"Je répète, donc je suis!" Notre vie bat au rythme de la répétition imposée par l'inconscient. La répétition peut être positive quand, par exemple, elle nous permet d'apprendre et de nous affirmer chaque jour davantage.
Pour faire simple, il s'agit de nos schémas erronés de construction psychologique ou schémas d'inadaptation qui nous maintiennent dans ces croyances négatives sur nous-mêmes. Ces schémas nous poussent de manière inconsciente à répéter le même type de fonctionnement qui est souvent autodestructeur ou insatisfaisant.
"Un schéma répétitif peut être engendré par un manque de confiance en vous, qui entraîne un manque de confiance en votre partenaire. Cela peut aussi être lié à une tendance à se suradapter à l'amoureux en risquant de s'oublier", explique la psychologue.
"Réfléchir aux actes passés peut vous aider à ne pas répéter vos erreurs. Il est important d'étudier ce qui s'est mal passé, ce qui aurait pu être mieux réalisé, et comprendre comment faire les choses différemment la prochaine fois", estime Morin.
La palilalie est un trouble du langage parlé consistant à répéter spontanément et involontairement un ou plusieurs mots ou phrases.
Psittacin, -ine, adj. Qui répète machinalement.
En plus de la perte de mémoire à court terme, les comportements répétitifs peuvent être déclenchés par le stress, l'anxiété, la frustration, l'inconfort ou la peur.
Si les erreurs et les boulettes s'accumulent, c'est un signe qu'il est temps de passer à autre chose. "Très souvent nous nous rendons compte nous même de nos erreurs", souligne Sabine Grégoire. "Faire trop de bétises signifie que le poste occupé n'est probablement plus fait pour nous."
L'erreur est humaine et la plupart d'entre nous sommes passés par là à un moment ou à un autre. Notre cerveau traite en permanence des milliers d'informations. Entre ce que nous voyons, ressentons, entendons et pensons chaque jour, il se met en mode automatique pour la plupart des tâches que nous accomplissons.
Vous ne vous aimez pas assez (parfois jusqu'à être en dépendance affective) Vous ne vous respectez pas. Vous n'avez pas confiance en vos capacités à être célibataire (vous avez donc peur d'être seul) Vous n'arrivez pas à vous affirmer et à exprimer ce que vous ressentez.
Manque de créativité, attentes irréalistes ou encore trop grande dépendance, certains aspects de la relation mènent tout droit à la rupture, selon un expert. Certains comportements ou manquements émanant de l'un·e ou l'autre des partenaires peuvent mettre la relation en danger.
N'essayez pas de rejeter la faute sur quelqu'un d'autre ou de cacher cette erreur, cela ne ferait qu'empirer les choses. De plus, vous allez vous focaliser sur cette erreur, y penser sans arrêt et vous tourmenter pour rien. Avouez votre faute et n'hésitez pas à demander de l'aide pour vous aider à réparer cette faute.
L'homme sage apprend de ses erreurs, l'homme plus sage apprend des erreurs des autres.
Utiliser des pronoms
Vous pouvez utiliser les pronoms personnels (il, elle,…), les pronoms compléments (le, la, en , y,…), les pronoms possessifs (sa, son,…), les pronoms démonstratifs (celui-ci, celle-ci), etc.
[Prénom, nom de famille]. Je m'appelle [prénom, nom de famille]. Je suis [prénom, nom de famille] Moi, c'est Iklas.
-il peut être remplacé par « il s'agit de » : C'est l'histoire d'un jeune garçon. Il s'agit de l'histoire d'un jeune garçon. Le mot « ça » : -il peut être remplacé par « cela ».
Une faute (du latin « fallere », tromper, faillir, duper, abuser, manquer à sa promesse), est un manquement à une règle ou à une norme, alors qu'une erreur (du latin « error », qui signifie « action d'errer, détour ») est une méprise, une action inconsidérée, voire regrettable, un défaut de jugement ou d'appréciation.
Le cerveau apprend par essai-erreur. L'erreur est pour notre cerveau une information aussi utile que la réussite. On apprend en procédant par essai-erreur et sa correction. Le faire explicitement et souvent aide l'élève à surmonter progressivement son appréhension.
L'anosognosie signifie l'absence de prise de conscience ou une prise de conscience amoindrie des troubles. Elle est fréquente chez les patients souffrant de maladie d'Alzheimer ou d'autres types de démences.
Il peut s'agir de l'aphasie mais ça peut aussi provenir d'une toute autre cause. Une cause par exemple motrice, une maladie musculaire, une maladie des nerfs moteurs qui empêche la prononciation des consonnes.