L'urbanisation croissante (les villes s'étendent de plus en plus) représente la première cause de la diminution des terres cultivables. Aujourd'hui, selon l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), 55% de la population mondiale vit en zone urbaine et ce nombre continue de croitre.
D'ici à 2050, les experts de l'Organisation pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) estiment que la production alimentaire devra augmenter de 60% pour nourrir une population mondiale de plus de 9 milliards d'individus, et ce alors que les effets du changement climatique se font déjà sentir sur notre alimentation.
La planète sera de plus en plus surpeuplée et ses habitants se concentreront dans les villes. Les technologies produiront davantage de richesses, mais il faudra tenir compte des inégalités et de la durabilité. La population mondiale atteindra 9,8 milliards de personnes en 2050 et se concentrera dans les villes[1].
Le nombre de personnes habitant sur la planète devrait croître de 2 milliards d'ici à 2050, passant de 7,7 à 9,7 milliards, puis, la fécondité étant en baisse, avoisiner les 11 milliards à la fin du siècle.
On comptabilise plus d'1, 2 milliards de personnes souffrant d'insécurité alimentaire. 100 000 personnes meurent de faim ou des suites de la faim chaque jour. Les habitants des régions les pauvres du monde souffrent en effet, de façon régulière, de la malnutrition et, parfois même de la famine.
Les produits déjà en pénurie
Un bon nombre d'aliments manquent à l'appel comme l'huile de tournesol qui reste le produit le plus frappé par les ruptures de stock. En cause, la guerre en Ukraine, mais également les achats compulsifs des foyers craignant la pénurie.
Selon un rapport publié par l'ONU lundi, c'est le seuil que la population mondiale devrait atteindre en 2050. Sous l'effet de l'allongement de l'espérance de vie et d'une fécondité toujours importante dans plusieurs régions du monde, on passerait ainsi de 7,7 milliards à 9,7 milliards d'individus en 30 ans.
Le rapport montre également que plus de la moitié de la croissance de la population mondiale d'ici 2050 devrait se produire en Afrique. La population de ce continent pourrait ainsi plus que doubler d'ici 2050, passant de 1,1 milliard aujourd'hui à 2,4 milliards en 2050, pour atteindre 4,2 milliards d'ici 2100.
Mélangeant avec bonheur la recherche, l'enquête de terrain et l'histoire du mouvement vert, ce livre lève le voile sur les enjeux Financiers, statutaires et idéologiques qui se cachent derrière l'écologie politique contemporaine.
En effet, à l'horizon 2050, six des sept plus grandes économies au monde pourraient être des pays émergents contre quatre aujourd'hui. La Chine, l'Inde, la Russie et le Brésil seraient donc rejoints par le Mexique et l'Indonésie.
Ce pourrait être le cas, d'ici 2050, de l'Asie du Sud, du golfe Persique (Iran, Oman, Koweït), des pays bordant la mer Rouge (Égypte, Arabie saoudite, Soudan, Éthiopie, Somalie, Yémen). D'ici 2070, l'est de la Chine et une partie du Brésil pourraient aussi dépasser les 35°C.
Selon Farrimond, cette population abandonnera l'industrie de la viande à forte intensité de carbone et optera pour des mélanges en poudre de viande à haute teneur en protéines et à faible impact : les insectes.
La nourriture star du futur : les insectes ! Dans certains pays comme la Chine, ils sont d'ailleurs déjà beaucoup consommés. Cela fait donc longtemps que les insectes sont prédits comme étant la nourriture de demain. Et pour cause : en plus d'être très nutritifs, les ressources d'insectes sont inépuisables.
Présentation. Dans un monde qui change profondément, le grand défi du xxie siècle est de garantir à tous les hommes de l'eau et de la nourriture en quantité suffisante et de bonne qualité. Les scientifiques, les agriculteurs et les industriels doivent gagner le pari de l'innovation pour répondre à ce défi.
La première grande évolution repose sur le fait que nous ne serons plus 100% humains en 2050. En effet, chaque être humain sera augmenté, car doté de micro-robots circulant dans son corps et d'un assistant personnel greffé à son cerveau (bot cérébral*, appelé Mini-Moi).
À l'aube de l'agriculture, environ 8.000 ans avant Jésus-Christ, la population du monde se situait aux alentours de 5 millions.
Géographie - L'Océanie, le continent le moins vaste et le moins peuplé
«La terre ne produit pas assez pour nourrir ses 7,2 milliards d'habitants. Faux. Nous produisons largement de quoi nourrir tout le monde.»
La FAO, dans un rapport publié fin septembre, estime qu'il faudra augmenter de 70 % la production agricole de la planète pour répondre, en 2050, aux besoins alimentaires de tous ses habitants. Cela sans tenir compte de l'essor des agrocarburants, qui entraînera des besoins encore plus importants.