La légende veut que Roland ait tenté de casser sur un rocher son épée Durandal pour qu'elle ne tombe pas aux mains des Sarrasins, mais c'est le rocher qui se brisa, ouvrant la brèche de Roland.
Durandal est le nom que le chevalier Roland de Roncevaux donna à sa fameuse épée. Acculé par les Sarrasins, le vaillant Roland tâcha de briser sa fidèle épée pour la soustraire à la convoitise de l'ennemi.
Le vendredi 14 janvier l'épée de Roland « Durandal » a été déposée du rocher pour rejoindre d'autres épées légendaires au Musée de Cluny à Paris.
Le personnage de Roland est associé à son épée Durandal, à son cheval Veillantif et à son cor, un olifant.
Épée de Charlemagne, dite Joyeuse. Joyeuse est, d'une part, l'épée légendaire de Charlemagne dans la Chanson de Roland, et d'autre part, une épée utilisée lors du sacre des rois de France à partir du XII e ou du XIII e siècle, dite « épée de Charlemagne ».
3. La vengeance de Charlemagne sur les Sarrasins : Roland avait sonné du cor pour alerter Charlemagne, mais trop tard et quand le reste des armées arrive pour secourir l'arrière-garde, le comte est déjà mort. Charlemagne venge alors son neveu en battant les Sarrasins avec l'aide de Dieu.
Une attaque massive par les Vascons, une milice Basque, aboutit à la destruction de l'arrière-garde franque et à la mort de Roland malgré une défense héroïque.
Roland est orgueilleux et confiant, il ne veut pas apparaître comme un peureux. Mais malgré leur courage et les actions héroïques qu'ils accomplissent, les Francs sont débordés par les Sarrasins.
La griffe Roland-Garros exprime les valeurs fondamentales du tournoi : élégance, authenticité, performance et émotion.
Dans Roland à Saragosse, Olivier est décrit comme l'ami de Roland, ainsi comme le chaperon désigné par Charlemagne pour tempérer l'impétuosité juvénile de son neveu Roland.
Durandal ou Durendal est le nom de l'épée mythique qui aurait appartenu au chevalier Roland, un personnage de la littérature médiévale et de la Renaissance.
Arthur retirant l'épée Excalibur du rocher.
L'épée magique
Caliburn, Caledfwlch, Escalibor ou Excalibur, l'épée du roi Arthur reste l'emblème le plus pur de l'aventure arthurienne. Le plus fulgurant aussi, puisque dans la main du roi, « l'épée brille plus fort que trente torches ».
Excalibur est le nom de l'épée magique du roi Arthur. On la confond souvent avec l'épée du rocher, qui était figée dans le granit et que personne ne pouvait extraire de la roche à part Arthur, ce qui attesta qu'il était bien le roi légitime de Bretagne.
D'après la légende, Durandal a été forgée par Völund, célèbre forgeron nordique au tempérament imprévisible qui passait pour incorporer des éléments magiques à ses créations.
Durandal, des Pyrénées au Lot !
Voyant qu'elle ne se brise pas, il l'envoie de toutes ses forces dans la vallée : la légende raconte qu'elle se plante dans la falaise de Rocamadour, dans le Lot… soit à près de 300 km de Roncevaux !
Un héros idéal
Roland est un héros épique connu pour ses exploits guerriers. C'est aussi un grand chef, capable de soutenir ses hommes pendant la bataille. C'est un chevalier fidèle et courageux, qui honore son pays et son roi. C'est un chrétien convaincu qui n'hésite pas à mourir pour Dieu.
Égérie des Girondins puis, plus tard, des Romantiques ; elle fut une des figures de la Révolution française et joua un rôle majeur au sein du parti girondin. Elle poussa son mari, Jean-Marie Roland de La Platière, au premier plan de la vie politique de 1791 à 1793.
Le héros défend une loi, un ordre, une famille, une terre et une nation qui représentent ses origines. Il acquiert de ce fait un fort aspect identitaire. L' attitude de Roland est symbolique non seulement de la mort héroïque mais aussi des valeurs sur lesquelles cet héroïsme repose.
Au cours du combat, Roland refuse d'abord de sonner du cor pour rappeler Charlemagne, comme le lui demande son compagnon Olivier. Mais, trop peu nombreux, les combattants chrétiens sont peu à peu massacrés. Roland sonne enfin du cor, puis meurt en restant maître du champ de bataille.
La Chanson de Roland relate un événement historique qui s'est déroulé trois siècles plus tôt : le retour de l'armée de Charlemagne en 778, après avoir rasé la ville chrétienne de Pampelune, et l'embuscade basque qui massacre l'arrière-garde de Charlemagne.
Le chevalier fut tué lors de cette embuscade. Une mort provoquée en partie, par Ganelon qui pactise avec Marsile, le roi musulman de Saragosse, comme l'indique le poème, La chanson de Roland. Le chevalier était jalousé par Ganelon, le beau-frère de Charlemagne.
Dessous un pin il va courant Et sur l'herbe verte s'allonge, Plaçant sous lui épée et olifan, Et regardant vers la grande Espagne; Ainsi fait-il parce qu'il veut que Charlemagne Et tous ses soldats de son armée Disent que le noble comte est mort en conquérant.
L'épée Hauteclaire est une épée légendaire qui aurait appartenu à Olivier, l'un des héros de la Chanson de Roland. Cette épée est décrite comme étant en acier bruni avec un cristal incrusté dans une poignée d'or ; mais elle aurait disparu au Moyen Âge. Girart de Viennes conte l'histoire de l'épée.
Elle apparaît vers la fin du XIe siècle avec la Chanson de Roland. La chanson de geste est un récit chanté : un jongleur s'accompagnant à la vielle raconte les exploits guerriers. Le mot geste signifie ce qui a été fait, donc les actions, les exploits. Une chanson est composée de laisses numérotées en chiffres romains.