On préconise souvent d'éviter les écrans le soir, surtout s'ils sont regardés de près, parce que l'intensité lumineuse peut à la fois maintenir éveillé (et empêche ainsi de ressentir les signes de somnolence qui indique qu'il faut se coucher).
NE REGARDEZ PAS L'HEURE LA NUIT
Résultat : cela induit très subtilement un stress, une anxiété du temps qui passe, et ce stress favorise l'insomnie. Résistez à tout prix au désir de regarder l'heure la nuit. Réglez votre réveil pour qu'il sonne à l'heure voulue et régulière de votre levée le matin, en cachant l'écran.
Un usage des écrans en pleine nuit, même bref, est associé à une augmentation de risque de tous les troubles du sommeil. Dès 30 minutes d'utilisations des écrans en cours de nuit, les risques de privation de sommeil, d'insomnie, de restriction de sommeil, de sommeil non reposant sont multipliés par deux.
Une utilisation prolongée des écrans peut causer une sécheresse oculaire (du fait qu'on cligne cinq fois moins des yeux quand on regarde un écran), une fatigue visuelle, une vision trouble, des maux de tête, des yeux qui chauffent ou qui picotent de même qu'une perte d'attention ou de concentration.
Combien de temps dois-je prévoir entre l'arrêt des écrans et l'heure du coucher ? Éteignez tout écran au moins 2 heures avant le coucher. Les enfants et les adolescents sont particulièrement sensibles à la lumière des tablettes, téléphones et ordinateurs. Celle-ci retarde l'endormissement.
la lumière bleue émise par les écrans contribue à bloquer la production de mélatonine et favorise ainsi l'éveil, même à des niveaux faibles d'exposition ; les activités sur écrans maintiennent notre cerveau dans un état d'excitation intellectuelle peu propice à l'endormissement.
Évitez les stimulants le soir
Les boissons contenant de la caféine, comme le café, le thé, le Coca Cola et les boissons énergétiques interfèrent avec le sommeil. Il est recommandé de les éviter au moins 6 h avant d'aller se coucher.
Enfants de moins de 3 ans: aucun écran ou seulement quelques minutes. Enfants entre 3 et 5 ans: 30 minutes par jour au maximum. Enfants entre 6 et 9 ans: 1 heure par jour au maximum. À partir de 10 ans, les enfants peuvent rester plus longtemps devant les écrans.
Si votre seul ordinateur est un ordinateur portable, la limite quotidienne est de 40 minutes (soit 3 fois moins). Si vous utilisez un smartphone uniquement, la limite est de 20 minutes (soit 6 fois moins).
la sensation de vide, de tristesse et de frustration, voire un comportement agressif, lorsqu'il n'est pas possible d'accéder à un écran ; le manque d'intérêt pour d'autres activités que celles passées sur écran ; le repli sur soi, l'absence d'intérêt pour son entourage et pour les relations sociales en général.
Les effets néfastes sur l'endormissement
Cela pourrait dégrader la qualité de sommeil et retarder l'endormissent : « Si nous utilisons les écrans juste avant de nous coucher, nous retardons la production de mélatonine, une hormone liée au sommeil » détaille la psychologue Claudia Gomez au média espagnol.
Un impact sur le sommeil et l'endormissement
La lumière de l'écran empêche par ailleurs la fabrication de mélatonine, l'hormone qui favorise l'endormissement et contribue au sommeil de qualité. Le manque de sommeil régulier peut avoir des répercussions sur les apprentissages de l'enfant et son état général.
De nombreuses études scientifiques ont déjà démontré que l'exposition à la lumière bleue et blanche émise par les écrans des smartphones, tablettes, ordinateurs et autres appareils électroniques empêche notre cerveau de libérer la mélatonine, l'hormone qui agit contre les troubles du sommeil.
Un réveil nocturne entre 1h et 3h du matin :
Un réveil nocturne durant ce créneau peut signifier que le corps a besoin de se purifier. Il peut également traduire une déshydratation de l'organisme (entraîné par exemple par une consommation excessive d'alcool ou de café).
L'agitation nocturne peut avoir une origine psychologique et être liée à une anxiété, des angoisses ou un traumatisme (accident, agression...), ce qui va favoriser le déclenchement de rêves agités ou de cauchemars. La personne qui cauchemarde peut alors se réveiller en pleine nuit et avoir du mal à se rendormir.
Règle générale, la durée maximale recommandée est de deux heures par jour pour les activités de loisir. Cependant, cette notion de temps dépend du type de contenu (médias sociaux, jeux vidéo, clavardage, émissions, etc.), du contexte d'utilisation (moment de la journée, simultanéité des activités, etc.)
L'initiative européenne pour plus de sécurité sur la toile préconise les durées suivantes : De 0 à 3 ans : maximum 5 minutes. De 4 à 6 ans : maximum 20 minutes (mais pas tous les jours) De 7 à 10 ans : maximum 30 à 45 minutes chaque jour.
Migraine, perte de mémoire, fatigue, dépression, voire cancer et apparition précoce de la maladie d'Alzheimer... Voilà quelques-uns des symptômes et des effets secondaires que certains scientifiques attribuent à une utilisation intensive du "portable".
Le temps conseillé devant un écran pour les adolescents par les experts est de 120 minutes par jour. Cette limite permet de réduire l'impact des outils numériques sur leur santé, et de leur faire garder un rythme naturel, en accord avec leur développement physiologique et cognitif.
Regarder un écran dès le matin augmente le risque de développer des troubles du langage. Selon une étude française, les enfants qui sont exposés aux écrans le matin ont trois fois plus de risques que les autres de développer des troubles du langage.
un enfant de 8 à 12 ans passe 4 à 6 heures par jour à regarder un écran. un adolescent (12, 13, 14, 15 ans) passe 9 heures par jour devant un écran, souvent sur son téléphone. Que ce soit en confinement ou au collège.
ne pas s'exposer aux écrans le soir au lit : la mélatonine se sécrète dans l'obscurité. laisser de côté smartphones, tablettes, ordinateurs... 1h30 avant l'heure du coucher. attendre le lendemain matin pour lire, sms, mails et actualités.
Les jeux de société en famille sont un bon moyen de préparer le coucher, de même que les jeux de réflexion (échecs, puzzle et rubik's cube) qui permettent de focaliser l'attention, mais sans frustration ou autre. Si votre adolescent n'aime pas lire, une bonne solution peut être de lui faire écouter des livres audio.
Résultat ? Parmi les buveurs de sodas lights, 64% ont perdu au moins 5% de leur masse corporelle (jusqu'à 6 kilos) contre seulement 43% chez les buveurs d'eau. Selon les chercheurs, les consommateurs de sodas lights ressentiraient moins la faim ce qui augmenterait la perte de poids.