Les avions, à l'atterrissage et au décollage, se placent toujours face au vent. Cette règle permet de réduire au minimum leur vitesse lorsqu'ils se posent et assure leur portance au moment de prendre leur envol. A la construction d'un aéroport, les pistes sont donc toujours installées en fonction des vents dominants !
Le décollage face au vent, loin d'être un handicap, est en réalité une technique optimale pour permettre aux avions de s'envoler plus efficacement et en toute sécurité.
Les avions décollent et atterrissent face au vent. L'appareil profite ainsi de la masse d'air opposée, ce qui permet une meilleure portance et de raccourcir la distance nécessaire au décollage et à l'atterrissage. De manière générale, c'est la météo qui va dicter le choix du sens de piste.
Mais leurs qualités aérodynamiques peuvent aussi constituer un danger : même au sol, un avion conserve ainsi une tendance naturelle à s'orienter « face au vent » ! Malgré une masse importante, sous l'effet de vents forts, un avion mal calé peut ainsi se déplacer et occasionner d'importants dégâts.
Afin d'avoir une vitesse par rapport au sol moins élevée, donc pour atterrir sur une plus courte distance, économiser les pneus avec une vitesse de rotation moins élevée, économiser les freins avec une pression moindre et aussi les moteurs en utilisant une inversion de poussée au ralenti à la place de maximum par ...
En toute rigueur, la notion de ligne droite en mathématique, ne peut être courbe. Si on appliquait ce principe aux trajectoires qui relient deux points à la surface du globe, il faudrait traverser la terre ! Les avions ne semblent pas voler en ligne droite parce que la terre est ronde, pas plate.
Sur piste sèche, au moment où l'avion touche le sol, le nez pointe face au vent, puis se remet immédiatement face à la piste. Durant cette manœuvre il est impératif d'actionner rapidement l'aileron pour contrer le vent ainsi que le gouvernail pour se positionner face à la piste.
La litanie sinistre des catastrophes aériennes des cinq dernières années tendrait à prouver que, conformément au sens commun, les phases d'atterrissage et de décollage sont réputées plus dangereuses que celle où l'avion vole à son altitude de croisière.
L'ordre de grandeur de la vitesse de décollage est de : 20 à 65 km/h pour les planeurs ultra-légers motorisés (ULM). 80 à 120 km/h pour les avions monomoteurs de loisir ou les bimoteurs à hélices d'affaire. 240 à 280 km/h pour les avions de ligne selon leur taille (A320, A380).
La disponibilité d'équipements de dégivrage pour les avions déterminera si le décollage est sécuritaire ou non. De plus, si le point de congélation est inférieur à la température extérieure, la pluie peut geler lorsqu'elle touche le sol. Dans ce cas, la piste devient glissante, ce qui rend les décollages difficiles.
Premier de la liste : l'aéroport Tenzing-Hillary de Lukla, au Népal, qui est donc considéré comme l'un des plus dangereux du monde. Il faut dire qu'il est perché à 2 845 mètres d'altitude, et bordé par une falaise de 700 mètres de haut.
Poussée + Portance > Poids + Traînée
De plus, alors que la vélocité de l'avion augmente, la force de portance augmente. Ceci crée le déséquilibre de la force qui fait décoller l'avion du sol. Les avions montent généralement jusqu'à ce qu'ils atteignent l'altitude et la vitesse.
Situé sur l'île néerlandaise de Saba, l'aéroport Yrausquin dispose de la piste la plus courte au monde. Elle mesure seulement 396 mètres.
Voici quelques raisons pour lesquelles les vols sont généralement interdits en cas d'orage : Turbulences : Les orages sont souvent associés à des turbulences graves, ce qui peut rendre le vol très inconfortable et potentiellement dangereux pour les passagers et l'équipage.
Évitez les sièges : À proximité des toilettes : c'est une zone bruyante. À l'arrière de l'avion : c'est la zone où l'on ressent le plus les turbulences.
Il y a trois phases de vitesse majeures quand un avion décolle : V1, Vr et V2.
Elle dépend, entre autres, de la masse à l'atterrissage, de la température et de la pression atmosphérique. Elle peut être légèrement majorée en cas de vent de face. On peut retenir comme valeur moyenne 140 nœuds (environ 260 km/h).
Un avion de ligne atterri à une vitesse d'environs 120 noeuds. S'il rencontre un vent de force d'ouragan de face, ce n'est aucun problème pour lui, il atterrira facile sur une courte distance. Le problème sera alors, quand il devra quitter la piste pour un taxiway qui est à angle droit avec la piste.
Si l'on parle du personnel de bord et de l'équipement, les vols de nuit sont aussi sûrs que n'importe quel autre vol. En revanche, si vous prenez souvent l'avion de nuit, il existe des risques potentiels pour votre santé, en particulier si vous ne dormez pas bien à bord.
En nombre de crashs, c'est le 707/720 de Boeing qui l'emporte avec 105 catastrophes, devant le DC9 et le DC8 (62 chacun), le Boeing 727 (57) et le Boeing 737- 1/200 (48).
Les sièges du milieu positionnés au fond de l'avion sont de ce fait les plus sécurisés en cas de crash. Toutefois, cette affirmation peut légèrement différer selon le type et la taille de l'avion.
En avion comme à bicyclette, pour tourner, il faut se pencher. En déplaçant ainsi le manche, le pilote agit sur les ailerons qui se trouvent aux extrémités . Ils sont conjugués : lorsque l'un se lève, l'autre se baisse. Quand le pilote pousse le manche à gauche, l'aileron gauche se lève.
Comme pour le ballon, le déséquilibre des forces de pression à l'intérieur du moteur constitue la force de propulsion. Cette force est transmise à l'avion par le système d'accrochage du moteur.
Les vols avec voilure réduite (wingsuit) se font à des vitesses allant de 160 km/h à 400 km/h. Avec des vents de l'ordre de 200 km/h, des personnes peuvent s'envoler, mais des vents de 120km/h peuvent être très dangereux et faire tomber des personnes.
Parce que le Pacifique est très large, et les États-Unis aussi. La distance entre New York et Hong Kong est de 12970km en passant par l'Ouest, et 13200km en passant par l'Est. C'est quasiment la même chose.