Il faut écrire : On se demande s'il fera l'affaire. Devant « il », le « i » de « si » est obligatoirement remplacé par une apostrophe : il faut donc écrire « s'il fera l'affaire » et non « si il fera l'affaire ».
Règle 1 : en général, on forme le pluriel des noms et des adjectifs en ajoutant s ; s'ils sont déjà terminés par -s, -x ou -z , ils ne changent pas au pluriel. Exemples : Un classeur, des classeurs. Un livre, des livres. Un tapis, des tapis.
Le trait d'union sert à unir les parties d'un même mot (comme vis-à-vis, peut-être), de manière qu'ils n'en font, pour ainsi dire, plus qu'un, et alors il n'est plus permis de les séparer dans le discours. Le trait d'union sert aussi à marquer la liaison qui existe entre les mots (comme partirez-vous ?
Leur, pronom personnel complément, accompagne toujours un verbe. Il est invariable (leur). Leur / Leurs, déterminant possessif, toujours placé avant un groupe nominal, s'accorde en nombre : Elles appellent leurs poules.
L'élision se fait lorsque ces mots sont suivis d'un mot commençant par une voyelle ou un h muet. Ainsi on a : la + apostrophe → l'apostrophe, le + oiseau → l'oiseau, si + il → s'il, que + elle/il → qu'elle/qu'il, presque + île → presqu'île, le + homme → l'homme, le + hôtel → l'hôtel, le + hôpital → l'hôpital.
Rappel Écrire correctement le t euphonique
Le t euphonique se met entre deux tirets. N'utilisez pas l'apostrophe dans ce cas ! Écrivez : A-t-il parlé de moi ?
Le son [ t ] qu'on entend quand on dit est-elle correspond à la dernière lettre du verbe est , et il ne doit pas être noté par un t supplémentaire. On n'écrit pas est-t-elle .
LEUR/LEURS est un DÉTERMINANT POSSESSIF quand il est suivi d'un nom. Il peut exprimer le singulier ou le pluriel et s'accorde en fonction.
Le pronom possessif marque l'appartenance, la possession. Comme les autres pronoms, il remplace un nom ou un groupe nominal. En règle générale, il est formé d'un article défini (le, la ou les) et du mot mien, tien, sien, nôtre, vôtre ou leur.
-> On utilise tout, quand ce qui suit est au singulier. -> On utilise tous, quand le nom qui suit est au pluriel. tout = adjectif féminin : toute, pluriel : tous, toutes.
Au pluriel, on écrira des casse-tête en orthographe traditionnelle ou des casse-têtes en vertu des rectifications de l'orthographe.
quasi adv. Presque, à peu près. quasi n.m.
Locution adverbiale
(Figuré) Doucement, progressivement. Aller pas à pas. Pas à pas on va bien loin, quand on va toujours, on ne laisse pas d'avancer beaucoup, quoiqu'on aille lentement.
Le plus courant des deux, c'est pourquoi en un seul mot. Pourquoi sert à poser une question sur la cause, sur le motif de quelque chose. On répond à cette question en disant parce que ou car . On l'emploie aussi dans les formules c'est pourquoi , voilà pourquoi , pourquoi pas .
Le s qui fait le son [ s ]
Pour obtenir le son [ s ] au lieu du son [ z ] entre 2 voyelles, on double le s (ss). Deux s qui se suivent entre deux voyelles font le son [ s ]. - poisson, casser, coussin, etc. Un seul s entre deux voyelles fait le son [ z ].
Le possessif est toujours placé devant le nom.
Les adjectifs possessifs féminins ma, ta, sa deviennent mon, ton, son devant un nom commençant par une voyelle ou par un h.
RAPPEL : - un PRONOM se trouve avant un VERBE. - un DETERMINANT se trouve avant un NOM.
plusieurs adj. indéf. Devant un nom au pluriel, indique un nombre non précisé... plusieurs pron.
Tout(e) est un déterminant quantitatif singulier. Tous (toutes) est également un déterminant quantitatif, mais pluriel. Ces déterminants en accompagnent généralement un autre afin de former un déterminant complexe comme tout le, toute sa, tous ces, toutes les, etc.
Le participe passé du verbe « faire » est « fait ». On écrit « j'ai fait ». Exemple : J'ai fait un vœu. On écrit « je fais », à la 1e personne du singulier du présent de l'indicatif.
Dans ce cas, le son (quel) s'écrit qu'elle(s), formé de qu' et du pronom personnel elle ; qu'elle, qu'elles peuvent se remplacer par qu'il ou qu'ils : J'aime ta robe. Qu'elle est belle !
Il faut écrire : La banquette qu'elle s'est fait livrer ne tient pas dans son salon. « Faite », participe passé du verbe « faire », est suivi immédiatement d'un infinitif, « livrer ». Il ne s'accorde donc pas, et on n'écrit pas « qu'elle s'est faite livrer », mais « qu'elle s'est fait livrer ». Phrase correcte.