En général, les personnes qui veulent tout maîtriser ne se contentent pas d'organiser leur quotidien, elles veulent également contrôler leurs émotions : retenir des larmes, éviter les démonstrations d'affection voire même contrôler son désir.
La recherche du savoir a libéré l'homme de la nécessité qui le liait à la nature, il l'a libéré d'une forme de servitude et lui a permis de vivre chaque jour un peu mieux que le précédent. La recherche du savoir permet le progrès scientifique et technique.
La connaissance est, en ce sens, une voie qui satisfait un désir de liberté. Elle permet à l'esprit de s'affranchir des superstitions, des craintes, des désirs puérils. Elle substitue des pensées d'entendement aux pensées d'imagination et c'est sans doute par cette ascèse que l'esprit accède à sa maturité.
La curiosité n'est pas un fait du hasard. C'est une force qui, pour être exploitée, demande de l'ouverture d'esprit et la volonté d'explorer.
En augmentant les connaissances, la curiosité est source de culture et de savoirs: elle étend le champ des possibles. La satisfaire donne confiance en soi, elle limite la peur de l'inconnu et de l'ignorance, car l'ignorance effraie : “Papa, j'ai peur de ne pas savoir”.
Quelques avantages à être curieux :
Cela étend la zone de confort et diminue l'anxiété liée à la peur de l'inconnu au sens large. Cela stimule la créativité. Cela favorise l'apprentissage. Cela favorise la prise de décision.
La connaissance désigne un rapport de la pensée à la réalité extérieure et engage la notion de vérité comme adéquation de l'esprit et de la chose. Par extension, le terme connaissance désigne le contenu de la pensée qui correspond à la nature de la chose visée, et s'oppose à erreur ou illusion.
Par définition, le désir de vérité est insatiable, car c'est la vérité elle-même qui nous meut et non les services qu'elle rend. Pour preuve, plus on sait, plus on désire savoir, la curiosité appelle la curiosité.
«La conscience est tout simplement un effet du cerveau, le produit de l'activité neuronale. Il n'y a pas, comme le croyait Descartes, une âme ou un esprit séparé du corps – un petit homoncule assis dans le cerveau – qui pilote la machine.»
La connaissance de soi
Nous agirons de manière rationnelle, et la qualité de nos relations sera meilleure. Le fait de connaître notre manière de fonctionner, de penser et de réagir permettra de mieux appréhender les situations et les réactions de l'autre.
Le savoir est défini habituellement comme un ensemble de connaissances ou d'aptitudes reproductibles, acquises par l'étude ou l'expérience.
Savoir, c'est peut-être pouvoir, mais à lui seul le savoir ne confère pas beaucoup de pouvoir, comme le confirmera n'importe quel universitaire ou directeur d'une entreprise moyenne. Le pouvoir réside dans la volonté d'utiliser le savoir, la capacité à l'utiliser et le savoir-faire nécessaire pour y parvenir.
La conscience immédiate et la conscience réfléchie, la connaissance du monde, la connaissance de soi.
On trouve un cortex moteur dans les deux hémisphères du cerveau, chacun contrôlant la partie opposée du corps : le cortex moteur de l'hémisphère droit contrôlant les mouvements de la partie gauche du corps et inversement. C'est ce que l'on appelle le « contrôle croisé ».
Le sujet « pourquoi vouloir la vérité ? », présuppose que l'Homme est à la quête de la Vérité, ici la vérité signifie la connaissance, le savoir absolu sur le monde, les choses qui nous entourent et sur nous, les Hommes.
Nier la vérité est un acte beaucoup plus facile que de l'affronter. En règle général il est plus facile de contourner son obstacle que d'y faire face. C'est un mouvement instinctif, courant et surtout humain. Pour certaines personnes fragile d'esprit, fuir la vérité les protègent du quotidien souvent sans pitié.
Ne pas dire la vérité c'est également s'exposer au risque de voir la personne la découvrir par elle-même, peut-être de manière plus brutale, et de perdre sa confiance.
Croire, c'est donc donner son assentiment à une proposition qui est tenue pour vraie sans avoir la certitude objective de sa vérité. Il s'agit d'une opinion. Savoir, c'est donner son assentiment à une proposition en ayant la certitude objective de sa vérité.
La vérité est la correspondance entre ce que je dis, et ce qui est : elle s'oppose donc à la fausseté – au sens d'erreur, mais aussi de mensonge. Détenir la vérité, c'est donc énoncer un discours objectif qui correspond à la réalité.
La définition traditionnelle suggère donc que lorsqu'une croyance s'appuie sur des bonnes raisons, et qu'elle est vraie, alors c'est une connaissance.
curieuse. Personne qui est avide de voir, de savoir, d'apprendre.
Ce proverbe s'emploi notamment à l'encontre des enfants qui font preuve d'indiscrétion.
La curiosité est définie comme une qualité avant d'être considérée comme un défaut. « C'est la qualité de quelqu'un qui a le désir de connaître, de savoir ». La curiosité a cette formidable fonction d'attirer et de mobiliser notre attention.
Elle ne peut pas être sans être conscience d'être ; elle est donc entièrement présente à elle-même. Elle ne peut pas être sans se penser, se reconnaître. De ce fait, son essence implique qu'elle soit une connaissance d'elle même. Sa totalité essentielle la rend lisible et limpide.