On peut estimer que le fait de parler en dormant survient lorsque l'on est confronté à un épisode de stress ou un changement important dans son quotidien. Il s'agit peut-être aussi d'un comportement lié au rêve du dormeur. Aucune hypothèse n'a pour l'heure été avérée par la science.
Selon Dr Slimani, "ceux qui parlent beaucoup la nuit sont souvent d'anciens somnambules". Et bonne nouvelle, plus l'âge avance, plus la somniloquie s'atténue, au même titre que le somnambulisme. Sans conséquence sur notre sommeil, parler pendant la nuit n'a donc aucune répercussion sur notre santé globale.
Somniloquie : qu'est-ce que c'est ? La somniloquie est un trouble universel appartenant au groupe des parasomnies (qui intervient pendant une des phases de sommeil). Elle se manifeste par le fait de parler en dormant, de façon périodique ou chronique.
Elles sont toutefois facilitées par différents facteurs : une prédisposition génétique, une privation de sommeil, une activité physique intense, des éléments psychologiques comme les facteurs de stress, de la fièvre, la consommation d'excitants avant le sommeil.
Il faut savoir qu'il est normal que l'on puisse entendre en dormant, puisque le cerveau reste actif pendant la nuit. Selon les phases du sommeil, certaines parties demeurent plus actives que d'autres, mais, en général, l'oreille continue de capter les sons environnants.
C'est un trouble respiratoire qui apparaît pendant la phase de sommeil paradoxal : le dormeur va ainsi gémir et/ou grogner pendant le processus d'expiration et de respiration. Parfois, ces longs gémissements apparaissent également pendant la phase de sommeil profond.
Il est souvent lié à des difficultés respiratoires ou à un mouvement incontrôlé des jambes. La consommation excessive d'alcool, le manque de sommeil, le stress ou les troubles psychiques peuvent entraîner ce type de manifestation.
Est-ce normal ? Rire en dormant est généralement normal et inoffensif. Dans la plupart des cas, le rire pendant le sommeil est une réponse naturelle à quelque chose qui se produit pendant un rêve. Le rêve peut souvent sembler étrange, bizarre ou même pas drôle au réveil.
Les médecins qui connaissent le mieux le somnambulisme sont les médecins du sommeil (une sur-spécialité exercée par des neurologues, des psychiatres et des pneumologues).
Se parler à soi-même est lié à la pleine conscience, une pratique très en vogue de nos jours. Selon Sheri McGregor, “cette approche est primordiale parce qu'elle permet non seulement de prendre conscience de ses pensées, mais aussi de la façon dont on les formule intérieurement”.
La somniloquie est un trouble du sommeil qui se caractérise par le fait de parler pendant son sommeil. Rires, pleurs, chuchotements, cris, phrases complètes... Il existe de nombreuses formes différentes de somniloquie.
La somniloquie est le fait de parler en dormant, plus précisément d'émettre des vocalisations, des syllabes, des mots voire des phrases entières durant son sommeil.
Dans la majorité des cas de somnambulisme, le patient éveillé a les yeux ouverts. Néanmoins, certaines personnes somnambules peuvent être éveillés cognitivement, elles gardent alors les yeux fermés.
Non, le somnambulisme n'est, en soi, pas dangereux. Par contre, comme la conscience est altérée à ce moment-là, la marche et toute autre action motrice éventuelle sont totalement incontrôlées, ce qui peut parfois conduire à des situations dangereuses. On estime que 17 % des enfants et 4 % des adultes sont somnambules.
Tant qu'il reste occasionnel, le somnambulisme n'est pas dangereux en soi. Mais les comportements pendant l'accès peuvent mettre le dormeur en danger. Ses perceptions internes et externes sont altérées.
Insomnie psychophysiologique
On parle aussi d'insomnie chronique. L'idée est que la personne souffre tellement de ne pas dormir qu'elle finit par avoir peur de se coucher et de ne pas réussir à s'endormir : c'est une insomnie qui se nourri elle-même !
Car réveiller brutalement, un somnambule risque de se montrer totalement désorienté. Il peut alors chuter et se faire mal. Il peut aussi devenir nerveux et même se montrer violent.
Claquez sur la joue supérieure de la personne qui dort.
Pressez délicatement votre index ou votre doigt du milieu contre votre pouce puis lâchez-le sur la joue supérieure de la personne qui dort. Répétez deux ou trois fois. Si vous remarquez que son œil tremble en retour, elle est éveillée X Source de recherche .
Les terreurs nocturnes sont un trouble du sommeil normal qui apparaît en général quand l'enfant est âgé entre 18 mois et 4 ans. Il est préférable de ne pas réveiller un enfant qui a une terreur nocturne. Il faut toutefois rester à ses côtés afin de s'assurer qu'il ne se blesse pas.
Un épisode de somnambulisme peut se résumer à s'asseoir dans son lit, manipuler les couvertures, balayer la pièce d'un regard absent, puis simplement se recoucher et se rendormir. L'agissement le plus fréquemment rapporté est celui de l'enfant qui sort de son lit et se promène lentement dans la pièce.
Fatigue ou manque de sommeil
Un manque de sommeil ou des réveils fréquents pendant la nuit peuvent aussi accroître le risque de somnambulisme. Certains enfants auront des épisodes de somnambulisme suite à la suppression de siestes, phénomène qui perturbe temporairement la structure du sommeil de l'enfant.
La paralysie du sommeil s'explique par l'intrusion imprévue de cette atonie musculaire lors d'une transition entre veille et sommeil et, très probablement, par le fait que le sujet devenu éveillé et conscient perçoive cette absence de tonus musculaire.
L'apnée du sommeil ou syndrome d'apnées–hypopnées obstructives du sommeil (SAHOS) est un trouble de la ventilation nocturne dû à la survenue anormalement fréquente de pauses respiratoires. Ce syndrome est dû à des épisodes répétés d'obstruction des conduits respiratoires de l'arrière gorge.
Ce trouble n'est pas grave, mais dans des formes plus poussées cela peut user prématurément les dents. Dans ce cas, le meilleur conseiller est le dentiste. La solution est de mettre un système de gouttières dans la bouche pendant le sommeil. Il recommandera la gouttière surtout pour les cas les plus sévères.
Évitez le stress, la caféine et l'alcool. Ces facteurs peuvent tous avoir un impact négatif sur votre sommeil, ce qui peut vous amener à parler davantage en dormant.