Dans les pays musulmans, l'adoption est interdite puisque la filiation ne peut être que biologique. Elle est en quelque sorte remplacée par la kafala, un système de tutelle pas vraiment reconnu par le droit français.
Puis l'adoption est interdite en islam, cependant elle l'éleve en etant son frère dans l'islam , et si elle l'a allaité ou la soeur de la femme l'a allaité par exemple, elle devient sa tante et dans ce cas elle devient un mahram.
Le statut « d'orphelin » restreint selon la définition islamique aux enfants nés dans le mariage religieux est accordé également aux enfants « sans filiation reconnue ». Cet élargissement est considéré depuis l'indépendance par l'État.
La kafala (en arabe: كَفَّلَ) est une procédure d'adoption spécifique au droit musulman qui correspond à une tutelle sans filiation. Un enfant – issu d'un milieu économiquement défavorisé, né hors mariage, etc. – est recueilli par une famille adoptive qui s'engage à l'élever comme son propre enfant.
L'islam donne aussi à l'enfant le droit de se reposer et de se consacrer à ses loisirs. Les parents ont le devoir de l'aider et de l'encourager. 3. La quatrième période s'étend de l'âge de 7 ans jusqu'à l'âge de la puberté, appelée « l'âge du discernement », ou de la prise de responsabilité, le taklif [18]
« L'âge de 18 ans marque le stade où une femme peut valablement exprimer sa volonté de se marier. Cela garantit qu'elle puisse jouir de ses droits fondamentaux à l'enfance, à l'éducation et à la capacité d'assumer la responsabilité du mariage », a déclaré Salah Abbas lors de son allocution.
L'adoption à la manière occidentale, qui consiste à faire de l'enfant adopté un héritier et à changer son nom ou, parfois, à effacer toute relation avec ses parents biologiques, est strictement interdite en Islam.
Les consulats de France ne délivrent des visas QUE pour des kafalas judiciaires d'enfants qui ont un acte d'abandon et viennent d'un orphelinat. Aucune exequatur n'est nécessaire, ni pour obtenir le visa, ni pour faire reconnaitre la kafala une fois en France.
Elles n'envisagent que des cas de transfert de l'autorité parentale : la kafala. Celle-ci se définit comme l'acte, validé par l'autorité judiciaire, par lequel une personne s'engage à recueillir un enfant mineur.
En outre, il existe trois situations qui empêchent l'héritage : le mécréant (infidèle) ne peut venir à la succession d'un musulman ; un assassin ne peut venir à la succession de sa victime (et cela même si la mort est involontaire) ; l'enfant adultérin n'hérite pas de son père, et son père n'hérite pas de lui.
Versets 11 et 12 de la Sourate « Les Femmes »
Et s'il n'y en a qu'une, à elle alors la moitié. Quant aux père et mère du défunt, à chacun d'eux le sixième de ce qu'il laisse, s'il a un enfant. S'il n'a pas d'enfant et que ses père et mère héritent de lui, à sa mère alors le tiers.
Statut de Aïcha
Au delà de sa personne, les débats ont tourné autour des versets coraniques qui lui ont été associés. Comme les autres épouses de Mahomet, elle porte le titre de « mère des croyants », ce qui lui donne un statut particulier.
SEVRAGE. Les méthodes de sevrage sont largement influencées par les pratiques culturelles des familles musulmanes, car le Coran ne mentionne aucune façon de sevrer. Les familles Bengales célèbrent l'introduction de solides à l'âge de six mois en offrant six grains de riz au bébé.
Les mamans qui donnent leur enfant à adopter peuvent avoir ensuite des problèmes psychologiques, se sentir coupables d'avoir abandonné leur bébé. Une femme peut apprendre à aimer son enfant, même s'il est né d'un viol.
En Islam, il n'est ni haram (illégal) ni obligatoire pour une femme de changer son nom de famille pour celui de son mari. Pour mieux comprendre cela, il faut d'abord comprendre l'un des objectifs centraux (maqasid) de la charia, qui est la préservation de sa lignée (nasab).
Conditions pour bénéficier de la Kafala :
– être immatriculé dans la circonscription consulaire. – Etre de confession musulmane. – Etre en bonne santé. – Disposer d'un logement décent et salubre.
Le kafil doit présenter une demande de kafala à la commission administrative de la préfecture ou de la province (en principe) de son lieu de résidence. Le kafil doit rencontrer une assistante sociale qui l'assistera dans ses démarches.
L'article 2 définit la kafala comme étant une prise en charge d'un enfant abandonné : c'est « l'engagement de prendre en charge sa protection, son éducation et son entretien au même titre que le ferait un père pour son enfant. La kafala ne donne pas de droit à la filiation ni à la succession ».
Ce nom arabe, féminin de Abdelwaheb, littéralement "servante du Grand-Donateur" est synonyme du prénom AmatAllah "adoratrice de Dieu".
L'Islam a organisé l'héritage en fonction du degré de parenté et besoin (tel que celui du frère germain, du demi-frère), de la proximité parentale (telle que la fraternité générale), et de l'exclusion du non-ayant droit (cas de la personne née hors mariage).
L'adoption peut être simple ou plénière.
Le nom d'Allah vient de al-Ilah, qui signifie le Dieu ; dès avant l'islam, il paraît avoir désigné le dieu suprême à La Mecque. Dans la pensée islamique, Allah est le maître du monde et de la vie, bienfaiteur et miséricordieux mais aussi juge qui rendra au jour du Jugement à chacun selon ses œuvres.
Le Coran (en arabe : القُرْآن, al-Qor'ân, signifiant « la récitation ») est le principal texte sacré de l'islam.
sunna. 1. Ensemble des paroles du Prophète, de ses actions et de ses jugements, tels qu'ils sont fixés dans les hadiths et qui constituent pour tout musulman un modèle à suivre. 2.