C'est donc une expression qui se dit quand on ne croit pas celui qui nous parle : on lui demande de jurer. Tout comme wallah , cette expression peut être utilisée sérieusement, ou bien dans un contexte informel pour montrer son étonnement.
Wallah signifie ”par dieu” dans la langue arabe, il sous-entend qu'on jure en prenant Dieu à témoin. « Rien n'empêche un chrétien qui s'exprime dans une autre langue que l'arabe de dire “wallah”, poursuit Ghaleb Bencheikh.
(Populaire) Renforcement du caractère impérieux d'une déclaration, sans référence au divin.
>>> Que veut dire EVJF ? L'expression "entière" consacrée pour jurer devant Dieu, c'est (désolé pour la transcription en français !) "Wallah La Radim", qui signifie "par Dieu le majestueux" et qui, si l'on devait la retranscrire plus correctement, devrait être prononcée "Wallah Al-Adime".
En réalité, wallah s'écrit : والله. Ainsi, cette forme représente l'orthographe la plus correcte. On retrouve notamment le terme والله dans la basmala “bismillahi Rahmani Rahim”. Celle-ci se trouve au début de chaque sourate, hormis At tawbah et s'écrit : بِسْمِ ٱللَّٰهِ ٱلرَّحْمَٰنِ ٱلرَّحِيمِ.
"Miskine" désigne en arabe "pauvre". Le terme peut se transformer en "Miskina" et est employé pour signifier que vous inspirez la pitié.
Pour les personnes âgées, si l'on possède beaucoup mais que l'on n'est pas satisfait, c'est un signe de manque de baraka ; en revanche, si on possède peu sans se plaindre et tout en étant bien, cela signifie qu'on a la baraka. La baraka la plus évoquée est celle d'Allah.
Étymologie. De l'arabe ما شاء الله , mā šāʾAllāh (« Dieu l'a voulu »), composé de ما , ma (« que »), شاء , sha (« vouloir ») et الله , Allāh (« Dieu ») → voir Mashalla et Allah.
Miskine, miskina au féminin, est une interjection qui s'insère dans une phrase ou vient la ponctuer en bout de ligne. C'est une exclamation de pitié empreinte de compassion qui semble dire « Oh ! le pauvre ! ». Tantôt elle sera teintée d'humour, tantôt elle sera accusatrice, un peu comme on dirait « pauvre type ! ».
Interjection. Formule par laquelle les musulmans expriment leur gratitude à Dieu, leur satisfaction d'un évènement ou d'une affaire qui tourne bien. C'est l'équivalent de Dieu merci ou Louange à Dieu dans la bouche des chrétiens.
Étymologie. De l'arabe بِسْمِ اللّٰه , Bismillāh (« au nom de Dieu »).
Le mot wallah , écrit aussi wAllah , est une interjection employée en français, qui vient de l'arabe et qui signifie littéralement « par Allah, par Dieu ».
Il est utilisé par les adolescents et les jeunes adultes comme exclamation, pour marquer l'étonnement, l'indignation. Il est un peu l'équivalent de « Mon Dieu ! » Pour le renforcer, on le complète parfois par ya rabi , qui veut dire « ô Seigneur » : starfoullah ya rabi .
Machallah et ses variantes
Ma cha Allah la quouwata ila bi Allah : ما شاء الله لا قوة إلا بالله
La demande de dispense doit être adressée par écrit au greffe de la cour d'assises, avant le 1er septembre de l'année. Dans le cas contraire, vous devez vous présenter le 1er jour de la session d'assises.
Car "wesh" est en fait un adverbe interrogatif qui nous vient de l'arabe algérien. On dit ainsi "Wesh kayn ?" pour dire "Qui y a-t-il ?" et "Wesh rak" pour dire "Comment vas-tu ?".
Exemple : "Fais belek, tu vas tomber ! " "Belek" vient de l'arabe : attention, il s'agit le plus souvent d'un conseil amical pour prévenir quelqu'un d'un danger potentiel. Traduction : Fais gaffe !
Le mot wesh est un mot d'argot utilisé par les jeunes, il a beaucoup d'emplois différents. Il est dérivé de l'arabe algérien "Wech rak" qui se traduit par "Comment ça va ?". Wesh s'emploie également comme terme de salutation en France.
Ce terme est utilisé par la plupart des musulmans. Les musulmans estiment souhaitable (mustahabb) de prononcer cette formule quand ils évoquent une action à réaliser dans l'avenir.
En résumé, « Inchallah » est utilisé pour parler de l'avenir et de la volonté de Dieu pour les événements futurs, tandis que « Mashallah » est utilisé pour exprimer l'admiration et la gratitude envers les choses que Dieu a déjà accordées ou créées.
Cette profession de foi est récitée à quatre moments de la vie d'un musulman : lors de son adoption de l'islam, lors de la prière, lors d'une expression de sa foi ou d'un appel à Dieu et enfin, lors de l'accompagnement d'un mourant dans la mort.
La chahada est constituée d'une phrase brève, Achhadou an lâ ilâha illa-llâh, wa ashadou ana muhammad rasûlu-llâh, qui se traduit par Je témoigne qu'il n'y a de Dieu que Dieu et que Mohammed est son prophète.
Il s'agit d'une somme d'argent versée par le père du garçon à celui de la fille et qui ne peut être conservée par ce dernier. Elle doit être dépensée pour constituer le trousseau de la fiancée (robes, bijoux, meubles, ustensiles de cuisine, parfums, etc.) qu'elle apportera le jour où elle viendra rejoindre son époux.