Les interprétations sont nombreuses et varient en fonction des cultures et des pays. Portées sur les doigts de la main gauche, les bagues symboliseraient l'amour et l'altruisme. Sur la main droite, ces bijoux seraient plus à même de révéler certaines facettes de notre personnalité.
Porter une bague au majeur
Il fait référence à l'humanité, la responsabilité et les lois de l'univers. Le majeur étant le doigt le plus long de la main, et, de fait, le plus remarquable, il met en évidence la bague en plus du symbole. La bague au majeur, c'est l'audace, la confiance en soi.
En phase de rencontre ou de séduction, si une femme retire sa bague puis la remet, tout en faisant coulisser l'anneau sur son doigt, cela signifie souvent que l'homme en face d'elle lui plaît.
Pouce, index et majeur se projettent vers l'extérieur alors que l'annulaire et l'auriculaire intériorisent les émotions. La longueur de vos doigts témoigne de votre réactivité face aux événements (actions et sentiments confondus). Les doigts sont rarement droits.
De l'Antiquité à nos jours, les hommes ont toujours porté des bagues pour afficher leur richesse, leur statut social ou marital.
En Occident, il est courant de porter l'alliance au doigt gauche, mais dans d'autres pays comme en Russie elle se porte à droite. L'annulaire de la main gauche signifie l'amour dans le mariage, celui de la main droite symbolise l'engagement.
Certains affirment que la bague au pouce, pour un homme, signifie son appartenance à la communauté gay. Il faudrait certainement davantage y voir un phénomène de mode et un goût pour les bijoux décalés. Le pouce est d'ailleurs souvent associé à la créativité, la liberté d'esprit et l'indépendance.
C'est avec le mouvement féministe du 19e siècle qu'est apparue la mode de la bague au pouce pour se démarquer des autres femmes et adopter un code plus masculin. Chez une femme, la bague au pouce est donc synonyme de liberté, d'autonomie, d'indépendance d'esprit et de courage.
Sur quel doigt porter l'alliance ? L'alliance, dépendamment des pays et des cultures, se porte à l'annulaire, c'est-à-dire le quatrième doigt de la main. En France, cette bague se place sur l'annulaire gauche.
Il n'est pas rare de voir rois, reines et autres gouvernants porter des bagues ornées de pierres imposantes à l'index. C'est un moyen de s'affirmer et de montrer sa puissance et son caractère autoritaire.
Vous l'aurez compris, le port d'une bague sur l'annulaire gauche pour une femme a signification forte notamment pour les femmes en couple ou mariée. Ainsi, une femme ne présentant pas de bague sur l'annulaire de la main gauche peuvent être « considérée » comme une femme célibataire.
Une femme amoureuse regarde souvent la bouche de l'homme qui l'a séduite au cours d'une discussion, sans le faire exprès. En séduction en effet, les lèvres ont un caractère intime et presque impudique et ce comportement n'est rien d'autre que la traduction même du désir. Une femme séduite devient tactile.
L'activité professionnelle est la première raison évoquée par les hommes qui ne mettent pas leur alliance, devant la volonté de ne pas afficher le statut marital. Les femmes affirment, quant à elles, ne pas porter l'anneau symbolique par peur de l'abîmer et de le perdre.
Pour mettre plusieurs bagues, il suffit de jouer sur les longueurs, les tailles et les couleurs. Et puis aussi sur les modèles : avec les bagues de phalanges, vous habillez vraiment tous les doigts. Pour accumuler les bagues, vous devez alterner et mélanger les grosses bagues et les plus fines comme des anneaux lisses.
Dans la majorité des cas, lorsqu'un homme offre une bague à une femme, cela signifie qu'il souhaite faire d'elle sa promise. Qu'elle soit neuve ou plutôt ancienne, la bague de fiançailles consiste en une preuve d'engagement en amour.
L'alliance se portera sur l'annulaire de la main gauche comme pour une alliance de mariage. Le pacs est l'occasion de montrer le sérieux de votre relation sans pour autant devoir organiser un mariage avec une grande cérémonie.
Le majeur, aussi appelé médius, est le troisième et le plus grand doigt de la main chez l'Homme et les grands singes, situé entre l'index et l'annulaire.
On nous dit que pouce est l'aboutissement de polz, pouz et peuce, issu du latin pollicem, qui vient lui-même de pollex, pollicis, qui signifie «pouce, gros orteil», mais aussi «nœud d'un arbre». Le mot désigne le premier et le plus fort des doigts humains.
À l'origine, la noblesse mettait la chevalière à l'auriculaire car cela permettait de sceller les documents officiels plus facilement. Aujourd'hui, comme pour le pouce, porter une bague au petit doigt est le signe d'une personnalité forte, qui souhaite se démarquer.
En temps normal, porter une bague au pouce n'est pas dangereux. Comme pour tous les autres doigts, si vous choisissez un modèle à votre taille vous ne courrez aucun risque d'abîmer votre main. Pour connaître votre taille, consultez un joaillier à Paris ou découvrez comment connaître sa taille de doigt.
La bague au pouce est une manière pour celui qui la met d'affirmer son indépendance, son individualité et sa liberté. Enfilée au pouce droit, elle peut traduire une insatisfaction sexuelle. Au pouce gauche, c'est le signe d'un besoin d'affection. Elle peut aussi être signe de motivation ou de désir sexuel.
Traditionnellement, c'est à l'auriculaire gauche que les femmes portent ce bijou, tandis que les hommes l'adoptent à l'annulaire ou à l'auriculaire droit. Pour tous les autres doigts, il n'est pas forcément de type de bagues associé.
Dans les années 1990, en fait, c'est devenu une tendance pour les lesbiennes et les femmes bisexuelles qui le portaient comme signe de leur sexualité.
On pense qu'une veine relie l'an- nulaire gauche au cœur, siège des sentiments et de la passion amoureuse : la vena amoris, veine de l'amour. Porter un an- neau à l'annulaire gauche signi- fie donc que son cœur est offi- ciellement déjà pris, que l'on est marié, mais peut aussi servir à protéger cette précieuse veine.
En Occident, hommes et femmes portent leur alliance de mariage à l'annulaire gauche. Pourquoi ce doigt ? Selon une tradition remontant à l'Antiquité, un anneau devait être passé au « doigt du cœur », c'est-à-dire l'annulaire gauche, de chaque membre du couple.