Le handicap visuel recouvre un panel important de déficiences, allant d'un trouble visuel bénin (myopie par exemple) à une cécité totale. Actuellement, en France, 3 millions de personnes sont concernées, ce chiffre augmentant progressivement avec l'allongement de la durée de vie.
La déficience visuelle exprime une insuffisance ou une absence d'image perçue par l'œil. Elle correspond à une atteinte de l'œil ou des voies visuelles jusqu'au système cérébral. Ces atteintes peuvent être congénitales ou acquises : accidents ou maladies, telles que le diabète, la DMLA ou le glaucome…
La déficience visuelle est définie par 2 critères : la mesure de l'acuité visuelle (aptitude que possède un œil pour apprécier les détails) ; et l'état du champ visuel (espace qu'un œil immobile peut saisir).
Même si certaines personnes peuvent ne pas considérer le port de verres correcteurs comme étant « normal », leur port ne constitue certainement pas un handicap. La myopie n'est pas non plus considérée comme une déficience visuelle.
La myopie forte détermine une baisse d'acuité visuelle progressive conduisant plus ou moins rapidement vers le handicap visuel.
Un visuel est composé des éléments graphiques ou images d'une annonce publicitaire, d'un document commercial ou d'une page d'un site web. Le visuel joue un rôle d'accroche ou vient illustrer le propos, il participe pleinement à l'efficacité publicitaire.
Le taux d'incapacité en cas de grande malvoyance découle de la baisse d'acuité visuelle (tableau I) et de l'atteinte du champ visuel (schéma 1). Perte fonctionnelle d'un oeil (si la vision de l'autre oeil est normale) : 25 %.
Le mauvais état des vaisseaux sanguins va créer des problèmes dans ceux de l'œil tels que des fuites, des dilatations ou des ramifications. Ces différents changements vont affecter directement la vue et peuvent créer des zones aveugles, une vision voilée ou des corps flottants.
Il convient de ne pas confondre un malvoyant (qui voit mal) avec un aveugle (qui ne voit pas). Parmi les malvoyants, on peut distinguer plusieurs catégories selon l'organisation mondiale pour la santé (OMS) : Les personnes ayant une cécité absolue (aucune perception de lumière)
Les troubles de la vue peuvent être la conséquence de différentes causes : défaut visuel, anomalie de l'œil, pathologie oculaire, vieillissement naturel de l'œil... En France, ces troubles visuels touchent 68,4% de la population.
L'amblyopie est un handicap qui peut passer inaperçu : regard totalement ''voyant'', allure non hésitante, vision de très petits objets, sans ou avec port de lunettes.
Conditions d'incapacité
Vous êtes considéré invalide au sens de la Sécurité sociale si, après un accident ou une maladie survenu dans votre vie privée (d'origine non professionnelle), votre capacité de travail ou de gain est réduite d'au moins 2/3 (66%).
La vision avec un seul œil modifie la perception de la profondeur. La plupart des gens concernés parlent d'une vision « sans relief ». Pour stimuler la vision 3D pour un instant :Tournez la tête de côté ou bougez la tête de haut en bas. Cela vous permet d'évaluer la distance entre les objets durant cet instant.
Pour y prétendre, le demandeur doit être dans l'une des situations suivantes : Avoir un taux reconnu de handicap au moins égal à 80%. Ce taux est déterminé auprès de la Maison Départementale des Personnes Handicapées, consulter ce lien pour savoir où se trouve la MDPH la plus proche de chez vous.
Des statistiques ont montré que les visuels sont traités 60.000 fois plus vite dans le cerveau que le texte. Faire passer rapidement votre point de vue est un gros avantage pour des raisons évidentes. Les images et les vidéos produisent une expérience beaucoup plus riche que le texte seul.
Point 2 : Elle fait comprendre et retenir l'information
Par ailleurs, l'utilisation de visuels permet une meilleure rétention de l'information Saviez-vous que les images que nous voyons sont directement liées à notre mémoire à long terme, alors que les mots, eux, sont stocké dans notre mémoire de court terme ?
Il est possible de traiter la myopie par le laser ou la chirurgie. Le degré de courbure de la cornée peut être modifié et donc la myopie corrigée à l'aide d'un laser excimer. Un implant peut également être placé dans l'œil. La myopie peut aussi être corrigée à l'occasion de l'opération de la cataracte.
En particulier, c'est auprès des MDPH qu'il faut déposer un dossier de demande de prestation (Cerfa n° 15692*01), qui sera étudié par une commission dédiée en vue d'évaluer le degré d'incapacité de la personne demandeuse (ou pour laquelle la demande est faite).
Quelques exemples : le diabète, les hépatites, le cancer, la maladie de Parkinson, la maladie d'Alzheimer, le sida, les rhumatismes, la sclérose en plaques, les allergies, la narcolepsie, l'épilepsie, l'asthme, les maladies « rares » ou « orphelines » …