Selon Marx, “les animaux ne travaillent pas car ils n'ont pas conscience de leur activité.” Il prend notamment l'exemple des abeilles, qui ne seraient que “les vecteurs des lois de la nature” en répétant au fil des générations le même schéma dans la construction de leurs ruches.
Oui, répondent les chercheurs du projet COW, car ces animaux mobilisent leur intelligence et leur sensibilité pour accomplir des tâches qui demandent bien plus que du simple conditionnement.
1) Le travail : une activité humaine
Le travail au sens propre est celui de l'homme. Un animal ne travaille pas ; il constitue seulement un moyen pour l'homme. C'est parce que le travail exige l'application de son esprit à la nature et que l'animal n'en dispose pas que son activité ne peut pas être appelée travail.
La pensée animale
Il ne fait guère de doute que les animaux réfléchissent. Leur comportement est trop sophistiqué pour n'être qu'instinctif. Mais il est extrêmement difficile de déterminer avec précision ce à quoi ils pensent. Notre langage humain n'est pas adapté à l'expression de leurs pensées.
Les fourmis exécutent parfaitement ce qu'on leur demande en équipe et leur attitude conformiste nous rassure sur la qualité de leur travail. Les abeilles, de leur côté, sont les innovatrices, celles qui renversent l'ordre établi et sont avant-gardistes.
#1 Les orangs-outans. Les orangs-outans sont les animaux les plus intelligents du monde ! Tout comme les chimpanzés, l'orang-outan est capable d'utiliser des outils, d'apprendre la langue des signes et d'avoir des structures sociales complexes impliquant des rituels.
L'orque a un CE de 2,57, le dauphin de la Plata de 1,67, le dauphin du Gange de 1,55, le grand dauphin de 4,14, et le sotalia de 4,56. C'est moins que l'être humain (CE de 7,44), mais plus que celui des chimpanzés à 2,49, des chiens à 1,17, des chats à 1,00 et de la souris à 0,50.
Ce qui distingue l'être humain des autres animaux est, classiquement, le fait qu'il possède la raison et le langage. De nombreux éléments remettent cependant en question ce partage bien établi, entre nature et raison.
Or, les animaux ne nous communiquent pas de pensées. Ils émettent un certain nombre de sons, par exemple en criant en cas de douleur. Cependant, rien ne nous prouve que ces sons ne sont pas produits de manière automatique. Aucun élément ne nous permet donc d'établir qu'ils sont autre chose que de simples machines.
Quand les chiens rêvent, ils réfléchissent et traitent ce qu'ils ont fait pendant la journée. Cela inclut les aboiements. Ainsi, plutôt que de penser en aboiements, c'est plutôt qu'ils sont sûrement capables de penser aux aboiements qu'ils ont émis.
« L'homme est le seul animal qui doit travailler » : les animaux ne travaillent pas, ils assouvissent leurs besoins directement, sans transformer le donné naturel.
Marx s'attarde sur le moment objectif de l'aliénation, qui a lieu lorsque l'homme ne peut se reconnaître ni dans le produit de son travail (qui lui est devenu étranger), ni dans sa propre activité productive (il n'est qu'une ressource humaine aux yeux de l'entreprise) ; il ne peut pas non plus se reconnaître dans les ...
1. Activité de l'homme appliquée à la production, à la création, à l'entretien de quelque chose : Travail manuel, intellectuel. 2. Activité professionnelle régulière et rémunérée : Vivre de son travail.
De nombreux animaux sont contraints d'effectuer un travail physique. Ils peuvent être utilisés en tant que moyen de transport, pour tracter des charrues, pour transporter des biens et pour faire fonctionner des moulins. D'autres peuvent être utilisés comme chiens policiers ou chiens guides d'aveugles.
Le jaguar. Le jaguar mène une vie solitaire jusqu'à la saison des amours, où il peut s'accoupler jusqu'à 100 fois par jour ! L'animal préfère chasser seul. Il aime grimper aux arbres et attaquer ses proies par le haut.
En philosophie, on considère que le travail est ce qui transforme la nature pour satisfaire les besoins de l'être humain. La notion de travail est aujourd'hui intrinsèquement liée à l'idée de production et de rémunération. Le travail, c'est produire un effort et percevoir une rémunération en échange.
Ils ont conscience que quelque chose ne tourne pas rond. » Les scientifiques ont découvert un nombre croissant d'espèces, des girafes aux chimpanzés, dont le comportement indique qu'elles sont frappées par la tristesse. Les éléphants, par exemple, font des allers-retours auprès du corps d'un congénère décédé.
Le refus d'attribuer la conscience à l'animal parce qu'il est d'abord un être instinctif se justifie donc. L'instinct est donc comme une connaissance innée, alors que nous, les humains, nous agissons surtout à partir de connaissances acquises.
Il ne variera pas par la suite : chaque animal est doté d'une âme qui participe de l'âme de l'univers du vivant, celle-ci se différenciant per accidens, c'est-à-dire que le spiritus universorum se diffracte dans les êtres différenciés en fonction des activités qui leur reviennent – « Car il n'y a qu'une seule âme, et ...
Les preuves d'une intelligence animale s'accumulent : la mémoire, l'aptitude à résoudre des problèmes, mais aussi la créativité, la sensibilité, et même la culture censée être la dernière barrière infranchissable entre l'être humain et l'animal.
Des chimpanzés ont été capables d'apprendre des dizaines de mots en langage des signes, des perroquets peuvent utiliser des mots "humains" pour faire des demandes précises selon leurs besoin (pas seulement les répéter), des corbeaux et des dauphins ont démontré des capacités arithmétiques…
Parmi tous les animaux qui sont capables de le faire, outre l'être humain, se trouvent les dauphins, les chimpanzés, les bonobos, les chiens et une espèce d'oiseau appelée la pie bavarde.
Contrairement à ce que l'on peut croire, le cochon est un animal le plus propre. À partir de son cinquième jour d'existence, un porcelet ne fait pas ses besoins là où il se couche. Il vérifie toujours la propreté d'un endroit avant de s'y installer et ne s'y allonge pas si celui-ci est souillé.
Singes, cochons, éléphants, corbeaux, perroquets, dauphins ou rats sont réellement malins.
Le Cavalier King Charles Spaniel
Ce petit chien doux et affectueux est une vraie boule d'amour et est considéré comme l'animal le plus gentil du monde ! Élégant et distingué, le Cavalier King Charles Spaniel était et reste très apprécié par la cour des rois d'Angleterre.