Comme la chair de la vache, celle du porc est proscrite dans l'hindouisme. Contrairement à la vache sacrée, le porc représente l'impureté et la saleté, parce qu'il se nourrit entre autres des déchets des humains.
La consommation de bovin ou de porc, de rapaces, etc., est limitée par les interdits de l'hindouisme et de l'islam. En revanche, au moins 60% des indiens apprécient quelque sorte de viande que ce soit.
Vous ne vous êtes jamais demandé pourquoi la plupart des hindous ne mangent pas de boeuf ? C'est parce que les vaches sont vénérées en Inde, elles sont choyées et peuvent errer librement. Dans certains endroits, est considéré comme chanceux, celui qui donne a manger à une vache.
Dans le sud du pays en revanche, les hindous se satisfont d'une viande halal, garantie pour eux d'une saignée totale pratiquée sur un animal encore vivant.
Il devient impur et tabou chez les Hébreux, les Phéniciens, les Cananéens, les Crétois, les Éthiopiens et les Indiens. En revanche les Romains, les Germains, les Gaulois, les Grecs en apprécient la chair. Dans l'Ancien Testament, le porc est impur, car il se nourrit d'immondices, voire mange ses propres excréments.
Al-Baqara 173 : « Certes, Il vous est interdit la chair d'une bête morte, le sang, la viande de porc et ce sur quoi on a invoqué un autre qu'Allah. Il n'y a pas de péché sur celui qui est contraint sans toutefois abuser ni transgresser, car Allah est Pardonneur et Miséricordieux. »
Il n'en va pas de même dans le judaïsme, où l'interdiction est catégorique. « Vous ne mangerez pas le porc (…). Vous le regarderez comme impur. Vous ne mangerez pas de leur chair, et vous ne toucherez pas leurs corps morts », énonce le Lévitique (11, 7-8).
“Ce n'est pas comme si les gens buvaient plus”, explique Smriti Sekhsaria, responsable marketing de Moët Hennessy India, citée par The Hindu. “Les jeunes consommateurs sont aujourd'hui plus prudents quant au choix de l'alcool et plus respectueux des limites. Mais plus de gens boivent.”
Le plat préféré des indiens : le curry
Le curry est un plat polyvalent qui peut être préparé avec une variété d'ingrédients, notamment de la viande, du poisson, des légumes et des lentilles. Chaque région de l'Inde a sa propre version du curry, ce qui signifie qu'il existe une grande variété de saveurs et de styles.
L'hindouisme est sans conteste la religion majoritaire en Inde, regroupant 1 milliard de personnes soit 80% de la population indienne. Religion très ancienne, elle semble très étrange au visiteur occidental, puisque qu'elle ne possède ni fondateur, ni dogme, ni institutions stables.
Si la consommation de bœuf (animal sacré en Inde) et de porc est interdite dans les communautés hindoues, jaïnes et musulmanes, on trouve tout de même certaines viandes dans la cuisine indienne. La cuisine non végétarienne se compose généralement de viande de poulet, de mouton, d'agneau et parfois de chèvre.
Le saviez-vous ? Saviez-vous qu'en Inde, bien plus que la vache, c'est le lait qui est sacré ? La vache est véné- rée car elle produit le lait et les produits lai- tiers, qui nourrissent largement les hommes du Nord au Sud de l'Inde.
Végétarisme hindou : il interdit la chair animale résultat d'une mise à mort volontaire (viande, poisson), ainsi que les oeufs vu comme le vol de progéniture à sa mère. Végétarisme sikh : exclut la viande, l'oeuf. Mais autorise la consommation de lait, beurre et fromage.
La vache sacrée en Inde
Les vaches font partie de ces animaux intouchables dans ce pays. Symbole de la fertilité et de l'abondance de nourriture, les Indiens considèrent chacune d'elles comme la mère des humains et du dieu hindou. La vache sacrée est également perçue comme un porte-bonheur pour les récoltes.
Samossas est le plat le plus représentatif de la cuisine indienne. Depuis son introduction en Inde au 13ème ou 14ème siècle, il est devenu un mets très apprécié dans le monde entier. samossas est un beignet en Asie centrale et au Moyen-Orient, également du sud de l'Europe.
La très grande majorité des hindous et des jaïns ne sont pas végétaliens, mais fidèles à la consommation de lait de vache, la mère de tous les humains selon la tradition védique ; Le végétalisme est vu par les hindous comme une sorte de jeûne, non comme une alimentation normale pour un être humain) .
Une désignation née d'accidents de l'histoire: un explorateur italien a donné son nom à un double continent, et un autre Italien, Christophe Colomb, a baptisé les autochtones « Indiens », sûrement parce qu'il croyait se trouver dans les Indes orientales.
Si vous rencontrez une personne pour la première fois, sauf si elle vous tend la main, évitez de vous lancer dans une vigoureuse poignée de main. Contentez-vous de joindre les deux mains sous le menton et de prononcer « Namaste (bonjour) » en vous inclinant légèrement.
Le curry, l'épice majeur de l'Inde
Cette viande est mise en valeur avec des oignons, de l'ail, de la pomme en petits morceaux, des raisons secs, du lait de coco et de la noix de coco ainsi que du piment, du curry et de la crème liquide. Avec une douce saveur sucrée salée, ce plat est une véritable invitation au voyage.
Sécurité Alimentaire : Les maladies gastro-intestinales ne sont pas rares chez les touristes peu habitués aux traditions culinaires locales et peu précautionneux. Ne pas boire d'eau du robinet et préférer les eaux minérales en bouteilles, sans glaçon ("Himalayan", "Pondichéry").
Le pays qui arrive premier dans ce classement n'est autre que la Biélorussie avec 17,5 litres d'alcool pur par habitant et par an, soit près d'une bouteille de vodka par semaine.
Le bouddhisme et l'islam la condamnent, parce que l'alcool fait perdre la maîtrise de soi. La tradition sunnite considère que « l'alcool est la mère de tous les vices et c'est le vice le plus honteux » (Sounan Ibn-Majah, Hadith 3371). Le vin, par contre, y demeure la boisson promise du paradis.
En théorie, aucun aliment n'est interdit dans l'absolu au fidèle : les tabous concernant le porc ou d'autres espèces animales que définissait l'Ancien Testament ont été abolis depuis longtemps et la papauté a fini par abandonner aussi la prohibition du sang et des viandes dans lesquelles le sang est resté.
La loi halal exige que l'on prie à Allah avant ou pendant l'abattage de chaque animal, mais la loi kasher ne requiert pas de prière avant chaque abattage. Un shochet, ou un rabbin spécialement formé, doit abattre l'animal, tandis que tout adulte musulman, chrétien ou juif peut l'abattre en vertu de la loi halal.
Les ânes, les carnivores sauvages et domestiques, les oiseaux de proie et charognards, les insectes, à l'exception des sauterelles, les reptiles, sont interdits de la table des adeptes de l'Islam ; il en est de même de la viande de porc et de celle des animaux étouffés…