Susurrer vient du latin susurrare (un S, deux R, là aussi, on a donc conservé cette orthographe), qui veut dire bourdonner, en parlant des abeilles. C'est pas joli ? On entend presque leurs petites ailes "susurrer".
Pourquoi les francophones ne prononcent-ils pas le «s» au pluriel ? - Quora. Il est prononcé, parfois. Les lettres muettes existent fréquemment pour signaler qu'elles deviennent sonores en cas de liaison. La principale fonction du S est de marquer le pluriel à l'écrit, pas de décrire le son.
En n'écrivant qu'un seul s, on obtiendrait le son [z]. Si la lettre s est en début de mot ou entre deux consonnes ou entre une voyelle et une consonne, on entend le son [s]. Pour obtenir le son [s] entre deux voyelles, il faut doubler le s. Quand la lettre s est entre deux voyelles, on entend le son [z].
Règle. La lettre c se prononce comme un s devant les voyelles e, i, y, mais comme un k devant les voyelles a, o, u. Cas dans lesquels la lettre c se prononce comme un s. Cas dans lesquels la lettre c se prononce comme un k.
Disjonction. Certains mots débutant par une voyelle ne peuvent être précédés d'un autre mot élidé. On dit dans ce cas qu'il y a disjonction. Les disjonctions les plus fréquentes en français sont dues à la présence d'un h « aspiré », qui interdit tout enchaînement entre deux mots (liaison ou élision).
Si les deux voyelles doivent être prononcées d'une seule émission de voix, on dit qu'il y a synérèse ; si au contraire on les sépare, on dit qu'il y a diérèse. Ces divergences s'expliquent par le latin et par l'histoire de la langue.
Il peut arriver que deux voyelles identiques se suivent dans un mot, même si on ne l'entend pas à l'oral. C'est plus fréquent pour certaines voyelles que pour d'autres.
La lettre c se prononce [s] devant les voyelles e, i et y. La lettre c se prononce [s] devant les voyelles a, o et u quand on lui ajoute une cédille : ç. La lettre c se prononcent [k] devant les voyelles a, o et u.
La lettre t peut se prononcer comme la lettre s lorsqu'elle est suivie de la voyelle i. Cette prononciation est courante dans les mots formés avec tia (initial, tertiaire), tie (acrobatie, essentiel), tion (édition, respiration.
Attention, ta réponse doit contenir la syllabe su. Le son [s] s'écrit avec la lettre s comme dans le mot salade, avec les lettres ss comme dans le mot casserole, avec la lettre c comme dans le mot cigale, ou avec la lettre ç comme dans le mot glaçon.
L'impératif présent se termine généralement par un « s » à la 2e personne du singulier, hormis pour les verbes du 1er groupe (se finissant par -er) qui se terminent par un e : Mange (1er groupe) ! Sors (3e groupe) !
Donc, si dans le sens de la phrase, on peut remplacer « c » par « cela », c'est bien « c'est » (et non « s'est ») qu'il faut écrire. Exemple : La campagne sous la neige, c'est un spectacle merveilleux. On peut aussi dire : la campagne sous la neige, cela est un spectacle merveilleux.
On vient du latin homo : om (842) > hom, hum (1050) > on (XIIIe s.). C'est donc au départ un masculin singulier, désignant l'être humain, les humains en général, les gens.
Sauf que les mots soudés ont la particularité de conserver le son [s] de leur racine (ici « sol ») sans avoir besoin de doubler la consonne. C'est la même chose pour « parasol ».
On emploie toujours la lettre s, prononcée [s], à l'initiale des mots devant les voyelles a, o et u, sauf dans les mots ça et çà; on l'emploie aussi à l'initiale devant les voyelles e, i et y, où elle est surtout en concurrence avec c.
On écrit c'en est trop.
L'Académie répond : Le -tie d'épizootie se prononce parfois si, mais plutôt ti, comme c'est en principe le cas régulièrement pour les mots qui ne viennent pas du latin, régularité qui connaît bien des exceptions (par exemple hématie prononcé si).
En français, la règle générale est que s se prononce [z] quand elle est située entre deux voyelles, et [s] dans tous les autres cas (début de mot, ou située entre une consonne et une voyelle — y est une voyelle en français.
La lettre 'c' se prononce comme un 's' devant les voyelles 'e, i, y' et les doublons 'ae, oe', mais comme un 'k' devant les voyelles 'a, o, u'. Lorsque la lettre 'c' doit se prononcer comme 's' devant ces voyelles 'a, o, u', il est nécessaire de placer une cédille sous la lettre 'c'.
L'alphabet français compte six voyelles graphiques, à savoir : A, E, I, O, U et Y. Le système vocalique du français standard compte seize voyelles phonétiques, ou vocoïdes, à savoir : a, ɑ, e, ɛ, i, o, ɔ, u, y, ə, œ, ø, ɑ̃, ɔ̃, ɛ̃, œ̃.
Prononciation en deux syllabes d'une séquence qui comporte deux sons formant habituellement une seule syllabe (par exemple « nuage » [nɥaʒ] prononcé [nyaʒ]). [En versification française, la diérèse est de règle lorsque le i est précédé de deux consonnes, dont la seconde est r ou l.
Le mot-valise est source de beaucoup de néologismes.
A, E, I, O, U, (Y) - où 'Y' n'est pas toujours une voyelle, donc nous ne la compterons pas. Sauf "Y" (que nous ne considérons pas comme une voyelle), toutes les voyelles sont contenues dans le mot "oiseau". D'autres mots similaires ne me viennent pas à l'esprit en ce moment.