictatorial et la création l'Organisation du Traité de l'Asie du Sud-Est (OTASE), un pacte défensif anticommuniste sous l'égide des États-Unis, englobant le Sud du Viêt Nam, conduisent à la création du Front ...