Le processus de socialisation professionnelle est donc une transmission de valeurs, de normes et de savoirs propres à une catégorie professionnelle qui suppose aussi une projection de soi dans l'avenir professionnel visé. La socialisation (études, stages, obtention de permis, etc.)
La socialisation professionnelle correspond à l'apprentissage et à l'intériorisation de valeurs et de normes propres à un métier, aux contacts de partenaires au sein de la sphère professionnelle.
Pour certains, elle permet de maîtriser un rôle en milieu de travail (Van Maanen & Schein, 1979). Pour d'autres la socialisation professionnelle permet une compréhension de la culture d'une organisation (Louis, 1980).
La socialisation est un processus dynamique et interactif, fruit des instances de socialisation comme la famille, l'école, et le travail. Elle peut conduire à la reproduction sociale, mais l'individu n'est pas enfermé dans une logique déterministe et dispose d'une certaine capacité à déterminer lui-même ses rôles.
La socialisation est le processus par lequel les individus apprennent les normes et les valeurs nécessaires à leur bonne intégration dans la société. C'est un processus car cela se fait en différentes étapes, de la socialisation primaire (enfance) à la socialisation secondaire à l'âge adulte.
La socialisation peut se définir comme le processus par lequel les individus intériorisent les normes et les valeurs de la société dans laquelle ils évoluent.
La socialisation est un processus d'apprentissage et d'intériorisation des normes et des valeurs. Les membres d'une société apprennent les règles de leurs milieux sociaux et culturels. Ils intègrent progressivement les normes et les valeurs dominantes de la société et les adaptent à leur personnalité.
La socialisation est assurée par différentes instances parmi lesquelles on retrouve notamment la famille, l'école ou les groupes de pairs. Ces agents sont présents aussi bien lors de la socialisation primaire comme lors de la socialisation secondaire.
On observe que toute situation d'interaction nécessite en per- manence une renégociation des règles communes. La vie sociale est faite d'imprévus qui né- cessitent de l'individu une capacité d'adaptation. La socialisation est un processus qui ne s'ar- rête qu'à la mort : la personnalité évolue tout au long de la vie.
Le travail donne à l'homme du bonheur, parce qu'il lui donne la possibilité de créer des liens entre la nature et lui, entre la société et lui. Le travail permet d'affirmer sa différence avec la société, d'affirmer son identité et ainsi de s'intégrer à l'ensemble des hommes.
Environnement physique et social dans lequel un travailleur exerce une activité professionnelle.
Travaillant dans divers contextes, les travailleuses et travailleurs sociaux aident les gens à atteindre le bien-être physique, mental et spirituel. Ils abordent également des questions sociales générales telles que l'oppression, la discrimination, la violence domestique, le chômage et la pauvreté.
La socialisation permet l'intégration sociale des individus qui se sentent alors appartenir à la société. Elle permet d'autre part une cohésion sociale, c'est-à-dire la mise en place de solidarités entre les individus. La socialisation permet donc à la fois de se sentir membre d'une société et de « faire société ».
Comment le travail facilite la socialisation d'un individu ? Le travail facilite la socialisation d'un individu parce qu'il donne une identité sociale à l'individu. Elle lui offre un sentiment de reconnaissance sociale et lui permet d'améliorer sa situation économique.
Pierre Bourdieu parle de la socialisation comme de l'aspect inconscient de l'éducation : l'habitus, qui est « une histoire incorporée faite de nature ». Différents acteurs participent à la socialisation de l'enfant : les parents, la famille, les professionnels de l'enfance, l'école, les autres enfants.
La socialisation a deux fonctions principales : faire assimiler des modèles culturels à l'individu. adapter l'individu à son environnement social : il apprend à se comporter de la façon attendue en famille, au travail, à l'école.
Synonymes : intégration, assimilation, acculturation. Les sociologues distinguent habituellement la socialisation primaire et la socialisation secondaire.
La socialisation désigne "l'ensemble des processus par lesquels l'individu est construit – on dira aussi « formé », « modelé », « façonné », « fabriqué », « conditionné » – par la société globale et locale dans laquelle il vit, processus au cours desquels l'individu acquiert – « apprend », « intériorise », « incorpore ...
La famille est une instance essentielle de la socialisation primaire. La socialisation dure toute la vie d'un individu. Les aînés réussissent, en moyenne, mieux à l'école que le reste de la fratrie. Le billet à faire tamponner à la vie scolaire en cas de retard correspond à une socialisation par pratique directe.
Dès l'enfance, les individus intériorisent les normes et les valeurs qui ont cours dans la société par différents mécanismes : l'imitation, l'inculcation et l'interaction sont les principales modalités de la socialisation.
Des instances de socialisation comme la famille ou l'école nous font intérioriser des normes et des valeurs. Cette socialisation se poursuit tout au long de la vie. À l'âge adulte, un événement comme l'entrée dans la vie active conduit à une nouvelle socialisation.
Le travail permet ainsi d'occuper une place, de se définir objectivement au sein de la société et d'être reconnu en tant que tel : il est pourvoyeur de reconnaissance. Néanmoins, le chômage de masse qui se développe depuis la fin des années 1970 vient menacer cette protection et cette reconnaissance.
Le travailleur social fait preuve d'honnêteté, de fiabilité, d'impartialité et de diligence dans l'exercice de sa profession et encourage la pratique de ces qualités.