L'utilisation du mot
Le mot est à rapprocher de bosch, « bois » en bas allemand et néerlandais : 's-Hertogenbosch (une ville des Pays-Bas) se traduit en français par Bois-le-Duc. Donc, tête de « bosch » = tête de bois, et l'expression vient peut-être des Allemands eux-mêmes qui l'auraient employée en 1870.
Les Allemands ont ainsi été surnommés “alboches”. Puis, en quelques mois, le préfixe “al-” est tombé (il a disparu) et il n'est resté que “boche” (mot utilisé aussi ensuite durant la guerre de 1939-1945). » Injure. « Ce mot argotique a une connotation péjorative.
Le dérivé fridolin apparaît en 1917, mais il aurait été présent dès 1880 selon Chautard. Une variante frigolin aurait été plus fréquente entre les deux guerres selon Esnault. La construction de ce nom est complexe. Le nom frigolin peut se référer au froid, au frigo, et donc au caractère présumé des Allemands.
Les Français vus par les Allemands : - Les Allemands, pour beaucoup, considèrent que la France reste un pays culte pour l'art de vivre : « Leben wie Gott in Frankreich » (vivre comme Dieu en France). - Les Allemands considèrent le Français comme arrogant mais ils nous prêtent une image de bon vivant.
L'accent français, premier à l'applaudimètre
D'une manière générale, les Allemands trouvent sympathiques les accents étrangers. L'accent français est de loin celui qui leur plaît le plus (36%), devant l'accent italien (21%). Seul un sondé sur cinq déclare qu'aucun accent étranger ne lui est sympathique.
Selon un sondage IFOP, rendu public le 23 janvier par l'ambassade d'Allemagne à Paris, qui l'a commandé, 19 % des Français disent avoir une "très bonne" et 63 % une "assez bonne" image de l'Allemagne, soit 82 % d'avis favorables.
En ce qui me concerne, il me traitait de « Arsch mit Ohren » (enfoiré, ou littéralement cul à oreilles,) et, comparé à ses autres grossièretés, je ne la trouvais au final pas si choquante. « Arsch » est probablement l'une des injures les plus utilisées dans la langue allemande.
Terme injurieux pour désigner un Allemand.
Les Némètes sont d'abord un peuple celto-germanique de la vallée du Rhin, en Germanie de l'Antiquité. Dans les langues slaves, les Allemands ont reçu le nom de němьci (němьcь singulier), à l'origine avec un sens « étranger, celui qui ne parle pas [slave] ».
Le français est une langue indo-européenne de la famille des langues romanes dont les locuteurs sont appelés francophones. Elle est parfois surnommée la « langue de Molière ».
Si vous demandez à votre voisin, qui a voyagé, pourquoi les Anglais appellent les Français Frogs, «grenouilles», et, par diminutif, Froggies, «grenouillettes», il vous répondra que c'est parce que nous mangeons les cuisses de ces batraciens des étangs.
À l'issue de la Seconde Guerre mondiale, le IIIe Reich vaincu est divisé, en 1949, en deux États : à l'ouest, la République fédérale d'Allemagne (RFA) et à l'est, la République démocratique allemande (RDA).
Étymologie. De Chleuh, un peuple amazighe du sud marocain. Lors de la Première Guerre mondiale, le mot apparait avec le sens de « soldat des troupes territoriales » dans l'argot des soldats combattant au Maroc. (1936) Avec le sens de « frontalier parlant une langue autre que le français : comtois ou alsacien ».
L'Allemagne est occupée dès l'Antiquité par un peuple germanique, les Germains, qui avaient pris la place des Celtes, installés auparavant. L'Allemagne s'appelle alors la Germanie et n'est pas un État à part entière.
Dans les langues slaves, le terme désignant un Allemand (donc le peuple voisin) vient d'un adjectif signifiant « muet ». Les Allemands n'étaient pas muets, mais comme les Slaves ne les comprenaient pas, pour eux, c'étaient des gens avec lesquels on ne pouvait pas parler.
Difficultés. L'adverbe et pronom relatif où s'écrit avec un u accent grave, ce qui le distingue de la conjonction ou. Où peut marquer le lieu aussi bien que le temps : c'est le café où nous avions rendez-vous ; par où êtes-vous entré ? ; le jour où nous l'avons rencontré ; c'est l'année où j'étais aux États-Unis.
En effet, l'allemand possède une grammaire assez complexe avec de nombreuses déclinaisons, toutes plus techniques les unes que les autres. Cela signifie que les mots changent de forme en fonction de leur rôle grammaticale dans la phrase, ce qui rend automatiquement la construction de phrases plus difficile.
La ville de Hanovre a la réputation d'être celle où l'on parle « le meilleur allemand » ; le bas allemand y est presque complètement éliminé depuis très longtemps mais était le plus près de l'allemand standard.
En Allemagne, c'est plutôt bien d'être "Salopp"
Il suffit de le prononcer à l'Allemande : "Zaloppe". Car ce mot n'a pas du tout la même signification qu'en France.
Soyez ponctuel. La ponctualité est essentielle. Essayez donc de ne pas être en retard. Ne vous décommandez pas à la dernière minute – si jamais cela devait arriver, appelez rapidement pour avertir que vous ne serez pas à l'heure et préparez en avance une très bonne excuse pour vous faire pardonner !
Mais côté sentimentalité, rien de nouveau, les Allemands n'ont pas la côte pour ce qui est du domaine de la séduction et du flirt. Les hommes surtout (désolé mesdemoiselles), se montrent timides, mal à l'aise, certains même distants… Pas facile en effet de briser la glace au premier abord. Même après quelques bières ?
En 1995, ils étaient 15,1%. Le français est largement devancé par l'anglais qui a séduit 82,4% des élèves allemands en 2021-22. Néanmoins le français reste en deuxième position parmi les langues étrangères enseignées en Allemagne: le latin détient la troisième place (6,4%), suivi de l'espagnol (5,9%).
Près de 130 millions de personnes en Allemagne, Autriche, Suisse, Luxembourg, Belgique, Liechtenstein et Tyrol du Sud (Italie) parlent l'allemand comme langue maternelle ou comme seconde langue régulièrement utilisée.
Les Français sont vus comme des gens très raffinés, spécialistes de la mode et du maquillage (pour les femmes) et des arts (pour tous). Ils ont la réputation d'être très cultivés et très au fait des arts et de l'histoire de France . Le pendant négatif est l'impression de nationalisme, souvent doublé de chauvinisme.