Singh est un nom de famille d'origine indienne souvent assimilé aux
Il n'existe en Inde aucune loi sur les noms de famille ou sur leur forme. Ils sont construits dans l'une des multiples langues du pays, influencés à la fois par les différentes religions et des reliquats du droit anglais.
Le nom Singh
Beaucoup de Sikhs ont pour nom « Singh ». Ce mot qui signifie « lion » est rarement un nom de famille à proprement parler. Il s'agit plutôt d'un titre ou d'un surnom (« nom intermédiaire ») porté par les hommes sikhs. Les femmes se voient ajouter le nom « Kaur », qui signifie « lionne ».
Le kesh ou kes est la pratique du sikhisme qui consiste à ne pas couper ses cheveux (ni aucun poil du corps), à les laisser croître naturellement comme symbole de respect pour la perfection de la création de Dieu.
Le turban permet de tenir les long cheveux du sikh, qu'il ne coupe jamais, selon la règle du Kesh, par respect pour la perfection de la création de Dieu. Il contient le Kangha, un peigne en bois symbolisant le fait que le sikh prend soin de ses cheveux.
Les hommes ainsi initiés sont appelés « Singhs » (lions) et, au fil du temps, sont tenus, en tant que membres du Khalsa, de rester fidèles aux cinq kakas (les cinq K) : de ne jamais se couper ni les cheveux ni la barbe (kesh) et de porter un peigne (kangha) symbolisant la propreté, un bracelet de métal (kara), une ...
Les Sikhs croient en un seul Dieu éternel et créateur selon le principe "Ik-On-Kar" - que l'on peut traduire par "une seule conscience créatrice manifestée". La religion renonce aux jeux de hasard et à la consommation de viande, d'alcool et de tabac afin de parvenir à la "mukti", c'est-à-dire la "libération".
Les sikhs sont tenus de garder leurs cheveux non tondus. Drogues: les consommations d'alcool, de drogue, de tabac sont prohibées. Adultère: la fidélité est de rigueur dans le sikhisme.
Le turban est un symbole d'unité
La plus grande vocation des sikhs d'afficher le turban est qu'il représente leurs croyances. La justice pour tous, l'égalité et une notion radicale de compassion.
Un Sikh est ainsi censé prier trois fois par jour : tôt le matin, le soir et avant de se coucher. Les textes de ces prières sont tirés du Gurū Granth Sāhib et du Dasam Granth. Un Sikh doit également se rendre aussi souvent que possible au gurdvārā et y participer aux prières collectives.
Dans le sous-continent indien, le turban est appelé pagri ou pagadi (en hindi : पगड़ी, bengali : পাগড়ি, marathi : पगडी, gujarati : પાઘડી, punjabi : ਪੱਗ, ourdu : پگڑی). Le pagri porté par les hommes, notamment durant les cérémonies de mariage. Le turban appelé dastar est quant à lui étroitement associé au sikhisme.
La religion Sikh a vu le jour au XV e siècle dans la région du Pendjab et le pendjabi est la langue principale parlée par les Sikhs. La plupart des portions du Guru Granth Sahib utilise le pendjabi écrit en gurmukhi, bien que le pendjabi ne soit pas la seule langue utilisée dans l'écriture Sikh.
Le kirpan (API : /kɪrˈpɑn/) (pendjabi : ਕਿਰਪਾਨ) est une arme symbolique s'apparentant à un poignard, portée par les sikhs orthodoxes pour rappeler le besoin de lutter contre l'oppression et l'injustice. Le kirpan est porté sur une ceinture de toile appelée gatra.
La notion de famille, en Inde, s'entend au sens large: frères, sœurs, parents et grands-parents, mais aussi beaux-frères et belles-sœurs et leurs propres parents, frères et sœurs, etc. Le mariage est le moyen de perpétuer cette structure clanique.
À la naissance de leur enfant, les parents choisissent quel nom lui transmettre : celui du père, celui de la mère, ou leurs deux noms accolés dans l'ordre choisi par les parents.
Porté depuis l'Antiquité et notamment par les Perses, le turban est présent dans toutes les cultures et traverse l'histoire. Marqueur religieux, il n'en est pas moins, un accessoire de mode.
Le turban noir est un couvre-chef, accessoire traditionnel dans les pays chiites. C'est une partie de l'habit de tout théologien chiite descendant du prophète de l'islam Mahomet par l'un de ses deux petits-fils, Al-Hassan ibn Ali ou Al-Hussein ibn Ali, fils de Fatima Zahra.
1. Coiffure orientale faite d'une longue pièce d'étoffe, enroulée autour de la tête recouverte préalablement d'une calotte de drap. 2. Coiffure de femme en tissu souple et drapé dans le style des turbans orientaux.
Le premier livre sacré des Sikhs, l'Ādi Granth, consiste principalement en hymnes écrits par les cinq premiers gurū et par le neuvième, classés selon leur mode musical. Il inclut des compositions de poètes sant et soufis, tels que Nāmdev, Kabīr et Farīd.
En général, les baptistes, pentecôtistes, méthodistes, et l'Armée du salut, découragent la consommation de l'alcool, et l'Église mormone l'interdit, tandis que les catholiques, les anglicans, les luthériens et les chrétiens orthodoxes permettent sa consommation.
Pour être considéré comme casher, un juif doit être impliqué dans tout le processus de vinification, depuis la récolte du raisin jusqu'à la fermentation et à la mise en bouteille. Tous les ingrédients doivent être casher, y compris les protéines utilisées pour la clarification et la stabilisation du vin.
Issu du mot sanskrit sinha, Singh signifie « lion ». On retrouve ce terme dans le nom de la cité-État de Singapour, qui est « la ville du lion ». En Inde et partout dans le monde, tous les Sikhs hommes s'appellent Singh tandis que les femmes se nomment Kaur (« princesse »).
Les Sikhs ne forment que 2 p. 100 de la population indienne, soit environ 23 millions d'individus en 2006. 80 p. 100 d'entre eux vivent dans le Panjāb, où ils sont légèrement plus nombreux que les Hindous.
Le mouvement avait profité du soutien de la jeunesse mais la génération actuelle n'a plus les mêmes priorités", estime Sukhdev Sandhu, un Sikh connu, opposé au "Khalistan". "Ils veulent du travail et non des armes".