Les affrontements de la mondialisation entremêlent donc deux types de conflit : des luttes classiques entre les intérêts existants ; mais aussi des tensions entre ces intérêts actuels (des individus, des entreprises, des États…) et les intérêts communs, supérieurs, futurs de l'humanité entière.
La mondialisation du conflit (juin 1941-été 1942)
Le 22 juin 1941, Hitler attaque son alliée l'URSS : c'est le plan « Barbarossa » destiné à étendre l'« espace vital » des Allemands et à lutter contre les communistes. L'armée Rouge, mal préparée, recule face à l'ampleur des moyens déployés par la Wehrmacht.
Ainsi, la vague de mondialisation actuelle, puisqu'elle favorise l'ouverture commerciale entre un grand nombre de pays, contribue à réduire les dépendances économiques bilatérales ou locales et peut conduire à une augmentation de la prévalence des conflits armés.
La «mondialisation» est un processus historique qui est le fruit de l'innovation humaine et du progrès technique. Elle évoque l'intégration croissante des économies dans le monde entier, au moyen surtout des courants d'échanges et des flux financiers.
En fait, la multiplication des sous-traitants et des localisations tout au long de la chaîne de production fragilise l'ensemble : si l'un des maillons, pour cause de catastrophe naturelle, d'accident industriel, de conflit social, de guerre, de sanction, d'embargo…
Elle a des effets négatifs sur les dépenses publiques de santé et d'éducation alors que les pays en développement et les femmes en particulier ont encore largement besoin des programmes sociaux. Au plan individuel, la mondialisation suppose la libre circulation des ressources financières, des biens et des services.
La croissance économique mondiale et la productivité industrielle qui sont à la fois le moteur et les conséquences principales de la mondialisation ont aussi des conséquences environnementales majeures : déplétion des ressources naturelles, déforestation, destruction des écosystèmes.
La globalisation repose sur trois facteurs qui ont contribué à son développement : la désintermédiation, la déréglementation et le décloisonnement des activités financières.
La globalisation financière fait croître les inégalités structurelles, parce qu'elle conduit logiquement à un autre partage entre pro- fits et salaires dans les pays industrialisés. Elle contribue en effet à accroître de façon considérable la mobilité des capitaux.
« Philosophie de la mondialisation », cela signifierait mettre au service d'un projet de privatisation du monde (ou plutôt : d'extension, de développement de cette privatisation) : la démarche et la tradition philosophiques, son corpus scientifique et ses méthodologies, ses valeurs et son irréductibilité même.
Les principaux avantages de la mondialisation pour les consommateurs sont une baisse des prix et une augmentation des choix. Les principaux inconvénients de la mondialisation pour les consommateurs sont la suppression des emplois liés à la mondialisation et les inégalités de salaire.
Elle a renforcé le rôle des organisations non gouvernementales, de la société civile et des sociétés multinationales. Les organisations internationales sont maintenant appelées plus que jamais à développer une action collective dans notre monde de plus en plus interdépendant.
L'engagement allemand dans les Balkans et en Méditerranée, puis en Afrique, l'opération Barbarossa et l'entrée en guerre des Etats-Unis marquent un tournant dans le conflit qui devient alors véritablement mondial.
Ici, le facteur décisif semble être finalement le changement d'ère technique. Dès la Seconde Guerre mondiale, se dessine en Occident (États-Unis, puis Europe occidentale) une nouvelle vague d'innovations techniques : électronique, informatique, télécommunications.
4) Ce qui montre la mondialisation de ce conflit c'est le fait que des pays du monde entier soient en guerre, qu'il y ait ded attaques et des bombardements aux quatres coins du monde.
Selon François Bourguigon, la mondialisation a joué un rôle considérable dans l'évolution des inégalités : elle a contribué à hisser plusieurs centaines de millions de personnes au-dessus du seuil de pauvreté, même si elle a contribué directement (concurrence avec les pays à bas salaires, prime donnée aux détenteurs de ...
B.
D'autres villes sont aussi à l'écart de la mondialisation car elles restent isolées des flux d'échanges et des réseaux de communication.
La mondialisation est une transformation structurelle profonde résultant de la combinaison des logiques privées du marché et des firmes avec les politiques publiques d'ouverture aux échanges commerciaux et financiers.
Pour un état des techniques donné, l'augmentation de la production s'accompagne d'un accroissement des émissions de polluants et des prélèvements sur le milieu naturel, ce qui est défavorable à l'environnement.
La mondialisation
Le développement des échanges s'est accompagné d'une libéralisation des marchés (c'est-à-dire un abaissement des barrières à l'échange, comme les barrières douanières) ainsi que d'une accélération des échanges de tous types. La nature même des produits échangés a évolué.
Synonyme : globalisation, planétarisation, universalisation.
La mondialisation influence l'éducation et pousse les acteurs du milieu éducatif et les gouvernements à projeter l'éducation au-delà des frontières. Outre la libéralisation accrue des marchés et des biens, les technologies favorisent la «nouvelle éducation».
La mondialisation est un processus continu d'intensification et de fluidification des échanges, porté par l'essor des transports et des mobilités (populations, entreprises, etc.) et accéléré depuis les années 1970 par les systèmes contemporains de communication et de circulation de l'information.