Elle peut résulter d'un perfectionnisme, d'exigences excessives envers soi-même ou d'une tendance accrue à l'autocritique. La possibilité d'échouer au test ou à l'examen se transforme en épée de Damoclès accablante et omniprésente.
D'où vient ce désordre psychique favorisant l'anxiété ? Cela peut être héréditaire ou environnemental, mais on cite également l'anxiété post-traumatique (accident, attentat, décès d'un proche, choc psychologique).
Elle est un type de phobie spécifique. Comme d'autres phobies, l'atychiphobie mène souvent à un mode de vie restreint, affectant notamment la volonté d'une personne d'effectuer certaines activités.
Elle est souvent liée à une peur ancrée en soi et oubliée, celle de changer, de devenir quelqu'un d'autre, d'avoir une nouvelle vie, mais aussi de perdre une certaine tranquillité d'esprit. Réussir autant qu'échouer bouleverse une vie sous toutes ses formes.
La camomille, souvent utilisée sous forme de tisane, peut également être utilisée sous forme d'huile essentiel pour ses propriétés apaisantes aidant à diminuer les tensions et les angoisses.
Une sensation de ne pas être là, des maux de tête récurrents, des douleurs articulaires, une fatigue permanente, des émotions qui s'emballent, des tremblements, une sensation de froid, une incapacité à prendre des décisions.
symptômes physiques : douleurs (coliques, maux de tête, douleurs musculaires, articulaires, etc.), troubles du sommeil, de l'appétit et de la digestion, sensations d'essoufflement ou d'oppression, sueurs inhabituelles...
L'anxiété généralisée ou trouble anxieux généralisé
Elle est en état de vigilance extrême vis-à-vis de son entourage et de son environnement ; différents symptômes physiques (maux de tête, douleurs musculaires, fatigue, insomnies, sueurs, palpitations...).
1- Le stress
Mais passé un certain niveau, le stress nous fait perdre nos moyens. Alors, si tu as étudié, mais devant l'examen tu as l'impression de tout oublier et de ne rien comprendre... le problème est sûrement dû au stress et certainement pas à tes capacités!
Pensez à un paysage, un décor de voyage, un souvenir agréable, une étendue d'eau aussi calme que vous ne l'êtes pas, et photographiez mentalement ce que vous voyez. Vous pouvez aussi choisir des images qui « n'existent » pas mais qui vous font rêver.
Les symptômes physiques se résument surtout à des tensions musculaires, des problèmes digestifs et intestinaux, des troubles du sommeil (insomnies), des manques d'appétit, des migraines, des vertiges et de la fatigue.
Signes et symptômes du stress
Les symptômes physiques liés au stress sont tels que des maux de tête, des douleurs musculaires, des vertiges, des nausées, des troubles du sommeil, une fatigue intense ou encore des troubles de l'alimentation.
Le ginseng pour s'adapter au stress
Cette plante de la famille des araliacées est utilisée dans la tradition chinoise pour améliorer les états de stress grâce à son action calmante sur l'organisme et ses vertus adaptogènes.
Causes. Les causes du stress peuvent être physiques, sociopsychiques (la cause la plus fréquente) ou liées à une maladie génétique, virale ou parasitaire. La situation de stress provoque une accélération du rythme cardiaque et la baisse du taux de glucose dans le sang.
Bon nombre d'activités sportives ont un effet bénéfique sur le stress : natation, tir, yoga, tai chi, équitation, sports nautiques, etc. Le sport déclenche dans l'organisme la production d'hormones appelées endorphines.
Ces manifestations sont le symptôme de blessures plus profondes appartenant au passé, souvent à l'enfance. Il est important d'en prendre conscience afin de travailler dessus et reprendre confiance en soi et de ne pas avoir peur de se tromper afin d'affronter ce qui doit l'être.
Au moment d'agir, les manifestations de peur sont bel et bien présentes : nuque bloquée, gorge nouée, cœur qui s'emballe, souffle court, mains tremblantes et jambes flageolantes, sueurs froides… Plus l'émotion est forte, plus les tensions corporelles augmentent.
Qu'est-ce que la phobie scolaire ? La principale définition utilisée est celle du Dr Ajuriaguerra, neuropsychiatre, en 1974 : « il s'agit de jeunes qui, pour des raisons irrationnelles, refusent de se rendre à l'école et résistent avec des réactions d'anxiété très vives ou d'angoisse si on les force à y aller ».