L'Homme doit travailler afin de survivre, c'est une nécessité physique pour lui de transformer la nature afin de répondre à ses besoins car le corps a des besoins fondamentaux tels que manger ou boire par exemple mais, le corps humain est également faible, il ne peut pas supporter de grandes intempéries sans être ...
Nous travaillons pour produire, pour transformer la nature naturelle, qui satisfait mal ou pas du tout les besoins humains, en éléments artificiels qui satisfassent ces besoins.
1/ Ce qui pousse l'homme à travailler, c'est la nécessité qu'il y a de transformer la nature pour l'adapter à nos besoins. Le travail est une transformation de la nature en vue de satisfaire ses besoins vitaux. A ce titre il est une contrainte. C'est une peine, un labeur, une corvée.
Le travail est une nécessité. En effet, l'Homme n'a pas le choix, il est obligé de travailler, car s'il ne travaille pas, il meurt. La nature, spontanément, ne lui fournit pas de quoi survivre. Donc plutôt que de parler d'obligation, on peut dire que le travail est une contrainte.
Le travail se présente ainsi comme la condition nécessaire à la réalisation sociale et personnelle de l'homme. Mais à la différence d'une activité purement animale, le travail résulte d'un effort de la conscience et de la volonté humaine, dont le but est la satisfaction des besoins de l'homme.
Les hommes travaillent afin de satisfaire leurs besoins. Faute de voir ceux-ci comblés par une nature généreuse, ils sont dans l'obligation de produire les biens indispensables à leur survie.
Travailler permet de se réaliser. C'est une obligation envers soi-même. Mais travailler est un devoir moral, non seulement envers autrui mais aussi envers soi-même. En effet, travailler n'est pas seulement répondre à ses besoins vitaux, c'est aussi réaliser ce qu'il y a de plus humain en l'homme.
La réponse tient en quelques mots. On travaille pour gagner sa vie, pour exister socialement (être connu et reconnu), voir des gens et enfin pour faire des choses qui nous intéressent : soigner, enseigner, construire ou réparer, faire la cuisine, écrire, etc.
Hommes et femmes y sont confrontés sans distinction, et font face à d'autres conséquences que l'augmentation du risque d'AVC : dépression, hypertension et difficultés relationnelles sont régulièrement observées auprès des salariés qui travaillent le plus.
1Le travail occupe une place essentielle dans nos sociétés, même par son absence. C'est une des bases de l'économie. C'est la source principale des revenus qui autorise l'accès à la consommation. C'est aussi la voie principale de l'insertion sociale.
Marx souligne qu'en révélant à l'homme ses propres capacités, tant mentales que physiques, et en développant des facultés qui étaient encore en sommeil, le travail est un moyen privilégié de manifestation de soi. Il a ainsi non seulement une valeur morale mais aussi une valeur anthropologique.
En premier l'intérêt pour son travail puis la bonne ambiance,, la sécurité de l'emploi en 3eme position. On ne parle pas assez de l'ambiance dans le travail. Je pense que c'est important de s'entendre avec ses collègues pour être motivé à travailler.
Le travail donne une structure à la vie pendant plus de 12 heures. Les gens ont besoin de structures de sécurité, de répétition de ce qu'ils ont appris, de louanges et de reproches. Grâce à la structure, les mois, les semaines, les jours ont un sens.
Le travail rend heureux aussi parce qu'il structure le temps, donne un cadre et permet de mieux apprécier son temps libre. Enfin, travailler impose de développer ses compétences et ses qualités, ce qui est valorisant et donne confiance en soi, et contribue à l'épanouissement personnel.
Le travail est donc un devoir, et son habitude, une vertu. L'homme qui travaille serait alors un homme meilleur, plus moral, un homme dont la formation est plus accomplie car il se dépasse. De plus, comme le souligne Freud, le travail peut être considéré comme un bien en lui-même.
Il y a naturellement les règles de base de savoir-vivre et de politesse. Il faut que les tâches soient réparties de façon équitable et que chacun respecte le travail des autres. Il faut également savoir assumer ses erreurs et les problèmes en général.
Il est essentiel que le lecteur soit en mesure d'établir le lien entre la problématique et les résultats obtenus. La conclusion est à la fois un résumé des grandes lignes et des phases essentielles de la recherche et un bilan des principaux points traités (une synthèse des résultats obtenus).
Ce stress provient de multiples sources. L'open space (« L'open space m'a tué »), le mauvais management, la pression des objectifs, l'excès de procédures, le burn-out dû à une surcharge de travail et le bore-out qui est la conséquence de l'ennui au travail, etc.
Le sens du travail se rapporte aux tâches ou aux activités qui s'inscrivent dans un rôle, une fonction. Le sens au travail s'applique aux relations qu'une personne entretient dans son milieu de travail avec ses supérieurs, ses collaborateurs, ses collègues et la clientèle.
La valeur travail est un concept économique ancien, que l'on retrouve chez Adam Smith, David Ricardo et Karl Marx. Ce concept part du principe que le prix de vente d'un bien ou d'un service est uniquement fonction de la quantité de travail qui a été nécessaire pour sa production ou sa réalisation.
Selon lui, le sens du travail serait conditionné par trois aspects : la qualité des relations humaines avec ses collègues et avec sa hiérarchie, le sentiment d'utilité à la société et la qualité du travail réalisé.
Dans ce sens, le travail provient de la perfectibilité, qui est une faculté naturelle chez l'Homme puisqu'elle lui est propre. Ainsi, le travail est une obligation pour l'Homme puisque qu'il résulte de la perfectibilité et donc de la nature humaine.
Cf. la condamnation divine dans la Genèse lorsqu'il est dit à Adam : « Tu travailleras à la sueur de ton front ! ». Le travail apparaît comme une condamnation, c'est donc un devoir de travailler.