L'achat compulsif peut être lié à un trouble de l'humeur ou un trouble bipolaire. "Lors de la phase maniaque (phase d'excitation), la personne peut faire des achats pathologiques" explique le Dr Lucia Romo. "L'achat compulsif n'est alors pas diagnostiqué comme tel car il fait partie des troubles bipolaires.
L'acheteur compulsif : pour lui, acheter est une manière de lutter contre des tensions internes, des angoisses incontrôlables. Il éprouve souvent un fort sentiment de frustration en cas d'empêchement (contrainte de prix, familiale).
L'oniomanie ou trouble lié à l'achat compulsif, ou familièrement fièvre acheteuse, est la manie compulsive des achats, généralement peu ou pas nécessaires à l'individu. Cette manie a été découverte en Allemagne à la fin du XIX e siècle par Emil Kraepelin.
Peut-être souffrez-vous d'une addiction aux achats, aussi connue sous le nom d'oniomanie. Cette fièvre acheteuse se caractérise par une envie irrépressible d'acheter et de dépenser son argent. Elle n'est pas encore reconnue comme une véritable addiction, mais stimule les mêmes mécanismes de dépendance.
Les personnes dépensières prouvent leur intense besoin d'être aimées et reconnues par les autres. Elles se disent qu'elles apparaîtront plus belles, plus fortes, plus puissantes grâce à leurs possessions. C'est une manière de réparer une profonde faille narcissique, un manque de confiance en soi."
Quels symptômes caractérisent l'achat compulsif ? Lorsqu'elle est atteinte par ce trouble, une personne effectue des achats compulsifs à répétition, en réponse à une envie irrépressible d'acheter. Ces achats pathologiques ont lieu durant une phase maniaque (phase d'excitation).
On devient accro du shopping quand une fragilité survient en nous, qu'elle soit passagère ou non, consciente ou inconsciente. Cela peut être une mauvaise estime de soi, un coup de blues, un manque affectif, une dépression cachée, etc. L'achat est en réalité là pour panser l'âme.
"Parce que le shopping stimule notre imagination", souligne l'auteure. Par exemple, quand vous achetez du 36 en prévision d'une éventuelle perte de poids. Ou quand votre choix se porte sur un vêtement qui ne colle pas avec votre style de vie.
Plus le client trouve un vêtement à son goût et pas trop cher , plus il a un sentiment d'avoir fait une bonne affaire. Le but de chaque consommateur est de trouver un vêtement à moindre coût et qui permet de se sentir unique et important aux yeux des autres pendant un instant.
Quelles sont les règles à suivre ? L'idée de base est de se limiter, sur une période donnée, aux achats "utiles" (nourriture, papier toilette...) et d'éviter les dépenses "accessoires" en magasin et sur Internet. Fini aussi les repas en livraison les soirs de flemme.
Selon ces études, près de 90 à 95 % des décisions sont prises dans le magasin et sont déterminées par nos impulsions, nos émotions ou nos habitudes. En résumé, nous achetons ce que nous connaissons. Seul un très faible pourcentage de nos achats est réellement basé sur une décision cognitive.
Nous acquérons les nécessités de base pour survivre, nous habiller, nous nourrir et couvrir les aspects fondamentaux de notre bien-être. Cependant, nous achetons également pour satisfaire les besoins de loisirs et d'auto-récompense émotionnelle.
Première solution : reproduire vos looks habituels. L'une des techniques les plus simples est de vous créer quelques tenues basiques à refaire à l'infini. Un chino bleu marine pourra aussi bien être associé avec un tee-shirt blanc, un pull fin gris ou une chemise à carreaux.
Définition "dépensière"
adj. Qui dépense beaucoup d'argent.
Pour éviter les dépenses inutiles, le premier conseil est d'établir un budget. Le fait de noter les dépenses et les rentrées d'argent va permettre d'avoir une vision plus claire de la situation financière. Par conséquent, un achat inutile viendra déséquilibrer le budget.
Mais la première place de l'Europe se limite à la taille du marché, car les Etats-Unis devancent largement le Vieux Continent en termes de dépenses par tête et de croissance : alors que le consommateur européen moyen ne consomme que 627 euros par an pour ses achats d'habillement, l'Américain engloutit en effet 980 ...
Les habits que nous portons nous permettent de projeter une image personnelle que nous souhaitons montrer. Même lorsque ce n'est pas dans notre intention, la manière que nous avons de nous habiller peut en dire beaucoup aux autres sur nous.
C'est pourquoi la mode n'est pas seulement une forme d'art mais aussi un marqueur social qui nous permet de clamer notre singularité, notre volonté de nous distinguer du groupe social auquel nous appartenons ou, au contraire, d'afficher notre appartenance à ce même groupe.
Tes vêtements sont révélateurs de ta personnalité
Simplement, l'apparence est un miroir de notre personnalité à un certain niveau. En commençant par les vêtements. Si tu es quelqu'un qui ne s'intéresse pas du tout à la mode, sache que c'est déjà un style en soi.
« Les gens veulent que leurs vêtements reflètent leur personnalité, leurs valeurs, mais bien souvent, ils sont incapables de les définir. » Cette difficulté à bien se définir peut mener à l'envoi de messages flous, contradictoires ou pas du tout en phase avec sa personnalité.